Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END]

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source - tumblr

Songbird Naëlle, Candelaria

▬ Avatar « Isabelle Fuhrman ».
▬ Date & lieu de Naissance « Un 14 mai, à Nottingham ».
▬ Age -- Reel & Physique « 15 ans, pour les deux ».

▬ Maison souhaitée « Je donne carte blanche au Choixpeau parce que c'est bien plus drôle ».
▬ Matiere Préférée && Detestée «Préférée; Métamorphose ~ Détestée; Sortilèges».
▬ Facilités && Difficultés « Facilités; Potions ~ Difficultés; Botanique ».
▬ Qualités && Defauts « • Douce • Avenante • Studieuse • N'a qu'une parole • Franche • Mutique, la plupart du temps • Tendances psychotiques • Suicidaire • Malsaine • Meurtrière • ».

▬ Famille -- Généalogie abrégée « Une mère journaliste dans un magazine sorcier. Un père moldu, éminent avocat à Londres. Une petite soeur étudiant elle aussi à Poudlard ».
▬ Statut du Sang « Sang mêlé ».
▬ Statut Marital « Célib' à terre ».
▬ Orientation sexuelle « Hétéro' ».

▬ Orientation « Entre le Bien & le Mal ? Je m'en fous, qu'ils continuent à se taper dessus ».
▬ Patronus desirés « J'en ai pas encore mais paraît que je vais apprendre à en faire un cette année ».
▬ Animal de Compagnie « Nothing ».
▬ Composition de la baguette « 34 centimètres, bois d'If & crin de licorne ».

Histoire

«

Me trouveras-tu...Si je me cache ?...Et m'en voudras-tu...Si je t'attache ?...J'en ai marre de jouer...Avec ma poupée...Voudrais-tu me voir...Dans ma belle robe ?...Au fond du couloir...Je me dérobe...Et si tu me suis...Tu es la souris !

Tout aurait pu être normal. Tout aurait pu être beau. Nous aurions pu avoir une belle vie, être des gens totalement ordinaires. Je suis la fille d'un fou mais aussi celle d'une âme trop faible. Deux choses qui ne vont pas ensemble. Trop d'antagonismes pour une si jeune personne. Nous étions mal partis, dès le départ. Je ne le savais pas. Pourtant nous ne pouvions pas vivre heureux. Nous ne devions pas. Prédestinée à la souffrance. Refuge de la haine des autres. Réceptacle de leur connerie. Trop empathe peut-être ? Trop faible ? Trop conne ? Je pense que je ne saurais jamais si l'erreur vient de moi...Il est trop tard. Trop tard pour tout. Pour vivre, aussi ? Sûrement. Tout avait si bien commencé...Nous étions l'une des familles les plus normales de la ville de Nottingham, vous savez. Un excellent avocat Londonien marié à une journaliste charismatique, un peu énigmatique. Deux enfants. Deux filles. Quatre ans nous séparent et pourtant...Elle compte tant à mes yeux. Elle comptait. Oui, je parle au passé de notre famille épanouie. J'aurais pu mourir pour Prim', juste pour la protéger. Aujourd'hui...Elle est la seule raison pour laquelle je tiens encore debout ? Pour laquelle je suis encore en vie ? J'sais plus. Je me perds dans les souvenirs, dans la séparation, dans la mort. Faites taire tous ces bruits autour de moi. Laissez-moi crever ! Pour absoudre des pêchés imaginaires, peut-être, mais...Laissez tomber. Vous êtes comme tous ces psychiatres en blouse blanche. C'est quoi le blanc ? Foutez-moi la paix ! Faites taire les voix ! Allez crever ! Vous êtes incapables de comprendre.

