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Que fais tu à Poudlard ?
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 |  Sujet: Tonks - Considérez qu'elle n'a pas de prénom Sam 22 Sep - 22:35 | |
| source - tumblr Tonks
Nymphadora ▬ Avatar « Natalia Tena »
▬ Date & lieu de Naissance « 19 Mai 1973 »
▬ Age -- Reel & Physique « 24 ans »
▬ Groupe « Ordre du Phoenix »
▬ Profession dans le Groupe « Auror »
▬ Ancienne Ecole « Poudlard .»
▬ Ancienne Maison -- Si Poudlard « Poufsouffle »
▬ Famille -- Généalogie abrégée « Sa mère est Andromeda Black, elle est de ce fait la cousine de Sirius et Regulus Black ainsi que de Drago Malefoy (par alliance). Son père était un moldu, Ted Tonks. »
▬ Statut du Sang « Sang-mêlé »
▬ Statut Marital « Célibataire »
▬ Orientation sexuelle « Hétéro »
▬ Orientation « Dumbledore »
▬ Patronus desirés « Dans le livre son patronus est un loup. »
▬ Animal de Compagnie « Aucun »
▬ Composition de la baguette « 26 cm, bois de saule, et ventricule de dragon »
Histoire L’illustre et terrifiante famille des Black n’avait jamais vraiment souffert de traitrise en son sein. Chacun des membres s’étaient rendu célèbre par sa noirceur, son tempérament sombre ou ses originalités cruelles. Générations après générations, cette même idéologie de supériorité, de valeur du sang, se transmettait. Andromeda Black était alors jeune lorsqu’elle découvrit un tempérament sensiblement différent de ses deux soeurs. En secret, elle nourrissait une certaine « sympathie » pour les moldus ; sympathie qui éclata au grand jour lorsqu’elle croisa la route de Ted Tonks, un moldu avec lequel elle s’enfuit quelques mois plus tard. La tapisserie des Blacks fut calcinée pour la première fois et Andromeda ne fut plus qu’une rumeur discrète dans les couloirs du manoir, un nom qu’il ne fallait pas prononcer trop fort.
Le jeune couple s’installa du côté moldu, afin d’être certain de ne pas subir de représailles et pour respecter le souhait de Ted. Andromeda accepta, bien que ce fut un déchirement, de ne plus utiliser sa magie. Après quelques mois, ils eurent un enfant : une ravissante petite fille qu’ils prénommèrent Nymphadora et qui les combla de joie. Cependant, certaines capacités particulières ne tardèrent pas susciter l’angoisse chez ce pauvre Ted. Des cheveux qui changeaient de couleur, des moustaches de chat qui apparaissaient sur le visage juvénile (sans doute pour imiter ce bon vieux Filibert, le matou de la maison), des yeux toujours différents. Andromeda expliqua, avec certaine fierté, que c’étaient là des signes évidents d’un don très rare même chez les sorciers.
Leur fille était métamorphomage.
Difficile d’expliquer alors ce qui se passe dans la tête de Ted. Ils voyaient de telles démonstrations de magie comme dangereuses. Certes, il n’avait jamais ignoré la nature de sorcière de son épouse et l’avait accepté, mais vivre sans la moindre forme de magie le rassurait. D’une certaine manière, il en avait peur. Aussi, tandis que les années passaient, chaque transformation innocente de sa fille l’angoissait, voire le mettait en colère. C’est ainsi qu’il commença à sermonner la petite, pour ne plus qu’elle utilise son don. Impossible de lui expliquer que la plupart des métamorphoses n’étaient alors pas le fruit de sa conscience, mais bien des manifestations tout à fait spontanées. Ainsi le père devint-il de plus en plus aigri, colérique, ne levant jamais la main sur sa fille bien sûr mais la sermonnant chaque fois un peu plus durement. Andromeda était incapable d’enrayer la situation ; chaque explication sur le monde de la magie mettant son époux un peu plus sur la défensive.
Jusqu’au jour où Ted Tonks disparut.
