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ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you

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ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you _
MessageSujet: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyJeu 25 Oct - 23:56


I can't take my eyes off of you

And so it is ... just like you said ...
Vendredi 26 Octobre. Bientôt deux heures du matin. Impossible de trouver le sommeil. Et je suis là a tourner et à virer dans mon lit. Comme une âme en peine. Ce château me glace le sang de plus en plus. Le froid s'installe partout, il s'insinue dans les moindres recoins de ces pierres anciennes. Et c'est dommage. Poudlard était bien au temps où tout allait bien. Oh bien sûr, est ce que tout va vraiment bien un jour. Vraiment longtemps. J'étais bien placée pour savoir que non. Je fermais les yeux et tentais de plonger la tête dans l'oreiller. Mais le sommeil ne venait toujours pas. Pas moyen de dormir. Etais-ce moi. Etais-ce cette atmosphère de mort? Un peu des deux.

D'un geste décidé je me levais. Bien si je ne dormais pas alors j'allais faire quelque chose d'utile. Je m'habillais négligemment un jean noir. Un débardeur rouge foncé. Des bottes en cuir. Oui même a deux heures du matin il ne faut pas faillir aux habitudes. Ni a son surnom. Je souris doucement alors que je ne prenais pas la peine de m'envelopper dans un manteau. Là où j'irai, il y aurait de la chaleur. Au moins celle de ses sourires. Je pris une grande bouteille d'eau de vie et partais. Une fois hors de l'enceinte de Poudlard je translplanais pour Pré-au-Lard. Direction les trois balais pour voir Askja. Pour une fois que c'est moi qui vient la déranger. Je toquais à la porte du bar déjà fermé.

Un large sourire aux lèvres j'attendais qu'elle vienne m'ouvrir et présentait la bouteille en trophée. « J'espère que je ne t'ai pas dérangée. » la lune baissait dans le ciel mais pourtant donnait une vue imprenable sur son visage et sa peau laiteuse mais somptueuse.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyVen 26 Oct - 9:34

Heather' & Askja
I can't take my eyes off of you

Je vivais quasiment aux trois balais... C'était pas plus mal, ça m'évitait d'avoir beaucoup de trajet le matin, le soir... et puis au moins comme ça, quand je finissais completement bour... quand je finissais un peu disons guillerette aprés une soirée arrosée, je n'avais pas de danger de transplaner au mauvais endroit ou en plusieurs morceaux. Non ça n'aurait pas été des plus... comment dire, agréable. Enfin bref, Rosmerta m'avait donc offert un petit appartement en dessus du pub, et ça ne coutait pas trés trés cher... De toute façon c'était retenu sur mon salaire, donc j'avais pas à m'en soucier. Ah.. Pourquoi je racontais ça déja moi d'ailleurs... ? Ah, parce que j'étais en train de me dire qu'il faudrait peut être que je fasse un peu le ménage, mais j'étais fatiguée. Je venais a peine de remonter du pub, dans le quel j'avais rangé tous les verres, et fais le ménage de fond en comble. J'étais... l'employée modèle. Un peu maladroite, un peu... timide ou trop excentrique selon les jours, mais je faisais mon travail avec brio.. Et, oui quand on est fatigué ça fait toujours du bien de se lancer des fleurs. En parlant de fleurs j'aimais les roses rouges, le ROUGE ! ... Mais c'était pas souvent qu'on m'en offrait. Non, on m'offrait plutot des bierres et des coups d'un soir. Bon, en même temps j'étais un incorigible romantique coincée dans le corps d'une serveuse au look provocateur... Bah, tant pis pour moi. Ou pas tant pis. Mmmh, je pensais trop. Et je m'assoupissais à moitiée, affalée sur mon clic clac ouvert. Non vraiment, déchéance la vue, y'avait une petite robe rouge pliée par terre et deux trois boxers... rouges aussi ! Non ce n'était pas une fixette. C'était juste... Ben une fixette. Soit.