C'était eux. C'était nous. Notre histoire de fous. Qui aurait pu prévoir que papa était un salaud, si instable mentalement ? Qui aurait pu deviner qu'il allait vouloir tuer maman après une dispute ? Est-ce qu'elle avait peur ? Était-elle résignée ? Je crois que j'étais folle. Déjà à l'époque. Folle et bouleversée, un peu suicidaire. Je me suis interposée. J'ai pris le coup de couteau de cuisine en plein dans le ventre. Ça aurait pu être l'abdomen ou encore un poumon. Mon cœur aurait pu être perforé. Prim' était dans un coin de la pièce. Je le savais. J'étais juste capable de savoir qu'elle était là. Elle devait avoir six ans et je me disais qu'elle serait toujours là. Papa me regardait avec ce regard de dément et contemplait son arme comme si le liquide vermeille éveillait des milliers de sensations en lui. Pas des mauvaises sensations. Moi je crevais à ses pieds. Peu lui importait. C'était un cinglé et moi je ne savais pas. Jusqu'à ce jour. Papa est ensuite sorti précipitamment. Maman a juste appelé les secours. Primrose ? Je ne sais pas. Toujours est-il que je suis en vie. Je crois. Une partie de moi s'est égarée dans cette pièce, en cette nuit de novembre. Je ne parviens pas à la retrouver. Pourquoi ? C'est peut-être ça le problème, je suis incomplète. J'voulais mourir parce que c'que j'avais vu était bien trop horrible à assimiler et à supporter à mon âge. Plus-tard, j'ai encore plus prié pour crever. Non. Le calvaire n'était pas terminé. Je pense que ça aurait été trop beau. Trop facile. La Vie, la Mort, elles préfèrent s'amuser avec nous. Longuement.

Tout aurait pu se terminer ainsi. Il était parti loin de nous et la quiétude était revenue. Pourtant...Il fallait qu'il enfonce encore plus le couteau dans la plaie. Qu'il le tourne et le retourne dans la blessure. Créer l'hémorragie, se fut si facile pour lui. Éclater nos nouvelles illusions, les envoyer mourir aux quatre coins du monde. C'est l'image qui s'est inscrite en moi la nuit ou il a brisé la fenêtre de ma chambre. Il s'est approché pas à pas, sans faire de bruit. Il avait besoin de blesser maman. Faut croire que j'étais la chose idéale pour qu'il arrive à ses fins. Oui, je dis chose car je n'étais guère plus à ses yeux. Quand j'ai aperçu son ombre au-dessus de mon lit, mon premier réflexe fut d'hurler mais il m'asséna un violent coup de poing dans le ventre pour me réduire au silence. « PRIM ! PRIIIM ! MAMAN ! ». Une gifle qui claque comme un fouet, une joue endolorie. Hissée sur ses épaules comme un vulgaire sac. J'ai eu beau me débattre, je me suis quand même retrouvée allongée sur la banquette arrière de sa voiture. Je n'avais plus de mots, plus de courage pour crier. Juste de la bile âcre qui se massait dans ma gorge. Rien de plus que des larmes qui inondaient mes yeux. J'étais sa prisonnière. J'étais un objet. La fille qu'il avait failli tuer. Il n'était pas mon père. Je n'étais plus rien. Dans cette voiture qui nous emmenait tous les deux vers la France, l'avènement d'un cauchemar se dessinait. Je fermais les yeux et il me susurrait des paroles rassurantes. Elles se superposaient aux paroles terribles, meurtrières, malsaines. Mes doigts profondément enfoncés dans mes oreilles, j'aurais voulu crever. Cette nuit là, j'ai eu peur. Pour la première fois. Pas pour la dernière.