Un matin comme les autres, une belle journée annoncée. Seules de maigres affaires de l’homme avait disparues, mais son départ semblait pourtant d’une évidence écrasante. Nymphadora avait alors 10 ans, ce qui est juste assez vieux pour comprendre ce qui se passe tout en étant trop jeune pour y changer quoi que ce soit. Andromeda prit alors la décision de revenir vivre du côté sorcier, persuadée qu’à présent elles ne craignaient plus rien. Elle reprit sa baguette avec une joie indescriptible et redevint la femme forte et joyeuse qu’elle avait été avant d’être coupée de ses racines. La maison familiale fut revendue et les deux femmes repassèrent donc du côté sorcier, vivant quelques mois dans un très étrange bonheur. En effet, bien que rien ne soit jamais dis à ce propos, l’absence brusque de Ted les libéraient toutes deux. A présent, la petite était libre de se transformer aussi souvent qu’elle le voulait (ce qui, après des années de restriction, revenait à « en permanence ») et sa mère utilisait la magie avec bonheur. Avant, le monde de la magie n’était pour l’enfant que des histoires racontées avant l’heure de dormir. A présent, il y avait des heures de discussions, des ouvrages dévorés avec passion, des rencontres avec d’autres sorciers. C’était merveilleux ; une délivrance inespérée, un bonheur à vous écraser la poitrine.
Ensuite, Tonks reçut sa lettre pour Poudlard.
Il ne faisait aucun doute qu’elle était une sorcière, cependant Andromeda avait nourrit quelques années durant cette angoisse idiote que, ayant quitté sa famille et le monde des sorciers, sa fille ne serait pas la bienvenue à l’école. Elle pleurait en silence tandis que la petite lisait, la voix tremblante d’excitation, la liste des fournitures scolaires de première année.
Pour ce qui est de l’école, on peut dire qu’elle fut une élève... intéressante.
Tonks fut envoyée à Poufsouffle, l’école de la loyauté et, selon ses dires, de la joie de vivre. Elle se fit très rapidement des amis ; son tempérament joyeux, insouciant et drôle lui ouvrant les portes de nombreuses amitiés. L’esprit de sa maison lui convenait à merveille : pas d’esprit de compétition ni de guerre quelconque. Cependant, son entrée à l’école coïncida avec sa rencontre avec une nouvelle forme d’autorité. Les règles, les horaires, les punitions en tous genres. Tout cela lui rappelait un peu trop son père et ces années de restriction de ce qui était pour elle sa nature même. La première fois qu’elle fut réprimandée par un professeur pour un retard, elle ne répliqua rien mais ses cheveux prirent brusquement une couleur rose chewing-gum (couleur qu’elle adopterait par la suite très régulièrement, la trouvant à la fois rigolote et un peu provocante).
Elle était une élève brillante, douée dans de nombreuses matières et excellent particulièrement en défense contre les forces du mal. Un léger bémol pour ce qui était du cours de potions ; elle n’avait pas la discipline et la patience nécessaires. Les années passèrent, Tonks acquis une réputation d’élève turbulente mais douée, pour laquelle les professeurs nourrissaient des sentiments très mitigés. D’une part, elle n’était jamais étrangère à un mauvais coup, à une farce quelconque (de nombreux vols de saucisses dans les cuisines lui furent attribués, de même qu’une paire de chaussettes de Dumbledore qui avait mystérieusement disparue ou encore la découverte de scroutts à pétards belliqueux dans le bureau de Rusard). Mais, d’autre part, elle rendait toujours des travaux excellents en terme de contenus, bien que rédigés dans une écriture en pattes de mouche et sur des parchemins souvent tachés. Le décalage entre ses notes excellente et son apparence se creusait un peu plus chaque jour. Même dans son uniforme, ses cheveux couleur chewing-gum, ses yeux cernés de noir et ses ongles sombres étaient autant détails qui attiraient l’oeil. Alors, lorsqu’il était question s’habiller « normalement »... Pour toutes ces raisons, elle ne fut jamais nommée préfète. Quelle ironie s’eut été de lui confier la tâche de faire respecter les règles aux autres lorsqu’elle même ne passait pas un jour sans enfreindre au moins une close du règlement de l’école.
Elle fut diplômée de Poudlard avec des notes excellentes...
