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L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster )

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Mads Sullivan
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L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) _
MessageSujet: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 19 Oct - 14:02

Je n'arrive pas à oublier cette femme, et ce moment passé avec elle. Ce baiser échangé tandis qu'elle arrachait mes vêtements de façon animale, violente. J'ai toujours dans ma bouche le goût du sang de ses lèvres, fines et délicates. Non, ce n'était pas de l'amour, c'était .... vital. Ce besoin de se toucher, de se caresser sans interruption. Quitte à en mourir, vivre cette passion jusqu'à la toute fin. Qui est arrivée plus vite que je ne l'aurais pensé. Elle s'était soudain détachée de notre emprise et était partie, comme effrayée par elle même. Personnellement, je n'étais pas effrayé outre mesure le temps de notre "aventure", c'est après, quand elle n'était plus là que je réalisais. Qui est-ce que j'étais ? Je ne me reconnaissais pas, ce ne pouvait être moi ! Mon instinct habituel m'aurait poussé à la déguster morceau par morceau, et non la toucher et l'embrasser de la sorte. Il était clair que je ne maîtrisais plus rien, que mon corps contrôlait tout. Chose qui ne m'étais encore jamais arrivé. Jusqu'à ce qu'elle entre dans ma vie, aussi brutalement que la façon dont elle en est sortie.

Cet épisode troublant est fini, derrière moi, il appartient au passé. Et j'espère que la prochaine fois, si je la revois un jour, j'aurai la force et surtout la volonté de ne pas se laisser répéter une chose de la sorte. Je ne savais ce qu'il m'avait pris. Une énigme dont on ne connaîtrait jamais la réponse. De toutes façons, ce n'est plus important, je ne me focalise pas sur le passé. Je vais de l'avant, recevant toujours dans mon bureau patients plus intéressants les uns que les autres. Je déguste toujours autant mes mets raffinés avec le plus grand plaisir. Je continue de vivre, essayant d'oublier ce passage troublant de ma vie.

- Alors nous disons demain 17h, Monsieur Crawford, pour un nouvel entretien, où nous parlerons de l'étrange fascination que vous avez pour Michael Jackson, si vous le permettez bien. dis-je à mon patient actuel en lui tendant la main.

De nouveau seul, je peux souffler 5 minutes le temps de boire un bon verre de rouge. A peine je porte le verre à mes lèvres que la porte retentit. Sûrement encore ce Crawford qui veut une fois de plus reporter le rendez vous à 15h ... J'avoue avoir des patients quelque peu difficiles !

Je m'approche de la porte, les yeux levés au ciel pour m'apprêter à soupirer en imaginant trouver devant moi ce petit gentleman gras qu'est Jack Crawford.

- Monsieur Crawford, avant que vous ne le demandiez encore une fois, le rendez-vous restera à ...

Et là, plus un son ... Juste le vent que l'on peut entendre passer entre ses longs cheveux bruns. Et le rouge qui tombe de mon verre petit à petit pour se déverser à ses pieds telle une flaque de sang. Je regarde avec des yeux ronds la personne qui se tient en face de moi...

- Mais que ... ? balbutie-je, mon verre entre les doigts, penché sur le coté versant sa dernière goutte sur le sol.
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Adela Foster
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L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) _
MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 19 Oct - 14:32

Une semaine s'était écoulée depuis mon entrevue avec le Docteur Sullivan. J'avais décidé de ne plus penser à cet écart de conduite. Je devais me focaliser sur mon boulot, enchaîné les contrats et vagabonder de-ci, de-là comme à mon habitude. Je m'étais d'ailleurs surprise à tuer quatre personne en une semaine, remplissant haut la main ce pour quoi j'avais été engagée gagner même une prime pour l'un des quatre. J'étais profondément persuadée que me dévouer corps et âme à la traque de mes victimes me pousserait à effacer ce moment si intime et troublant passer dans ce bureau, en vain. Une semaine et j'avais l'impression de pouvoir encore sentir ses lèvres contre les miennes, de goûter mon sang qui se mélangeait à notre salive, de ressentir ses mains parcourir mon corps. Il avait envahie mes pensées à chaque minute, chaque seconde de ma vie. J'avais connue des hommes, des dizaines avant lui et aucun ne m'avait fait un tel effet. Je me contentais régulièrement de prendre ce que je voulais, oubliant jusqu'à leur prénom le jour levé mais la... Je devais me rendre à l'évidence, il m'obsédait.

Il était tard déjà, plus de 22 heures passée et je savais qu'il ne recevait plus de patient à cette heure tardive. Du moins, je le pensais. J'avais enfilé une jupe de tailleur avec la veste assortie laissant mes cheveux tomber sur mes épaules. J'avais envie de le revoir et au delà de ça, j'en avais besoin. Besoin de sentir son regard sur moi, d'entendre sa voix dans le creux de mon oreille. J'attendais depuis quelques minutes déjà dans la salle d'attente et même si je savais que je faisais la plus belle erreur de ma vie je n'avais aucune envie de faire demi-tour. Il fallait que je le vois. Que je tire les choses au clair. Peut-être que le revoir ne me ferait ni chaud, ni froid et que toute cette affaire serait rapidement réglée. C'est du moins ce que j'espérais. Je triturais nerveusement mes doigts et après un profond soupir je toqua quelques coups à la porte. J'avais entendu sa voix dans le cabinet, signe qu'il y était bien présent et alors que ses pas s'approchaient de moi mon coeur se mit à tambouriner dans ma poitrine. Durant un quart de seconde je souhaitais n'être jamais venue ici, n'avoir jamais frapper à la porte mais il était trop tard et lorsque celle-ci s'ouvrit dans un courant d'air je me figeais sur place. Totalement interdite. Il n'avait pas encore levé les yeux vers moi et s'adressait à une personne qui n'était pas présente jusqu'à ce qu'il me voit. Ses mots moururent dans sa bouche alors que son verre de vin se déversa sur le sol, à mes pieds. Il balbutia quelques mots, il semblait tout autant choqué que moi. Je mis un moment avant de reprendre contenance, un long moment que je passais à analyser son corps. Il portait un costume comme la dernière fois, savait-il au moins à quel point ce genre de tenue me rendait folle chez un homme ? Je me raclais la gorge et remis une mèche de cheveux derrière mon oreille avec un air coupable, comme prise en faute.