C'était le début de la fin. Faut croire. La sienne. La mienne. Tout ça se confond un peu dans mon esprit à présent. C'était comme jouer. Il avait gagné et j'étais la perdante. Sa camionnette « vieux rouge » s'éloignait encore et toujours sur la route et j'avais la désagréable impression que nous n'atteindrions jamais son but. Recroquevillée en position fétale sur la banquette arrière, mes dents s'enfonçaient dans la chaire de mes genoux. Je ne ressentais pas la douleur, juste une angoisse dévorante. J'avais compris que nous allions vers la France. Ce n'était pas un mensonge. Nous nous sommes installés là-bas. Papa avait la double-nationalité, aussi ce fut facile. Là-bas j'ai du me forcer à reprendre une « vie normale ». Ma mère étant sorcière (et plus exactement journaliste dans un magazine sorcier), Prim' et moi étions sorcières de sang mêlée. Je fut donc envoyée dans l'école magique française : Beauxbâtons. J'aimais beaucoup étudier la magie, j'étais plutôt studieuse. J'étais plutôt ordinaire. Normale. Non. Enfin...la première année, peut-être. Papa me forçait à revenir à la « maison » pour les vacances. J'avais toujours peur. Peur de devenir comme lui. Il me disait que c'était dans les gênes, qu'un jour ce serait moi. J'étais faible, incapable de lui résister, incapable de le contredire. Il me manipulait comme une poupée de chiffon, faisait de moi quelque-chose que je ne reconnaissais pas. J'étais douée. Il répétait toujours ça. C'est ce qu'il a dit le jour ou j'ai égorgé mon premier chat. Moi je l'ai fait froidement, je ne comprenais pas. J'étais incapable de saisir le pourquoi du comment, la raison de cet acte. Je ne culpabilisais pas. C'était...Comme si le sang et moi nous étions liés, depuis toujours. Comme s'il m'appelait. Je ne pouvais pas résister. Papa m'avait bien formée, il m'avait bien retourné la tête, si bien que tout ça était devenu normal. Pour moi, c'était dans l'ordre des choses. Je tenais le petit corps de l'animal entre mes bras, petite chose sans vie. Je pleurais. Mes mains étaient couvertes de sang, je ne comprenais pas. Je ne me rappelais pas. Je berçais la petite chose en lui demandant de me pardonner et papa caressait mes cheveux. Il était si fier de moi.

Oui. J'ai essayé de me supprimer. Une partie de moi voulait que tout ça se termine. Une part de moi trouvait que le jeu avait assez duré, l'autre voulait jouer encore. Toujours. Parce que c'est ce que je suis ? Meurtrière. Les entailles sur mes bras vous prouverons que j'ai essayé de m'arrêter, d'en finir avec cette folie. Les médocs. Les lames. Mais finalement il n'y a pas de fin ? Cette partie là je ne peux pas la gagner ou la perdre. C'est juste pour le plaisir, le plaisir d'avoir mal. Un plaisir malsain. Le plaisir de crever, ou de voir les autres qui meurent. Papa continuait à dire que j'étais une bonne fille, que j'allais le surpasser. Il me béatifiait. Il m'encourageait à tuer de plus en plus de petites créatures innocentes. Moi je ne comprenais pas. J'obéissais. Je n'étais plus capable de penser par moi même, parfois. C'était comme un lavage de cerveau. Puis un jour...il m'a ordonné de tuer un humain. Non. Je ne l'ai pas fait. Je n'ai pas pu. J'ai faillit. C'est mal ? Je me suis amusée dans son sang. J'ai pataugé dans une marre de liquide vermeille, répandue par des milliers de lames. Je crois. A la fin, j'ai appelé les secours. Papa m'a giflée. Une brûlure de cigarette par-ci, une autre par-là...Je ne suis peut-être pas la fille parfaite pour lui. Le lendemain je tentais la noyade dans le canal qui bordait la maison. La culpabilité, le...Un esprit malsain, malade et un esprit innocent. Le même esprit. Ils se disputent juste mon corps. Ils veulent me chasser de mon corps. Je ne tue personne, si ce n'est des animaux. J'ai peur de franchir la barrière. Ou se trouve le danger ? Je suis dangereuse.