... Ce qui lui ouvrit les portes pour devenir Auror, son rêve depuis toujours. Elle avait toujours eut une réputation d’excitée toujours à chercher la bagarre, à juste titre. En tant qu’Auror, elle serait même payée pour être belliqueuse ! (bon, ça c’était dans sa tête, la réalité fut toute autre) Elle suivit donc la formation pendant trois ans. Ce furent trois années harassantes, tant au niveau physique que mental. Elle se heurta à une nouvelle autorité, en la personne de Maugrey Fol Oeil. Au début, elle se rebella comme une furie contre cet homme qui lui donnait des ordres et l’entraînait avec sévérité. Puis, petit à petit, ils gagnèrent le respect l’un de l’autre et Maugrey devint, plus qu’un instructeur, son mentor. Une figure de père, pensait-elle parfois sans oser l’avouer vraiment. Il lui appris les ficelles du métier, comment survivre, pourquoi se battre, à ne jamais (jamais !) ranger sa baguette dans la poche arrière de son pantalon. Il avait un caractère bougon et rude qu’elle appréciait ; elle était comme un animal sauvage qui ne saurait pas quoi faire de son énergie. Bref, ces trois années firent grandir notre Nymph... pardon, Tonks d’une manière exceptionnelle. Elle conserva son tempérament rebelle, ses manières un peu rude et surtout sa maladresse légendaire mais s’assagit, appris à se tourner vers le monde pour avoir de la compassion pour les autres. Car c’était là une donnée fondamentale du métier d’Auror : un combattant pour les autres, pas pour soi.
Ses examens se déroulèrent presque sans problèmes. Elle n’eut aucun problèmes pour l’examen de dissimulation et déguisement, forcément (même la haute maximale, et sans réviser !). En revanche, la filature lui posa de nombreux problèmes à cause de sa maladresse naturelle. Mais elle devint cependant Auror, à la grande fierté de sa mère et également (bien qu’il ne dit mot) de Maugrey Fol Oeil.
Lorsque l’Ordre du Phoenix fut recrée, elle se porta tout naturellement volontaire.
Elle n’hésita pas une seconde. Mettant ses capacités et son poste au ministère au service de Dumbledore, elle lui offrit sa loyauté la plus sincère et devint membre officieux de l’Ordre. Là-bas, elle eut enfin l’occasion de côtoyer Sirius Black, le cousin de sa mère dont elle avait tant de fois entendu parler, ainsi que d’autres membres qui éveillèrent aussitôt sa sympathie. Bien sûr les temps étaient sombres et le danger rôdait autour d’eux, mais il y avait une chaleur, un lien sincère entre les membres de cette résistance de fortune, dans laquelle Tonks puisait chaque jour une incroyable énergie. Elle avait la sensation d’être précisément à sa place et cette idée qui lui faisait chaud au coeur, malgré les épreuves.
C’est aussi au QG de l’Ordre qu’elle eut l’occasion de rencontrer Remus Lupin. Ah, que dire. C’est difficile de décrire ce qui se passe dans le coeur d’une fille, particulièrement quand elle-même ne le sait pas. Le fait que, pour faire court, elle entra un jour dans la salle de réunion et qu’il se tenait dans le fond, discutant avec Sirius à voix basse, avec ses cheveux en bataille, ses vêtements rapiécés et son air fatigué, et qu’elle en tomba aussitôt amoureuse. Elle garda cet attachement secret pendant des mois, essayant de se raisonner. Apprenant qu’il était un loup-garou, elle aurait pu prendre peur mais son affection n’en fut que plus forte. Finalement, elle eut le courage nécessaire un beau jour pour tout lui avouer. Il lui répondit qu’une relation entre eux n’était pas envisageable : il était trop vieux, trop pauvre et dangereux pour elle. Hors de question, avait-il ajouté. Depuis, notre pauvre Tonks dépérit. Alors même qu’habituellement être rejetée ne lui faisait ni chaud ni froid, cette fois son petit coeur ne s’en remettait pas. Elle n’avait auparavant entretenu que des relations amoureuses plutôt éphémères (avec Charlie Weasley par exemple... puis il lui avait préféré les dragons) et ne s’était jamais véritablement attachée.
Voilà donc où nous en sommes...
Elle est donc amoureuse d’un homme qui l’a rejeté (mais elle ne désespère pas de le convaincre, tenant plus à respecter son instinct qu’à conserver sa dignité), travaille en tant qu’Auror au ministère, membre secret de l’Ordre. Depuis peu, elle a été assignée avec d’autres Aurors à la protection de Pré-au-Lard, près de Poudlard. Ce poste lui permet de garder un oeil sur tout : elle alterne ses déplacement entre le village (va parfois jusqu’à Poudlard), le Ministère et le QG de l’Ordre. Au delà de tout ça, elle essaye de conserver sa joie de vivre, même si les blessures et les pertes s’enchaînent...