-Bonsoir Docteur. Soufflais-je la voix tremblante, trahissant mon malaise.

Je ne prêtais pas attention au vin renversé et passa devant lui sans même attendre qu'il m'invite à entré. Il fallait que je lui parle. Même deux secondes...

-Je suis désolée de cette visite tardive surtout après mon comportement de la dernière fois mais il fallait que je vous revois. Annonçais-je rapidement comme si j'avais appris mon texte par coeur.

La porte se referma nous laissant seuls dans le silence de son bureau. Je jetais un coup d'oeil à celui-ci, seul témoin de notre écart de conduite et à nouveau mon coeur se mit à battre la chamade. Un instant je fermais les yeux et les bruits étouffés de nos baisers me parvinrent à nouveau comme une douce mélodie. Je sursautais brusquement comme éveillée d'un rêve et posa mon sac sur le fauteuil qui fut mien la semaine dernière. Je ne parvenais pas à capter son regard, je savais qu'un rien suffirait à me faire craquer à nouveau et je ne le voulais pas. Je voulais simplement m'excusée et sortir de sa vie. Oui, c'est ce que je voulais n'est-ce pas ? Il faisait une chaleur ambiante dans la pièce et pourtant j'étais glacée de la tête aux pieds, en proie à des sueurs froides que je ne parvenais pas à contrôler. Je tremblais comme une feuille, incertaine de la conduite à tenir. Je me sentais si... Misérable et honteuse.

-Je... Je tenais à m'excuser de ma conduite. Je... Je vous mentirais en vous disant que ce n'est pas dans ma nature de manipuler les gens pour obtenir ce que je veux. Je sais que je ne suis pas une fille bien et je m'en porte très bien mais la façon dont j'ai... Perdu le contrôle... C'était... déplacée et je m'en excuse.

Il y avait pourtant une chose primordiale que j'oubliais dans tout ça, c'est que bien loin de me repousser il avait répondit à mes avances et de façon plutôt poussée d'ailleurs. Et si je n'avais pas eu cette présence d'esprit de partir où en serions-nous à présent? J'étais dos à lui. Il fallait que je le sois et pourtant je pouvais sentir son aura tout autour de moi, j'étais comme prisonnière de son charisme et de sa prestance. Pour la première fois de ma vie, un homme me faisait peur et ce qui était le plus paradoxale dans tout ça c'est qu'il m'attirait irrévocablement et que je n'aspirais qu'à son toucher et ses baisers.

-Je ne vais pas vous importunez davantage. Lâchais-je en passant devant lui pour rejoindre la porte d'entrée.

Mon sauve conduit. Il fallait que je passe cette porte. Mes excuses étaient présentées, il ne me restait plus qu'à déguerpir et rapidement mais c'était sans compter sur la participation de mon Docteur qui attrapa sévèrement mon poignet, me tournant vers lui sans me laisser le choix. Nos regards se croisèrent enfin et je lâcha un souffle tremblant en sentant à nouveau cette drôle de sensation m'envahir.

-Mon dieu mais qu'est-ce que vous m'avez fait ?
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Mads Sullivan
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 19 Oct - 15:28

Partir ? elle n'en n'avait pas le droit ! Pas comme ça ! Et c'est ce que je lui montre en prenant de force son poignet pour tourner son corps vers moi, de sorte à ce que nous nous retrouvions assez près l'u de l'autre. Mais que fais-je ? Cette femme ... je voulais l'oublier à tout prix et me voilà à deux doigts de refaire la même erreur qu'il y a deux semaines ! Elle a l'air très bouleversée ! Autant que moi, si ce n'est plus ! Cette attraction, ce désir si nouveau ... Que m'a t-elle fait ?

Je me surprend à entendre bien réellement cette question, mais de sa bouche.

Elle me fixe, comme apeurée mais en même temps avec tant de désir dans son regard ...

- Tu es si différente, tu es si ... appétissante. Si tu savais ce que j'aurai voulu te faire la première fois que je t'ai vu entrer ici... Mais tu as fait naître en moi une toute autre forme de désir ... Je te veux, mais pas comme je le devrais. Tu voulais des explications quant à la dernière fois ? C'est tout ce que je peux te confier. Maintenant je veux que tu sorte de ma vie, et que tu ne remette plus les pieds ici. J'essaie d'oublier cet incident, ce n'est pas en te voyant que je vais y arriver. Ne reviens plus jamais ici, suis-je bien clair ? Et déja, le prétexte que tu donne à ta visite soudaine est mensonge.

Je lâche soudainement sa main et la fixe d'un air vraiment mauvais, assez effrayant.

- Pourquoi es-tu revenue ? Pourquoi est-ce que tu reviens me faire ça ? La première fois ne t'as pas suffi ? Tu en veux encore c'est ça ? finis-je par hurler, hors de moi.