C'est dans mes somnolences que j'entendais à peine toquer à la porte du bar en fait. En fait, si je n'avais pas été un loup je n'aurais rien entendu du tout. Mais l'odeur... l'odeur était la, et ça me... fit me lever d'un bond, attraper les premiers vetements qui trainaient... Ben, la petite robe rouge du coup, et descendre les escaliers quatre a quatre. Ne pas se casser une jambe, ne pas se casser une jambe. TADAM. J'avais reussi, et c'est un grand sourire sur les lèvres que j'ouvrais la porte. « Heather! » Si mon sourire avait pu être plus grand il l'aurait été, il devait illuminer tout pré au lard, quand je disais qu'on avait pas besoin de lampadaires. Enfin hum, je me perdais un peu dans la contemplation de ses yeux et son visage et puis je revenais BANG a la réalité. Oui le Bang c'était soit le bruit du retour à la realité, soit le bruit que faisait mon ptit coeur. BANG BOUM.BANG. Humpf... quelque chose comme ça. Je la regardais, ou plutot les regardais elle et sa bouteille, et je bougeais un peu de maniere à la laisser entrer. «Tu ne me dérange jamais. » Et puis je m'accrochais presque dans ses bras, pour deposer un baiser sur sa joue, juste au coin de ses lèvres. « Je suis contente de te voir. Tu vas bien... ? Attend ! Quelque chose ne va pas, c'est pour ça que t'es la ? » Je pouvais pas m'empecher de m'inquieter. Par contre, je me mordais la langue pour ne pas lui dire qu'elle m'avait manqué. Trop de sentimentalisme, ça pouvait pas faire du bien non ? D'un mouvement doux, je fermais la porte.

« Tu veux rester ici, j'allume les lumieres ? Ou tu veux monter dans mon appart ? »

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMar 30 Oct - 21:07


I can't take my eyes off of you

And so it is ... just like you said ...
C’est avec un sourire des plus prononcé qu’Askja m’accueillait ce soir. Comme toujours. A mon tour je ne pus m’empêcher de sourire. Et je me sentais idiote. C’était un sourire un peu … vous savez le genre de sourire qu’on a quand on voit une personne qu’on aime beaucoup. Qui vous donne des papillons. Bon je n’avais pas les papillons, mais ce sourire un peu idiot était quand même là lui. J’entrais puisqu’elle se décalait pour m’y laisser pénétrer. Je connaissais ce bar comme ma poche. Elle ne fermait même pas la porte car voilà qu’elle était déjà pendue à mon cou. Je souris doucement quand elle déclarait que je ne la dérangeais jamais. Puis je sentis ses lèvres sur ma joue et sournoisement tournais la tête pour gouter à ses lèvres. Bah quoi ? Qui a dit que j’étais vertueuse et tout le tralala ? Pas moi en tout cas.

Puis elle commençait à s’inquiéter me demander si quelque chose n’allait pas bien, si c’était pout ça que j’étais là. Doucement je posais ma mai sur son épaule pour l’apaiser. « Shhh, non non , tout va bien. Je ne trouvais pas le sommeil, c’est tout … » je me reculais et avisais ses habits. Über sexy soit dit en passant. « Oh tu dormais toi. Je ne voulais pas te réveiller. » en même temps à une heure pareille Leather tu t’attendais à quoi ? Qu’elle soit encore éveillée ? Honnêtement oui je l’avais espéré. « Et puis tu me manquais » dis-je un sourire en coin. Je posais la bouteille sur la table à côté de moi.

Elle fermais la porte et me demandais si je préférais rester ici ou qu’on monte. Je haussais les épaules. Je n’avais pas vraiment de préférence en fait. « Ce qui t’arrange le plus. Moi je n’ai pas vraiment de préférence. Si ce n’est siffler cette bonne bouteille en bonne compagnie. L’endroit importe peu. » je lui adressais un clin d’œil et défis mon manteau pour le poser au porte-manteau prévu à cet effet.


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMar 30 Oct - 22:54

Heather' & Askja
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Heather. Comment vous dire ce que je ressentais quand je la voyais. C'était comme... comme un grand éclat de rire. Comme s'asseoir près d'un feu de cheminé avec un bon livre une soirée d'orage, comme manger une crépe chaude les pieds dans la neige. C'était doux. Et merveilleux. Et ça me faisait sourire. J'avais l'impression que mon sourire était un phrase pour les navires à la dérive. J'avais l'impression que... Je ne sais pas trop. Mais j'étais la, en face d'elle et je souriais presque béatement. EBANG. EBANG. EBANG. Mon coeur dans ma poitrine cognant à tout rompre. EBANG encore. Je me pendais à son cou pour deposer un baiser sur sa joue. Oui. Me pendais à son cou. J'étais plutot grande, enfin... Nous faisions sensiblement la même taille, mais la, elle avait ses talons et moi j'étais pieds nus. Pieds nus dans une robe qui ne laissait pas beaucoup de place à l'imagination. Courte quoi. En même temps avec le corps que j'avais je pouvais me le permettre. Je deraillais doucement. Mais je cherchais sa joue et d'un mouvement imperceptible de sa tête je trouvais ses lèvres sur les quelles je m'attardais quelques instants.