Dumbledore et Maugrey. Difficile de ravaler ses larmes et de garder le rose de ses cheveux. Difficile quand sa seule envie et se jeter ans la bataille pour tuer le plus grand nombre et non pas sauver qui que ce soit. Elle essaye de faire taire ses envies de vengeance, elle essaye de ne pas penser aux morts injustes et aux souffrances causées par l’arrogance d’un seul homme, mais c’est parfois difficile. Elle sait que chaque jour pourrait être le dernier, que leur vie est fragile. En tant qu’Auror sang-mêlé et membre de l’Ordre, sa position est plus que précaire. Alors elle continue de se battre, même si ses cheveux perdent de leur éclat, même si les douleurs s’accumulent et que le visage rude Maugrey la hante. Combien de morts encore avant de la facétieuse, rebelle et maladroite Tonks ne finisse par succomber ? En tant de métamorphomage, Tonks a l’avantage de pouvoir transformer son apparence selon sa volonté. Le revers de la pièce étant que son don agit également de lui-même selon ses humeurs. Voici donc les constantes physiques qu’elle conserve, celles qu’elle considère comme propres à son identité. D’abord, il y a ses yeux ; ils restent assez grand, en amande, et surtout pétillants quelque soit leur couleur. La forme de son visage également, assez féminine, ainsi que ses lèvres charnue et plutôt pâles. Ses pommettes sont assez douce, son front plutôt petit. Elle conserve des oreilles petites également. Pour ses cheveux, elle préfèrera d’une manière générale ce joli rose chewing-gum qui lui donne un air de joyeuse folle. Cependant, elle ne peut pas empêcher ses émotions d’influer sur son don et ainsi, depuis quelques mois, depuis la mort de Maugrey, de Dumbledore, depuis le rejet de Remus, ses cheveux perdent peu à peu de leur couleur. Comme tout un chacun, l’apparence de son corps se modifie en fonction de son état émotionnel, son don ce faisant que rendre ces changements plus rapides et visibles. Tonks reste donc une jolie jeune fille, convenablement proportionnée. Ses manières ne sont cependant pas particulièrement gracieuse. Point de mesure et de délicatesse chez elle. D’une part, elle est maladroite, c’est un fait. Atrocement maladroite. La discrétion, l’infiltration, ce n’est pas son fort. Ce n’est pas pour rien qu’elle porte toujours d’énormes boots aux lacets à moitié défaits ; autant admettre que ses qualités tendent plutôt vers l’enthousiasme et la rapidité que la finesse. Qui plus est, et je pense là que c’est le caractère de Maugrey qui a un peu déteint sur elle, elle a acquis depuis quelques années des manières un peu plus rudes, ajoutant encore à sa maladresse.
Pour ce qui est son caractère, là encore beaucoup de choses ont été dites (et expliquées dans l’histoire). Elle a toujours été facétieuse, rigolote et joyeuse. Sa mère l’a très souvent encouragé à voir le bon côté de chaque situation et lui a appris que parfois, conserver son sourire signifie ne pas abandonner. La meilleure façon de résister, parfois. Elle a donc décidé de devenir de ces gens qui amène de la gaieté, font rire dans les moments de crise, allègent la peine par un sourire. Elle est généreuse, patiente et compatissante. Voir quelqu’un souffrir lui est insupportable et elle s’enflammera vite en assistant à une injustice ; rester sur le côté lui sembla alors impossible. Déjà très jeune, elle n’hésitait pas à défendre les plus faibles (bon, je l’admets, c’est aussi qu’elle aimait bien se battre). Elle ne sortait pas toujours vainqueur mais ne regrettait jamais son choix. Pour elle, respecter ses valeurs est le plus important, quoi qu’il en coûte.
Cependant, ses valeurs sont un peu particulières. Le respect avec l’autorité, elle a du mal ; agir convenablement, n’en parlons pas. En revanche l’honnêteté, tenir sa parole, respecter plus faible que soit, aider ceux qui le méritent et protéger quitte à se mettre en danger, voilà ses lignes de conduite. Certes, elle respecte rarement les règles d’un ordre établi mais ne brisera jamais ces valeurs qui lui semblent fondamentales. Tonks a appris de l’expérience de sa mère, elle sait que parfois respecter ce que l’on ressent comme juste peut amener à faire des choix déchirants (comme quitter sa famille), et elle serait prête à agir de même.