Encore une fois, je ne prends plus contrôle de rien. C'est fou l'effet qu'elle me fait. Elle réveille en un seul regard l'animal en moi, sait révéler tous mes désirs ... Pourquoi ?

- Tu en voulais encore, c'est bien ça ? hurle-je encore, comme si je me parlais à moi même.

Je saisis son visage entre mes mains subitement, en ayant dû lui faire mal sûrement vu la force avec laquelle je venais de bloquais son visage. J'approche son visage du mien, empreint de désir tout à coup. Mon regard sur elle change, beaucoup plus incertain qu'avant. Je bloque avec toujours autant de force son visage, tellement près du mien, qu'une brise de vent aurait pu coller nos corps à jamais.

- Dis-le moi ... Pourquoi es-tu ici, Adela ... ? murmure-je.
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Adela Foster
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 19 Oct - 15:54

J'avais su à l'instant même où ses doigts c'était refermés autour de mon poignet que j'avais fais une erreur en revenant ici mais je n'en mesurais pas encore l'impact. Il avait un regard dur et froid. Il me confiais alors que la raison première qui l'avait attirer chez moi n'était absolument pas de nature sexuelle et en voyant son regard prédateur un frisson me parcourut de la tête aux pieds. J'étais tétanisée face à cet homme qu'en temps normal j'aurais pu aisément maîtriser. Mais la situation était telle que j'étais incapable de bouger, piéger par son regard de fauve qui guette une proie. Il me trouvait " appétissante" ? J'écarquillais les yeux, ayant un instant peur de comprendre ce à quoi il faisait allusion. Il me relâcha d'un geste brutal et se mit à hurler que je devais sortir d'ici, ne plus jamais revenir. Il me poussait à avouer la réelle raison pour laquelle j'avais franchis l'entrée de son bureau. Elle était claire et il le savait, il venait même de me le hurler en plein visage : J'en voulais encore. Je voulus répliquer mais avec une force peu commune il m'attrapa le visage et joignit sévèrement nos lèvres. Lorsqu'il se sépare de moi je peux distinguer une sorte d'hésitation dans ses iris et il me demande finalement pourquoi je suis venue ici en utilisant mon prénom.

Je restais totalement immobile sous sa poigne de fer comme une poupée de porcelaine fragile. Il me terrorisé et pourtant mon corps tout entier réclamer le sien. Je ne voulais pas partir. Je voulais comprendre. Je gardais mon regard fixement encré dans le sien et posa mes mains au dessus des siennes doucement.

-Pour la même raison qui vous pousse à être hors de vous à cet instant.
Murmurais-je incertaine.

Après tout je n'avais aucune garantie profonde qu'il ressentait ce que je ressentais et pourtant son emportement, sa colère et ce désir soudain de m'embrasser ne laisser pas de place pour le doute. Ce qui m'effrayait profondément c'est ce qu'il avait l'intention de faire de moi avant que ça ne dégénère entre nous. Je ne devais pas me montrer faible face à lui, est-ce ce qu'il attendait de moi ? Un moment de faiblesse pour mieux me poignarder dans le dos ? Je connaissais trop bien cette technique et il était hors de question que je me laisse faire. Pourtant ce magnétisme ne me laissait aucune échappatoire et il avait visé juste, je le désirais plus que tout. Ma lèvre s'était rouverte sous la dureté du baiser et je passa le bout de ma langue sur la plaie pour la cicatrisé temporairement.

Je me défis finalement de sa poigne et recula de quelques pas avant d'enlever ma veste de tailleur pour la jeter par terre. Il était temps de savoir ce qu'il attendait réellement de moi puisqu'il semblait m'avoir percer à jour. Je fis de même avec mon chemisier dans un geste rageur et délaça ma jupe qui glissa sur mes jambes. J'étais à présent en sous-vêtements devant lui, les mains sur les hanches, un regard provocateur le fixant sans ciller.

-Me voilà devant vous Docteur. Totalement offerte. Totalement sous votre contrôle... Si l’appétit sexuel n'est pas ce qui vous anime, alors qu'est-ce donc ?
Demandais-je aussi froidement que possible.

Si extérieurement je donnais l'impression de parfaitement maîtriser la situation, intérieurement je redoutais sa réponse.
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Mads Sullivan
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 19 Oct - 19:28

Elle se présente à moi maintenant en soutien gorge, quasiment nue. ce qu'elle peut être désirable ! Je peux sentir le parfum de sa peau de ma place. Mais j'aimerais la sentir aussi contre mon corps, tout près, à la toucher, à l'embrasser. Mes pulsions reviennent soudainement.

Je cours vers elle et lui saute littéralement à la gorge. Nous tombons dans l'élan et je me retrouve allongé sur elle.  Le problème, c'est que je ne peux sentir sa peau sous la mienne, eh bien, parce que personnellement, je suis toujours en costume. Je penche mon visage vers le sien, lui souffle mon désir au visage. Je lui caresse la gorge comme si elle était la dernière chose que je toucherais de ma vie.

Je pose ma jambe entre les deux siennes pour les séparer, et me poser complètement sur elle. Je joue avec ma jambe, je la fais bouger lentement sur le haut de ses magnifiques jambes. Pendant ce temps ma main a arrêté de toucher sa gorge. Je relève mon visage et la fixe, d'un air passionné et mauvais, révélant quelque peu ma nature d'animal.

Je plaque mon visage contre le mien, et scelle nos lèvres pour un baiser sauvage et interdit.