Arriva finalement le soir de ces fameuses retrouvailles. Papa était très énervée que je n'ai pas réussi la « mission » qu'il m'avait confié. Nous avons repris la voiture tous les deux, pour la première fois depuis 4 ans. J'étais alors âgée de 14 ans. Prim' devait en avoir 10...ou 11 peut-être. Je ne savais pas tout ce que cela signifiait. Nous sommes retournés à la maison. La vrai, je veux dire. Primrose avait bien grandi. Maman avait l'air heureuse de me voir. Je suis entrée. Papa ne m'a pas suivie, il s'est caché. Maman m'a serrée très fort dans ses bras lorsque j'ai couru vers elle. Prim' me regardait d'un coin de la pièce. Encore. Cette fois-ci je n'ai pas pris le coup pour ma mère. Il a été aussi rapide que l'éclair lorsqu'il lui a tranché la gorge. Le sang a giclé sur mon visage, sur ma robe blanche. Je ne voyais plus rien. J'étais perdue. J'ai récupéré le couteau avant d'entailler brutalement la cuisse de mon « géniteur », à l'aveugle. Mais c'était trop tard. Il avait déjà tiré, le canon du revolver à travers sa bouche sanglante. Moi je me bouchais les oreilles, couverte de liquide vermeille. Le sang de ma mère, celui de mon père. J'hurlais. Ce sont les voisins qui nous ont permis de rallier l'orphelinat le plus proche. Ils ont appelé les secours et les services sociaux et...nous voilà aujourd'hui dans une école de magie. Toutes les deux. C'est la première année de ma petite sœur. C'est ma cinquième. Nous avons rallié l'école magique de Poudlard. Nous avons toutes deux reçu la lettre. Pour s'absenter de l'orphelinat ? Je crois qu'un petit tour de lames, ça fait toujours peur aux gens. J'aurais voulu qu'ils m'internent. J'ai du échanger trois mots avec Prim' depuis que nous avons « recommencé » notre vie. Je ne comprends pas mon monde. J'voudrais crever mais...Y a un mais. Y a toujours un mais.

Le 26 août 1997
Orphelinat de Londres

A Primrose, ma petite sœur, ma raison de lutter,
Tu ne liras probablement jamais cette lettre. Tu ne la liras pas parce que je ne vais pas te l'envoyer. Elle restera cachée dans un tiroir. Elle attendra sagement que quelqu'un vienne la lire mais personne ne viendra. Je m’arrangerais pour ça. Personne ne doit savoir ce que je vais te dire. Pas même toi. Doux euphémisme, n'est-ce pas ? Les psychiatres disent que je ne vais pas bien, que je ne parviens pas à m'en remettre, que mon état n'est pas stationnaire. Des gens comme ça, j'en ai vu des tas. Jour après jour, l'orphelinat m'obligeait à raconter, raconter les raisons de mon mutisme. Moi je ne veux pas en parler. Je préférais me boucher les oreilles, toujours plus. Il y a ce son qui hante mon âme. Le son d'un poignard qui lacère la chaire, qui tranche d'un coup vif une gorge innocente. Ce bruit m'habite, me possède. Je crois qu'à force de vivre avec lui et de l'entendre parler de ces choses là...Sa folie meurtrière m'a touchée...Je crois. Peut-être que je suis comme lui ? Trop de choses luttent en moi. Le pire c'est que j'les contrôle pas. Le pire c'est qu'ça me fait pas peur...Dites-moi, c'est grave docteur ? Ils sont tous arrivés à la même conclusion. Je suis un cas désespéré. Pas bonne à interner, non. Juste désespéré. C'est pire que tout, c'est le vide, c'est l'absence de raison. C'est comme...une coquille vide ? Moi je sais qu'au fond il faudrait qu'ils m'enferment. Ils ne savent pas à quel point je peux être dangereuse. Comme lui ? Non ! Je voudrais qu'ils me protègent de moi-même. Je leur crie de m'aider du fond de mon mutisme. Ils ne peuvent pas m’entendre. Je le sais. C'est terriblement douloureux. J'ai l'impression que quelque-chose me consume. Est-ce que c'est ça le Mal ? Je n'ai pas peur. Hm...Ça veut dire que j'aime ça ? Je vous en prie...Je ne suis pas folle ! Tu me crois toi ? Tu me crois Prim', n'est-ce pas ? Pourquoi t'es pas là ? Pourquoi je vois qu'le noir autour de moi ? Trop de noir, trop de blanc. J'ai l'impression de ne plus pouvoir respirer. Ou es-tu maintenant Prim' ? Pourquoi ils nous obligent à dormir dans des chambres séparées ? Moi je t'ai enfin retrouvée. Je voudrais te voir et te parler. Pour que tu plaides ma cause, que tu leur dises que je ne suis pas folle. Que je suis dangereuse, qu'il faut m'emmener loin d'ici. Il ne faut pas que j'aille dans cette école de magie avec toi. J'ai fait des choses...effrayantes. Je me fais peur. Je ne me reconnais plus. Pourtant...Une part de moi aime ça. C'est de sa faute. Avant j'étais innocente, j'étais pure et gentille. Il m'a forcé à boire au calice de la perversion. Je ne m'en suis pas relevée. J'aimerais croire qu'on peut encore me sauver. Tu peux me sauver Prim' ? Je veux qu'ils éteignent les lumières. Trop de blanc me brûle les yeux. Pourtant je ne suis pas totalement noire, mon âme ne l'est pas...Si ?Tu sais, j’additionne les addictions. J'affectionne les tourments. Je collectionne à ma façon. Maintenant je suis au bord du précipice. Tu sais, j'voudrais sauter mais...mais...tu es là. Je pourrais ouvrir cette fenêtre. Je pourrais tenter une mutilation de plus sur mes avant-bras déjà bien meurtris. Tu es là. Je crois que c'est pour ça que j'ai tenu tout ce temps. Je savais que tu étais quelque-part à m'attendre. Non...Tu étais si jeune. J'ignore si tu te souviens de moi. J'devrais peut-être sauter tout compte fait. Non. Ils ne me laisseront pas faire. Même au point ou je suis arrivée, je ne peux toujours pas être maître de mon destin. Je crois que c'est une drogue. Une fois qu'on a touché au sang, on ne peut pas s'en défaire. Je crois que c'est terrible. Je n'en suis plus tellement sûre. Je suis une chose et son contraire. Pas deux personnes dans le même corps, non. Il paraît que c'est encré dans mes gênes. Je ne peux pas lutter ! Tu pourrais m'aider Prim' ? Non...Tu ne seras jamais au courant. Ce serait horrible si tu apprenais. Au fond je suis comme lui, n'est-ce pas ? Ne me laisses pas sombrer. Dis leur que je ne suis pas folle, seulement dangereuse. Dis leur de m'emmener loin, de m'enfermer, de me tuer s'il le faut. Peu importe comment ils s'y prennent. Ce serait mieux pour tout le monde, non ? Non ! Je n'veux pas qu'ils m'emmènent loin de toi ! Pas maintenant que je t'ai retrouvée...J'sais pas, j'sais plus. Et le soir de nos retrouvailles Prim', qu'as-tu pensé de moi ? Tu as pensé que j'étais gentille n'est-ce pas ? C'est ce que je suis. Je crois. Tant que personne ne m'approche. Tant que je n'ai pas de lames à ma portée. Tant que le sang ne me provoque pas. Oui, c'est toujours lui qui commence le jeu, moi je ne fais que suivre. Tu veux jouer avec nous ? Non, ne m'écoutes pas ! Préserves ton innocence. Tu as la chance d'en avoir encore une. Dis leur que je ne suis pas folle, juste un danger, juste...Dis leur juste que nous devons être ensemble, pour toujours.