Quelques instants de délice avant que l'inquietude ne frappe grand à la porte et que je n'agisse en amante eplorée. Inquiete. Bien sur elle me rassurait. Ce n'était rien de grave, elle n'arrivait juste.. pas vraiment à dormir. Et j'étais.. Son choix ? Son ancrage ? Qu'est ce que j'étais ? Je n'en avais aucune idée. Je n'étais qu'une compagne de beuverie, une fuckbuddy de temps en temps. Hum. Qu'importait. Si je n'avais que ça je m'en satisferais, et je disais donc.. ? Ah oui, elle n'arrivait pas à dormir et je souriais doucement. « T'as bien fait de venir alors. » Un doux sourire, et mon air peut être un peu... out', me vendirent. Oui, j'étais en train de dormir. Il ne fallait pas être trés brillant pour le deviner peut être, mais le fait qu'elle l'air remarqué me rechauffait le coeur. Elle s'excusait un peu. Et je ne cessais de sourire. « Ça ne me dérange pas. Je somnolais plutot. Je t'aurais pas entendu sinon. » J'attrapais doucement sa main, et quand elle me dit que je lui manquais, je fondais dans un immense sourire, les joue rosissantes. « Tu me manquais aussi. » J'avais pas osé le dire mais puisqu'elle le disais... « Je suis contente que tu sois la. » Trés contente. Vraiment. Comme quoi finalement le sentimentalisme c'était pas si mauvais.. Hum.

En tout cas je lui demandais ce qu'elle preferait. Lachant doucement sa main, regardant la bouteille dont elle parlait. « Attend, viens. On sera mieux en haut. » J'attrapais une fois de plus sa main, et je decrochais son manteau, pour l'entrainer vers les escaliers qui menaient à l'étage. Non c'est vrai, on savait pas comment on allait finir, et je n'avais pas vraiment envie que Rosmerta nous trouve dans de droles de positions quoi. Pas que nous allions necesairement... mais.. L'alcool fait faire de droles de choses. Je souriais un peu. Monter les escaliers n'était pas si facile que ça quand on était fatigués. Mais j'y arrivais sans peine, sans lacher Heather. « Voila ton palais pour la nuit ! Pardonne le desordre » Grand sourire un peu niais. Mais on se refait pas hein ! C'était pas ma faute si des boxer trainaient partout.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMar 13 Nov - 11:34


I can't take my eyes off of you

And so it is ... just like you said ...
Je ne savais pas trop ce qui me poussait à être là. A une heure aussi tardive. Aussi ... sombre et avancée de la nuit. Peut être bien que c'était elle. Juste elle. Askja. Elle était tellement différente, et en même temps je ne voulais pas me l'avouer. Mais je crois bien que je l'aime bien s'te fille. Elle est généreuse, et gentille. Mais surtout ... qu'est ce qu'elle est belle. Non mais regardez là! Comme elle est belle! Je souris doucement et la regardais en essayant de ne pas trop la dévorer du regard. Du moins un minimum que ça ne se voie pas. Pas trop. Enfin essayons de le cacher quoi.

La vérité c'est que je n'arrivais pas à dormir. Qu'elle m'avait manqué oui, mais principalement que je n'arrivais pas à dormir. Il semblait pourtant qu'elle y arrivait et que je l'avais même réveillée. Je n'aurais peut être pas du venir, quoi qu'elle en dise. Somnoler ... somnoler. Oui c'est vrai elle n'aurait peut être pas entendu mes coups à la porte sinon. Je lui avouais également qu'elle m'avais manqué. C'était le cas. Oui elle m'avait beaucoup manqué. Pourquoi ne pas le lui dire. J'en profitais même pour lui donner un petit baiser discret. « Je suis contente que tu sois la. » je souriais largement. « Bien alors, tout va bien. » je déposais ma veste au porte manteau mais elle m'entraînait déjà à l'étage. « Attend, viens. On sera mieux en haut. » je hochais de la tête, la bouteille en main et la sienne dans la mienne je me laissais guider vers l'étage où se trouvait son logement.