Après ce baiser qui avait paru si long, je la fixe, mais cette fois ci, à la place du regard dur, un regard doux le remplace.

- Adela .... chuchote-je en souriant. J'ai besoin de toi, la, maintenant, j'ai besoin de te sentir, j'ai besoin de te toucher, j'ai besoin de toi...
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyDim 20 Oct - 13:36

Il se jeta sur moi avec fureur nous renversant dans un bruit sourd dans ce grand bureau silencieux. La douleur de mon dos me parue presque anodine tant le désir que j'avais de lui étais grand. Je ne voyais rien d'autre que sa bouche, je ne sentais rien d'autre que son corps sur le mien, son poids m'entravant avec délice. Il joignit nos lèvres fermement, durement, m'empêchant toute fuite. Je me tortillais sous lui, souhaitant sentir sa chaleur contre la mienne mais il ne me laissait aucun répit jusqu'à ce que finalement il murmure contre ma bouche qu'il me voulait. Qu'il voulait me sentir. Maintenant. Si mon envie première fut de me laisser faire, rapidement je me ressaisis en me rendant compte que je n'avais toujours pas eu la réponse à ma question.

Qu'est-ce qu'il voulait de moi ? Je savais que ce n'était pas juste mon corps, je le sentais du moins. Pas uniquement. Je ne sais plus, tous s'embrouilles dans mon esprit, le poids de son corps et sa bouche si proche de la mienne me font perdre tous mes moyens. Pourtant je devais me ressaisir, j'étais en sous-vêtements allongée sous un homme qui semblait me désirer plus que tous et... Je restais là, comme une idiote, sans bouger. Des hommes j'en avais eu des dizaines et généralement aucun ne m'avait jamais impressionner ou ne serais-ce qu'intéressait mais lui c'était différent.

Reprenant contenance je lui fis un sourire ravageur alors que ma main se glissait sur son corps jusqu'à s'arrêtait contre son entrejambe. Je serrais un peu avant de commencé une légère pression de haut-en-bas en me mordant la lèvre :

-Vous me voyez flatter Docteur...  Pourtant...

Je relevais un peu la tête de façon à caressait ses lèvres des miennes dans un mouvement lent et calculé en attrapant sa lèvre inférieure entre mes dents. Je soignais la "morsure" en suçotant doucement sa bouche. Je lui offris un nouveau sourire et le repoussais assez brutalement afin de me relever dignement. Je me baissais pour attraper une cigarette dans ma veste et me dirigeais vers le bureau en faisant claqué mes talons sur le sol. Je pris place sur le bureau en allumant ma cigarette et croisa les jambes :

-Vous pourrez faire ce que vous voudrez de moi quand je saurais pourquoi vous m'avez "dévorer" du regard la première fois que je suis entré ici. Dis-je en mimant les guillemets et avec un sourire amusée.

S'il voulait m'avoir il allait devoir ramer pour ça, et profondément ça me rassurée sur le fait que j'étais irrésistiblement attirée par lui. Je devais reprendre le dessus sur lui, sur moi. Oui, j'allais maîtriser la situation. Oui, il le fallait...
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Mads Sullivan
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyMer 23 Oct - 21:10

Elle a osé ! Je ne dis cependant rien, je la laisse descendre sa main vers mon entre jambe, en laissant échapper un soupir d'envie. Elle ne devrait pas, mais je la laisse faire, je la laisse monter mon désir charnel... Pourquoi ? Je n'ai jamais ressenti de choses comme ça. Enfin si, mais quand j'imaginais dévorer les gens, pas forcément leur faire l'amour. Pas forcément les embrasser, entrer en eux de manière si "sauvage, humaine". Je n'imagine ça que depuis quelques instants. Avec elle ... Alors que ça aurait été n'importe qui d'autre, il serait passé entre mes crocs acérés. Mes crocs que d'ailleurs je plante dans la chair de son épaule, sauvagement, sensuellement ... Si tendre, si douce ... Revoilà mon instinct primaire qui revient directement. Je ne l'imagine plus trop maintenant nue sous mon corps, mais dans une assiette, cuite à point accompagnée d'une salade de saison et d'un très bon vin.
Je sens sa main qui serre désormais ma partie intime. Qui change d'un coup. Il devient plus ferme, répond à son appel, répond à la chaleur ambiante. Apparemment, mon corps ne veut pas la manger tout de suite. Il veut d'abord .... l'avoir, vivante, je veux dire. Il faut que je renonce à ce désir, il faut que je fasse taire mon corps. Il est perdu, ne sait plus quoi faire. IL est perturbé, ça doit être ça. Si aussi elle arrêtait de me chauffer, peut être bien que j'arriverais à me concentrer à la manger, à reprendre pied ! Mais en cet instant, c'est dur de penser à autre chose que ses baisers.

Elle s'éloigne pendant un moment intime, pourtant, va s'allumer une cigarette, et me pose la question qu'elle n'aurait jamais dû poser.
Je reprends peu à peu mes esprits, me relève, la regarde avec une pointe de désir qui ne peut s'enlever, mais essaie de soutenir son regard.
D'une voix glaciale empreinte d'envie, j'arrive à dire non sans mal :

- Mademoiselle, permettez moi de m'excuser pour ma conduite quelque peu osée, je n'ai pas pu m'empêcher de répondre à mon instinct. En vous cachant ce que je voulais vraiment de vous ... Vous devez penser maintenant que je vous désire ardemment, vous vivante, je sous entends. Que je désire coucher avec vous, ou bien faire je ne sais quoi. Tout ceci ( je prends un instant pour me gratter la gorge, ce qui sous entend que je ne crois pas spécialement à ce que je m'apprête à dire ) est pure foutaise. Je ne désire rien de sexuel envers vous. Ce que je désire est tout autre. Je vous veux, certes, mais pas dans ces conditions.