Aryanna, Ary, si tu te souviens de moi, de nous. De nous avant. Je veux dire.

».

Descriptions

▽ Chevelure qui oscille entre le châtains, le chocolat, l’acajou & le brun▽ Yeux qui se perdent dans des teintes noisettes & vertes, des reflets or peut-être ▽ 55 kilos pour 1m75 ▽ Teint diaphane ▽ Nombreuses tâches de rousseur ▽ Lèvres naturellement roses ▽ Longs cils ▽ Cheveux ondulés qui cascadent le long de son dos ▽ Douce ▽ Instable ▽ Manipulable ▽ D'humeur changeante ▽ Malsaine ▽ Sadique ▽ Psychotique ▽ Un peu folle, peut-être ▽ Avenante ▽ Désillusionnée ▽ Protectrice ▽ Suicidaire ▽ Dangereuse ▽ Studieuse ▽ Attentive ▽ Analyste ▽ Dans son monde ▽ Craintive ▽ Particulièrement mutique ▽ Inaccessible ▽ Unique ▽ Attractive ▽ Effrayante ▽ Ne peut résister à l'appel du sang ▽ Ferait tout ce qui est en son pouvoir pour sa sœur ▽ Détachée ▽ Artiste ▽ Inventive ▽ A l'écoute ▽ Pas schizophrène, contre toute attente ▽ Plutôt douée pour la magie ▽ A horreur des psychiatres & de l'orphelinat ▽ A toujours été plus ou moins rejetée par les gens ▽ Particulière ▽ Solitaire ▽ Les mots « If I die young... » sont tatoués sur son poignet, accompagnés d'une flèche qui les frôle ▽ Facilement contrariée ▽ Susceptible ▽ Encaisse toujours les piques en silence ▽ Capable d'exploser à tout moment ▽