Je souris largement. « Voila ton palais pour la nuit ! Pardonne le desordre » je ris doucement. « Oh ce n'est pas grave, le désordre ne me dérange pas du tout » je regardais partout, il n'y avait pas tant de bordel non plus hein. J'ai connu pire! « Bon un petit verre, ça te tente? » dis-je en levant la bouteille que j'avais toujours dans la main.
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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 14 Nov - 8:55

Heather' & Askja
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Alors je lui manquais...? Au fond se dire que même une fille comme moi, dont la vie est pas tout à fait claire, une fille qui aurait pu tant faire et qui finalement s'est inserée dans un systeme un peu trop grand, se dire que je n'avais rien reussi, et que pourtant... ? Une jolie femme, et pas seulement jolie au fond, une des femmes les plus brillantes qui soit, s'interessait un peu à moi. Et pas seulement pour mon corps parfait non ? Enfin j'esperais. Bah, de toute façon ce que nous avions c'était quelque chose de simple, on se retrouvait pour boire et pour s'envoyer en l'air. Oups, pardon j'ai parlé assez crument. Cela dit cru ou pas cru ça n'empechait pas cela d'être la vrai vérité. Même si récement je ... Chut ! On disait quoi alors ? Elle n'arrivait pas à dormir, je lui manquais un peu - rien que cette pensée me faisait fondre totalement à l'interieur - et du coup elle était venue boire. Et bien, elle aurait tout ce qu'elle désirait. Ma presence, l'alcool, et des distractions autant qu'elle le voulait. Ça n'avait pas d'importance que je sois en train somnoler avant qu'elle arrive ou quoi que ce soit. Ça n'importait pas pour moi, il ne fallait pas que ça importe pour elle.

C'était ainsi qu'en la tenant par la main je l'avais guidée jusqu'a l'étage, jusqu'a mon chez moi. On pouvait penser qu'il y'avait des points negatifs, beaucoup, a vivre en dessus du bar où on travaillait. Mais non, j'en trouvais pas. Regardez moi ce point positif, si jamais on finissait la bouteille... Je descendrais en prendre une autre ! Bon je la payerais bien sur, mais elles etaient accessibles à n'importe quelle heure, voila ce que je voulais dire. Je souriais un peu une fois en haut, fermant la porte deriere nous, esperant avoir pensé à verouiller en bas, c'eut été embetant de pas le faire, et je m'excusais du desordre. En même temps quand on vie seule on a tendance à pas se fixer beaucoup de regles... Je souriais, sa présence de toute façon me faisait toujours sourire, et je sortais deux verres d'un placard alors qu'elle parlait de boire. « Bien sur ! Je ne te dis jamais non. » Nan, mauvaise tournure de phrase c'était pas ça. « Enfin, je ne dis jamais non à l'alcool. » Un leger sourire sur mes lèvres, peut être un peu plus taquin, cette fois. Je posais deux verres sur la table basse, lui enlevais la bouteille des mains et nous servait, l'invitant à s'asseoir sur mon confortablement confortable canapé - qui me servait accessoirement de lit- , et lui glissant le verre entre les mains, m'asseyant sur le même clic-clac non loin d'elle. « A la tienne alors.» Et une longue gorgée d'eau de vie. Ouah. Fort. « Bon choix d'alcool, j'ai plus vraiment sommeil maintenant. » Bien sur j'avais encore des choses à lui demander, je me demandais pourquoi elle n'arrivais pas à dormir, je voulais lui dire que j'étais flattée que ce soit vers moi qu'elle vienne. Oui mais voila... Nous avions encore une bonne partie de la nuit non ?

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 28 Nov - 23:43


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And so it is ... just like you said ...
Bien sûr qu’elle me manquait mais est ce que je pouvais vraiment le dire comme ça. Ce n’était pas une chose que j’étais habituée à faire. Pas à ce que les gens me manquent, mais … le ressentir. Ou même le dire. Je ne suis pas habituellement une personne qui s’attache aux autres. Cela ne me ressemble pas beaucoup. Et pourtant quand je suis avec elle … tout est différent. Tout est … juste pas pareil. Oui différent pas pareil ça veut dire la même chose … mais enfin là n’est pas la question du tout. Je souriais, j’étais un peu niaise quand elle était là. Mais je l’appréciais beaucoup. Peut être même un petit peu trop. Mais elle était superbe, gentille, et avait déjà eu besoin de se confier par le passé. Et moi je ne refusais jamais les confidences. Cela me flattait toujours. Et puis j’ai un besoin maladif d’écouter les autres. De les aider. C’était bizarre et en même temps ça définissait qui j’étais. Oui … c’était moi. Je suis ainsi.