Je m'approche désormais d'elle, d'un pas de prédateur, le regard vif, comme si j'allais achever ma proie.

- Je pense de plus en plus sérieusement ... à vous manger.
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyMer 23 Oct - 21:59

Il reprit contenance avec tant de facilité qu'il me fit perdre la mienne. Soudain, je me sentis bien moins sure de moi. Je me raidis sur le bureau alors qu'il m'expliquait que non, il ne me voulait pas sexuellement parlant. J'eus un rictus malgré moi. Avant peut-être pas mais maintenant oui, du moins si sa bouche mentait son corps, lui, ne mentait pas. J'allais répliquer lorsqu'il reprit la parole et ses derniers mots me laissèrent sans voix. Me... Manger? Sérieusement. J'attendis un instant, peut-être était-il simplement entrain de se foutre de moi mais non, il était on ne peut plus sérieux. Je restais aussi impassible que possible, ce n'était pas le moment de paniqué ou de faire quoi que ce soit de travers qui lui ferait péter un plomb. Je décroisais les jambes et m'avançais vers lui sans quitter son regard. Je devais jouer ma meilleure carte, celle sur laquelle je gagnais toujours : La séduction.

Je m'arrêtais face à lui. Mes affaires étaient posées juste à ses pieds. Lentement et toujours sans quitter ses yeux je me baissa et attrapa un petit poignard dans ma poche de veste. une fois remise debout je lui glissais dans les mains et pointa la lame contre mon ventre.

-Un seul geste et voilà votre souhait exaucé mais...

Je me collais complètement contre lui, remontant ma jambe entre les siennes alors que mes bras entourèrent son cou. Je me pencha en avant jusqu'à atteindre son oreille :

-Votre corps me désire et je suis sûr que votre tête aussi. Vous pouvez vous mentir à vous-même, vous persuader du contraire mais votre corps... Lui ne ment pas.

Et pour appuyer mes dires je glissais une mains sur son entrejambe avec un sourire ravageur.

-Alors Docteur, tuez-moi, ou embrassez-moi... Il ne peut y avoir qu'une solution n'est-ce pas ?

J'avais jouer une carte dangereuse et j'y laisserais peut-être ma vie mais malgré la peur qui me tiraillait les entrailles je le désirais réellement et j'étais curieuse de savoir jusqu'où tout ça pourrait me mener. De toute façon je n'avais pas une vie réellement captivante alors autant la pimenter un peu. Au pire, personne ne me regretterais et je ne regretterais personne.
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Mads Sullivan
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyJeu 24 Oct - 18:28

Elle me rend la tâche trop difficile. J'ai beau lui affirmer avec assurance que je ne veux pas d'elle, que je veux simplement la manger, on dirait qu'elle joue avec. Elle n'est pas effrayée, au contraire, elle me pousse à faire ce geste impardonnable. Pourquoi ? Est-ce parce que tout simplement elle ne tient pas à sa vie ou bien elle ne me croit pas capable de la tuer froidement ? Il faut que je lui prouve que si. Je sens une pression sur mon anatomie masculine. Elle me provoque vraiment, elle ne sait pas à quel jeu dangereux elle joue, ou bien peut être qu'elle se moque de perdre la vie. Elle est contre moi, tout son corps contre le mien. Elle me provoque du regard, tout en me glissante le poignard entre les doigts et de le pousser contre son ventre.

- Tu ne sais pas à quoi tu joue, Adela ! Tu me crois incapable, tu veux une preuve du contraire ? murmure-je froidement, mon souffle se plaquant contre le creux de sa gorge.

Je la recule de quelques millimètres de moi, et avec un sourire malsain, je déchire l'air en deux en le coupant avec le poignard. Bien entendu, ce n'est pas juste l'air que j'ai coupé. Du sang s'échappe maintenant de l'ouverture qui se déchire et s'ouvre de plus en plus dans le ventre de ma patiente.
Je vois son sang couler, je me réjouis du spectacle. Mon instinct primaire cannibale reprend pleinement le dessus.
Au moins, c'est ce que j'aurai pensé en lui déchirant le ventre. Mais non, apparemment pas complètement.

Je me jette sur elle, plus précisément mon visage se jette sur la blessure de son ventre pour en lécher chaque infime goutte de sang qui s'en échappe. Boire son sang est un délice. Un goût sucré, parfumé ...

Je l'ai faite tomber le dos contre le sol. Elle doit sûrement avoir mal, mais ce n'est pas mon problème. Elle est devenue encore plus désirable maintenant que le sang est étalé sur son ventre. Je l'absorbe en plusieurs coups de langue, plus sensuels et sauvages les uns que les autres. Tout à l'heure j'étais un peu en transe mais encore un peu conscient si l'on peut dire, là non, je suis totalement parti dans le désir du corps de l'autre ...
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyJeu 24 Oct - 21:28

Je savais parfaitement à quoi je jouais et je n'avais pas peur de mourir et je n'avais pas peur de lui non plus. J'avais été blesser à plusieurs reprises alors dans le cas où il voudrait me laisser en vie, une cicatrices de plus ou de moins ne ferait pas de différence. Un bruit de métal déchira l'air et une douleur vive s'insinua dans mon ventre. Je baissais les yeux pour constater qu'il venait de me lacérer la peau avec le poignard. J'eus à peine le temps de réaliser que je me retrouvais plaquer sur le sol, lui au dessus de moi et sa bouche avide à la recherche du liquide vital qui circulait dans mes veines. Ce n'était pas une entaille profonde et sa salive permettait d'endormir la douleur, je me surpris un instant à trouver ça agréable. Mon regard se baissait sur lui alors qu'il aspirait la peau de mon ventre avec avidité. J'entendis des soupirs d'aises et des grognements qui ressemblait à ceux d'un animal affamé. Mes doigts glissèrent dans ses cheveux lentement et je fermais les yeux en serrant un peu plus sa tête contre mon ventre.