& Again.
▬ Pseudo « Elanora ».
▬ Age « 15 printemps printaniers *out* ».
▬ Niveau de RP « Bon, normalement, enfin...il me semble ».
▬ Presence sur le Forum « 5/7 mon général »!
▬ Comment nous avez vous connu ? « Un MP reçu sur un ancien forum ;) ».
▬ Avez vous bien lu le reglement? « Oui Tata Bella :maggle: »!
▬ Votre Personnage d'HP Preferé? « Hm. Ils sont trop nombreux. Draco, les twins, Snappe, Luna...».

POUFFYCORNE

Bienvenue !

Bienvenueeeeeeeee Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 1378973249

Oui je souhaite la bienvenue à ceux qui me citent dans les persos qu'ils aiment. (bon souvent aux autres aussi j'avoue mais bon. <<)

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 1378973249

Oui mais normal que veux-tu xD Vu le personnage que tu incarnes, tu peux te le permettre Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 2788221432

*paf*

Bienvenue

∆ Age : 35

bienvenue à toi et bonne chance pour finir ta fiche =)

Merci beaucoup Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 1378973249

LVH'

Allez ! Allez ! Au boulot. *CRAC le Fouet*

Mais...mais...mais j'ai presque terminé >.<
J'ai décide que j'étais fouetophobe en plus Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 2788221432

*paf*

Désolée du DP *me frappez pas Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 2788221432

* mais je pense avoir terminé ma fiche ;D

∆ Age : 35

Alors alors déjà bienvenue.

Y a quelques trucs qui me dérangent.

Le patronus -> on l'apprend en 5ème année en DCFM là tu viens d'arriver en 5ème année donc tu ne l'as pas encore appris, de plus DCFM a été remplacé par magie noire donc tu n'apprendras pas ce sort.

Deuxièmement j'aurais préféré que tu fasses des phrases pour la description physique et morale mais ça c'est personnel je pense que ça ne dérange pas plus que ça.

Troisièmement, la manière dont tu as écrit ton histoire est très semblable à celle d'une autre personne du forum. Certains diront "et alors ?" et je leur répondrais que c'est perturbant et que ça ne fait jamais plaisir de voir quelqu'un faire pareil que soit (que ce soit fait exprès ou non.)

Outch ! J'avais pas fait gaffe pour cette histoire de Patronus...Tant pis, je retire ;)

Merci de me permettre de laisser sans faire de phrases...Sinon je galère toujours dans les descriptions de physique & caractère =S

Oh...C'était vraiment pas intentionnel...Mince. Tu parles du dialogue puis de la partie narrée ? Dans ce cas, comment puis-je faire pour y remédier ?

EDIT: C'est bon, j'ai arrangé le problème ;)

POUFFYCORNE

Oki :) Je vais lire tout ça Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 4282798970

Naëlle C. Songbird ~ If I die young...[END] 1345137814-blah

Bienvenue dans les ombres

Felicitations... Desormais te voila libre de t'occuper de tes demandes de RP... ainsi que de tes Fiches de lien. C'est facultatif bien sur, mais c'est toujours chouette de savoir qui kiffe qui et qui fait quoi ... ? Non ? On le sait voyons ! On est tous des comères !

Hum... Allez bon... Ahhh ! J'oubliais, les demandes de rang, tout ça, ça se passe par ici et puis rescencer toutes les choses importantes de ton perso par ici et hum... le plus important dans tout ça..

Viens nous rendre visite sur la Chat box. On mord pas !

SERPENTARD , cria le vieux choixpeau aprés être resté un moment sur ta tête.

∆ Age : 29 ∆ Localisation : Poudlard/Londres

Et si Naëlle refusait de s'aperçevoir que Lins peut s'attacher à elle contrairement aux autres qui voulaient toujours la rejeter ? Sinon j'ai pas énormément d'idée xD

Membre supprimé à la fin du recensement.
Présa archivée