Elle a une force de caractère certaine, ce qui correspondant au fait qu’elle est butée comme un âne et sera difficile à freinée une fois lancée. Dans la bataille, c’est une combattante acharnée, dont la maladresse n’est plus un problème puisqu’elle ne choisit pas vraiment la finesse dans sa manière d’attaquer. Elle est très vive et téméraire, sait travailler en équipe et représente une alliée sûre qui saura couvrir vos arrières. Impulsive cependant, elle perdrait son calme face à une scène, une mort injustes.
Pour ce qui est de sa relation avec les autres, elle ne juge pas ni n’a d’à priori sur qui que ce soit. Elle a de la sympathie pour certains, pas pour d’autres, c’est purement spontané. Cependant, elle sera prête à réviser son jugement dans un sens ou dans l’autre suivant les actes de la personne. Pour elle, les actes sont ce qui importent. Les beaux parleurs lui déplaisent autant que les inconscients.
Si on lui demande son avis, elle sera toujours honnête. Ce n’est pas une manipulatrice ou une dissimulatrice. Son seul secret a été son affection pour Remus, qu’elle a dévoilé il y a peu. Elle est directe, franche, parfois maladroite avec les mots mais jamais cruelle. Un peu brute, je l’admets, surtout lorsqu’elle s’enflamme sur un sujet qui lui tient à coeur.
Sa seule dissimulation viendrait aussi, maintenant que j’y pense, de l’idée que les gens se feraient d’elle au premier abord, de part ses tenues et son attitude. Rebelle, certes, c’est évident. Mais on la penserait peut-être un peu idiote et pas forcément douée avec une baguette, ce qui serait une cruelle erreur. Car derrière ses airs de rigolote, la demoiselle est redoutable en combat et d’une intelligence, certes pas d’une finesse incroyable, mais très vive et adaptable. Elle apprends vite et sait observer les autres, alors méfiance. Cette image lui convient tout à fait ; préfère que ceux qui ne la connaissent pas la mésestime, de cette manière elle n’attire ni la méfiance, ni la curiosité.
Avec les hommes, elle n’a (n’avait) aucun problème. Si ce n’est celui de l’engagement. Ses relations, qu’elle a eut de nombreuses, n’ont jamais duré plus de quelques semaines. Les problèmes étaient pourtant mineurs mais ça ne marchait pas, un point c’est tout. Quand un homme lui plait, elle va généralement lui faire part de son intérêt tout de go, sachant que la finesse d’un flirt à demi-mot n’est vraiment pas son fort. Avec la subtilité d’un demi-géant, difficile de glisser des sous-entendus au quatorzième degré. Remus est le seul pour qui elle dû rassembler des mois de courage avant d’avouer. Le seul également qui la rejeta avec tant de pragmatisme. (D’autres avant lui l’avaient fait, mais d’une manière moins tranchante) Tonks n’a pas un ego très présent ; elle agit comme elle le pense et parle sans réfléchir. Ce n’est donc pas par fierté qu’elle s’acharne à vouloir être avec Remus, mais bien pour des raisons plus nobles. Jamais très sentimentale pourtant notre Tonks, plutôt du genre brute à qui on reprochait aisément d’être trop indépendante.
La définition même de la liberté, en somme. Ou du chaos, selon les points de vue.
Son caractère est entier, changeant, sincère.
Ah oui, pour ce qui est du prénom. Pourquoi elle le déteste tout ça. Eh bien c'est assez difficile à dire, ça a toujours été comme ça même si elle ne l'a dis que tardivement. Nymphadora lui semble être le prénom de quelqu'un d'autre, peut-être la jeune fille de bonne famille qu'elle aurait été si sa mère était restée une Black. Ses parents étaient les seuls à l'appeler "Dora", compromis acceptable. Pour tous les autres, ce sera son nom de famille. Seul Maugrey l'appelait par son prénom, ce qui avait le don de la rendre furieuse.
Dernière édition par Nymphadora Tonks le Dim 23 Sep - 13:45, édité 2 fois |
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<-- C'est censé être toi visiblement. 
!
(il est exeptionnel ce mouton ; c'est la première fois que je le croise mais il a ce petit quelque chose d'hypnotique...)