N'importe qui aurait été terrorisée à ma place et je croyais l'être aussi mais à ma grande surprise je me rendis compte que la douleur mélangée à l'odeur métallique du sang donner un aspect animal qui éveiller mes sens indéniablement. J'émis une pression sur ses cheveux afin de lui faire relever la tête et je me redressais d'un bond afin de me trouver face à lui. Son visage était couvert de sang. De mon sang. Et à cet instant précis, le souffle rauque et les yeux remplis de désir je le trouvais plus beau et plus excitant que jamais. Lentement je levais la main vers son visage et glissa mon index le long de ses lèvres recueillant le sang qui y logeait. Je fixais longuement mes doigts avant de l'apporter contre mes lèvres, goûtant à ce liquide si familier. Une fois fait je fixais son regard sans ciller, plus déterminée que jamais.

-Je n'ai pas peur.

Et sans lui laisser le temps de répondre je me jetais sur ses lèvres avec avidité, mélangeant nos salives et mon sang. Dans un profond soupir je me collais complètement contre lui, serrant son cou de mes bras. Je me redressais juste assez pour grimper à califourchon sur lui. Une fois installée je me séparais un instant de lui et murmura contre ses lèvres :

-A mon tour de te goûter.

Et je lui mordis violemment la lèvre jusqu'à sentir sa chair craquée sous mes dents. Un liquide chaud glissa dans ma bouche, celui au goût métallique dont ce cher Docteur était si friand. Je pouvais être aussi dangereuse que lui et je voulais lui faire clairement comprendre. Je me reculais d'un seul coup et repris :

-Alors, jusqu'à quel point avez-vous envie de me goûter mon cher Docteur...

J'avais soufflé ça contre ses lèvres lentement, prête à répliquée à sa prochaine attaque, si attaque il y avait. Il était dans une sorte de transe folle et il était diablement beau et excitant
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyVen 25 Oct - 22:45

Elle voulait me dévorer aussi maintenant. Cela m'excitait encore davantage. Nos sangs se mélangeaient dans la violence de nos corps s'entrelaçant. Plus elle se collait à moi, plus son odeur se collait à ma peau quasiment nue. Mais pas entièrement ... Tandis qu'elle dévorait mes lèvres avec avidité et qu'elle avait grimpé sur moi en califourchon, je m'occupais à retirer le bas de mon pantalon. Je voulais la posséder, je voulais être en elle, d'une façon que je n'avais encore jamais eue avec un ou une de mes patients.
Elle n'avait pas l'air effrayée par moi, elle avait vraiment captivée par mes moeurs meurtrières. Sûrement que son  métier de tueuse l'avait déja amenée à des terrains non très engageants. Elle devait avoir l'habitude de gens assez originaux. Mais des comme moi, on ne croise ça qu'une seule fois dans la vie. D'ailleurs c'est la dernière chose qu'on peut voir avant d'être dégusté dans une assiette en argent.

Tandis que mes mains se baladaient sur elle, je la regardais saigner, encore et toujours. Son sang se mélangeait au mien, tous deux entraient avidement dans la bouche de l'autre de façon quasi-érotique. Mais le fait est que malgré nos actes d'amour, ma patiente continuait de saigner, de plus en plus ...

- Adela ... Attends ... arrivais-je à soupirer entre deux bouffées d'air. Il faut que ... tu arrête de saigner sinon, je risque de te tuer. Et ce n'est plus l'intention que j'ai envers toi. Alors guéris avant que je ne te dévore !

Je sortais ma baguette et l'agita dans l'ai d'un simple geste sans prononcer un mot. J'étais expert en la magie. Son ventre ne saignait plus. J'étais ravi de constatait qu'il restait quand même quelque chose de mon passage sur Adela. Un sourire sur son ventre, un sourire qui traversait sa peau d'un coté à l'autre. Il restait une cicatrice béante sur son estomac, qui ne partirait jamais, grâçe à mon sortilège.

Tout en caressant sa cicatrice du bout de mon index en souriant de satisfaction, je chuchotais comme pour moi même :

- Voilà, Adela. Maintenant tu te souviendra à jamais de moi, tu saura à qui tu appartiens ... Et ce pour toujours. Maintenant que nous avons fait plus ample connaissance, je me permets de te demander si tu voudrais en savoir plus sur la "cuisine humaine" et si tu voulais que je t'apprenne quelques recettes maison ...
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyVen 25 Oct - 23:18

Mon corps tout entier réclamait le sien, je voulais qu'on ne fasse plus qu'un, j'en tremblais d'envie et d'impatience mais alors que nos corps s'enflammaient dans un rythme grandissant il stoppa nos baisers d'un murmure mais je ne voulais pas le laisser parler. Je l'embrassais encore et encore jusqu'à ce qu'il me dise vouloir me soigner. Il ne me voulait plus morte? Je restais interdite alors qu'il me soignait avec sa baguette laissant une longue cicatrice blanche sur ma peau. Il la caressa du bout des doigts et m'assura qu'à présent j'étais à lui. Je n'avais pas besoin de ça pour savoir que c'était déjà le cas. Je lui appartenais déjà corps et âme, il était le seul à me faire vibrer ainsi. J'allais ravir à nouveau ses lèvres lorsqu'il me coupa en me demandant si je voulais apprendre plus sur la "cuisine humaine". Je restais un long moment silencieuse et immobile. Je ne m'étais pas réellement posée la question au départ et si l'idée aurait dû me dégoûtée, à l'inverse elle me parut intéressante mais pas maintenant. Pas là. Je ne supporterais jamais d'être à quelques centimètres de lui sans sentir sa peau contre la mienne, sa bouche contre mes lèvres. Je glissais mes mains dans mon dos afin de dégrafer mon soutiens-gorge et le laissa glisser sur le sol. Je retraça la courbe de ma poitrine du bout des doigts avant de prendre une de ses mains pour la poser à plat sur mon sein.

-Oui. Oui j'accepte d'être ton élève, d'être auprès de toi, d'apprendre de toi mais là...

Je serrais sa main afin qu'il commence une caresse lente mais prononcée. Je fermais les yeux et me mordis la lèvre en soupirant d'aise. Était-il possible de devenir droguée à une personne ? Car si c'était le cas, j'étais totalement accro à cet homme. Toujours installée sur son bassin je commença un lent va-et-viens contre celui-ci, mouvant mon corps contre le sien. Je pouvais sentir l'étendu de son désir entre mes cuisses et une chaleur m'envahie de la tête aux pieds.

-Plus tard, je t'en pris, plus tard... Je te veux. Maintenant. Soufflais-je contre sa bouche.

Sans un mot de plus je l'embrassais à nouveau à perdre haleine alors que mes mains s'affairaient à lui ôter son pantalon. Juste ce qu'il fallait, je ne voulais plus attendre. Dans des gestes précipités et imprécis je lui enleva sa veste et ouvrit à moitié sa chemise alors que je le repoussais afin de me caler sur son bassin. J'attrapa ses bras et les plaqua de chaque côté de son visage, seul mon sous-vêtements nous séparait encore de notre union charnel. Je me pencha contre lui, collant ma poitrine contre son torse à moitié nu :

-Laisse moi t'apprendre l'amour en échange...
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptySam 26 Oct - 19:16

Je lui demandais d'être mon élève en cannibalisme mais elle ne voulait pour le moment que du sexe. Ah les femmes ... Mais en même temps, tout en voyant l'impact que cette femme avait sur mon attribut, ce serait mentir de dire que moi je n'en n'avais pas envie. Elle s'était affairée à accélérer les choses. J'étais débarrassé de mon bas, et ma veste, avant que je m'en rendre compte, était déja à moitié enlevée.

- M'apprendre l'amour ? Laisse moi te montrer que je suis déja expert en la matière ... lui dis-je en riant doucement.

J'arrachai ma veste d'un coup de main sec, elle se retrouvait en morceaux sur le sol de la pièce maintenant retournée dessus dessous.
Elle était plaquée sur moi, assise, frottant le bas de son corps contre le bas du mien. Mais pour moi ce n'était pas assez, il en fallait plus. Je voulais coucher avec elle, certes, mais de façon animale, cannibale, pourrais-je même dire.

Je me relevai en une seconde, la regardais comme mon futur repas, menaçant, mais tellement envoûtant. C'est parti, le cannibale est dans la place. Je posai mes mains sur ses épaules et sans une seconde de répis pour qu'elle puisse comprendre ce qu'il se passait, je m'avançais et la poussais en arrière par la même occasion. Jusqu'à ce que son dos atteigne brutalement le mur. je me jetai maintenant sur elle, de façon beaucoup plus animale et brutale qu'humaine. Mon visage se collait contre sa gorge, je la mordais, je la faisais saigner, et soudainement j'entrais en elle en poussant un très long gémissement de plaisir.

Notre amour fut très long, empli de sang, de passion ... Je n'avais encore jamais connu ça. Je la regardais pendant notre acte, plein de passion, plein d'envie dans le regard. Je grognais encore et encore tel un animal sur sa proie. C'était juste sauvage, fusionnel ... Nous étions devenus deux amants si semblables mais en même temps si différents.

J'étais désormais allongé, sur le dos, quasiment nu, les yeux dans le vide à repenser à ce que nous venions de faire. Cela ne me ressemblait pas vraiment. Elle me rendait si différent.

- Adela, je ... que faisons nous maintenant, toit et moi ?

J'avais posé cette question avec un sous entendu d'inquiétude dans ma voix. Oui, c'est vrai. Maintenant que ceci était fait, que nous avions obéi à nos pulsions et qu'elles s'étaient calmées maintenant, qu'adviendrait-il de nous maintenant, et pour le futur ? Qu'allions nous faire ?
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyJeu 14 Nov - 19:31

Je ne l’imaginais pas comme un homme doux en amour mais la dureté avec laquelle il me plaqua contre le mur m'arracha un cri de douleur, pourtant lorsque sa bouche avide plongea contre ma gorge je me laissais aller, fermant les yeux en appréciant le touché si chaud de sa langue. Soudain il planta ses dents dans ma chair et je tira brusquement sur ses cheveux en poussant un nouveau cri douloureux tout en me sentant diablement excité par sa violence animale. J'avais toujours aimer les hommes dangereux et lui me semblait être de loin le plus dangereux que j'avais rencontrer. Il entra en moi d'un brusque coup de rein en lâchant un long et profond gémissement de plaisir que je lui rendis presque instantanément. Je m'accrochais à son cou alors qu'il allait et venait en moi à une vitesse folle, maltraitant mes cuisses de ses mains puissantes alors qu'il léchait le sang qui coulait le long de mon cou. Ca semblait l'excité au delà des mots. Je tirais à nouveau brutalement ses cheveux en arrière et joignit nos lèvres dans un baiser au goût métallique.

A chaque nouveau mouvement de sa part j'étais certaine de perdre pieds. Je n'étais plus qu'un mélange de plaisir, de douleur, d'émotions et d'une chaleur au creux de mon coeur. Je me sentais bien même si ce n'était pas à proprement parler un acte d'amour mais plutôt un échange charnel. Je ne saurais dire combien de temps durèrent nos ébats mais aussi loin que je m'en souvienne je n'avais jamais pris autant plaisir qu'avec lui. Nous atteignirent le paroxysme du plaisir ensemble et après de longue seconde pour reprendre son souffle, il se retira de moi et s'étendit sur le sol, entièrement nu.

Je restais immobile derrière lui, glissant mon regard sur son corps avec délice. Il avait un corps vraiment bien dessiné et si je n'étais pas partisane des poils à la base, ceux sur son torse était juste parfait à mes yeux. Je me sentis rougir lorsque mes yeux glissèrent sur son entrejambe. Pourtant j'avais vu des hommes nus avant lui mais là, c'était... différent. Finalement il me demanda ce qu'il adviendrait de nous à présent. Il avait presque l'air inquiet et je sentis mon coeur bondir dans ma poitrine. Est-ce qu'il tenait à moi alors ? J'allais m'allonger à ses côtés. Je posa ma tête dans ma main et de mon autre main je caressais son torse nu.

-Maintenant, vous pourriez me soigner cette vilaine morsure docteur. Murmurais-je avec un sourire.

Je me penchais vers lui afin de ravir ses lèvres dans un baiser léger et doux contrastant agréablement avec notre acte bestial. Je n'aimais pas les niaiseries mais je ressentais ce besoin de le caressais tendrement, de l'embrasser, de lui faire l'amour... Car à présent je comprenais cette fameuse différence entre du sexe pur et dur et de l'amour.

-Ensuite je pourrais te montrer ce que j'ai appris de l'amour à ma façon... Glissais-je dans le creux de son oreille avant de mordillait le lobe entre mes dents.

Ma main vagabondait sur son corps, retraçant ses muscles saillant allant jusqu'à caresser la ligne de poil brune sous son nombril. Je souris et me pencha sur son ventre avant de taquiner son nombril du bout de ma langue. Je posais ma tête tout contre son coeur et le fixa dans les yeux :

-Ensuite, tu peux me faire un dîner, je meurs de faim.

J'espérais qu'il comprendrait de quel dîner je parlais. J'étais curieuse de le connaître encore plus, d'apprendre sa façon d'agir, de penser, de réfléchir. Il me fascinait.
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MessageSujet: Re: L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) L'appel du cannibale ( Privé Adela Foster ) EmptyMer 20 Nov - 0:03

Apparemment elle a faim, la jeune Adela. Ma jeune apprentie ... Elle ne sait pas ce que cela veut dire que de vouloir apprendre à entrer dans mon monde. Ce ne sera pas si simple. Si elle veut vraiment manger le même met délicieux que moi, il faudra qu'elle le chasse. Et bien entendu qu'elle le tue. Le repas n'en sera que plus délicieux. Il faut qu'elle chasse, il faut qu'elle réveille en elle son instinct animal, il faut qu'elle enlève tout ce qu'il y a de plus humain.
Mais bon, soyons généreux. Le premier repas, je le lui offre. je n'aurai fait cela pour personne qui aurait su l'origine de mes repas et qui aurait voulu y goûter. Je dis ça parce que la plupart des personnes que j'invite à manger n'ont bien entendu pas conscience de la viande qu'elle mangent réellement, jusqu'à ce qu'elles même les rejoignent dans mon assiette quelques jours plus tard.
Mais elle, cette jeune femme, mon amante des ténèbres sait mon secret. Et veut le partager ... Chose qui ne m'était encore jamais arrivée. Si belle, si douce, à première vue, on n'imaginerait jamais qu'elle puisse avoir des cotés aussi sombres. Je vais me faire un malin plaisir à l'emmener dans mon monde empreint de noirs secrets. Elle sera mon apprentie, elle sera mon amante. Eternellement. Elle n'en n'aura plus le choix une fois que les leçons auront commencé.

Je me lève, après un bref instant passé dans mes pensées, prend mon haut jeté dans un coin de la pièce et l'enfile, je fais de même pour le bas. En deux secondes, me revoilà en smoking, mais les cheveux en bataille.
Je passe ma main machinalement dans mes cheveux, redresse une mèche tombée devant mes yeux doucement, du bout de mon doigt, tout en fixant Adela.

- Ma chère, il se trouve que j'ai faim aussi. Il se trouve que j'ai de superbes morceaux dans mon frigo à mon appartement. Il te suffirait de ... me suivre là bas. Chez moi, je veux dire. Si tu le veux bien ...

Je me baisse vers elle pour déposer sur son front un léger baiser. Je reste penché vers sa direction en lui souriant. J'attends sa réponse. Me suivra t-elle dans sa demeure ? La suite des événements ne dépend que de sa réponse. Elle me suit, et son destin sera gravé entre mes mains, ou bien fuira t-elle son destin ?

RP TERMINE
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