A l’étage tout était comme d’habitude. Je n’avais pas peur d’un peu de bordel. Si elle savait. Cela ne me dérangeait pas que son appart soit dérangé. J’avais vu pire. Mais je ne voulais pas l’embêter. Et puis si elle voyait mon bureau à moi elle serait certainement rassurée. Partout il y avait des habits. Des livres des balais ou des nécessaire à nettoyer les balais. Ce genre de choses quoi. Je ne suis pas la personne la plus ordonnée qui soit. « Alors buvons ! » dis-je alors qu’elle me répondait positivement. « tu ne Me dis jamais non. » dis-je en haussant un sourcil et m’approchant d’elle. Doucement je posais ms lèvres dans son cou avant de retourner vers la table mais elle m’avait déjà pris la bouteille des mains. Il me restait donc qu’à m’asseoir tranquillement sur son canapé. Ce que je fis sans hésiter. Je souris et pris le verre qu’elle me tendait. « A la notre ! » je souris doucement puis la suivis en prenant une longue gorgée. Oulaaa ma gorge. C’était du feu ce truc, mais c’était quand même super bon. Elle remerciait mes talents pour choisir l’alcool et je souris doucement. « Oh vraiment ! Alors la première phase de mon plan est terminée. » je souris avant de boire une nouvelle gorgée et de rester mystérieuse. Sans trop la regarder. Non en fait c’est pas pour être mystérieuse, c’est … pour résister à la tentation de lui sauter dessus !

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyDim 2 Déc - 0:34

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Passer ma nuit avec elle était l'une des plus belles choses qui aient pu m'être données. C'était peut être pas grand chose, et il y'avait probablement beaucoup de gens qui en profitaient. Malheureusement. Enfin, ce n'était pas parce que j'esperais d'avantage que j'aurais d'avantage. Ce n'était pas parce que j'étais amoureuse qu'elle serait amoureuse. Elle ne faisait pas ce genre de chose, je pense que je l'avais bien compris, et je refusais de dire quoi que ce soit parce que je ne voulais pas qu'elle detalle comme un lapin sur le point de cuire en civet. Un bien joli lapin d'ailleurs. Mon ... petit lapin ? Non, elle était plus louve que lapine et il fallait que j'arrete, que je me ressaisisse et que j'arrete avec les phrases qui sortaient toute seule. Comme la, c'était quoi ce je ne te dis jamais non. Autant lui dire, fais de moi ce que tu veux je suis tienne. Cela dit... C'était le cas, et heureusement que je ne tenais pas encore la bouteille quand elle me deposa ses levres dans le cou. Je frissonais un peu, me mordant la levre. Tenir la bouteille etait un exploit en soit et surtout ça me tenait occupée. Alors oui, à la sienne, à la notre. Assise sur le canapé contre elle ... je levais mon verre avant de boire une longue gorgée qui me brulait l'interieur. Ça faisait du bien. Je me sentais toute chaude... Quoi que.. C'était peut être pas l'alcool, et posant mon verre sur la table basse, je lui annonçais que je n'avais plus sommeil. Ça semblait la réjouir, et je laissais mes levres se fendre en un sourire carnassier. Joueur. Taquin. Legerement animal. Le loup en moi n'était jamais vraiment trés loin.

Cela dit... Ça me stressait legerement, elle ne me regardait pas. Ma robe ne lui plaisait pas... ? Elle... etait triste... ? J'étais doucement perturbée, et je murmurais tendrement. « Et quelle est la seconde phase ? » Un nouveau sourire animal qu'elle ne pouvait pas voir, de mes mains longues et fines j'attrapais son verre que je posais à coté du mien avant de caresser doucement sa joue, tournant sa tête vers moi pour deposer un baiser delicat sur ses lèvres si attirantes. Juste l'effleurement de nos lèvres. Juste un chaste echange qui en laissait appercevoir bien d'autres. Je ne lachais pas mon sourire en reculant doucement ma tête, ma main glissant habillement sur son cou, effleurant du bout des doigts les courbes de son corps jusqu'a se poser sur sa cuisse. « Ne tourne pas la tête, je me sens vide quand tu ne me regarde pas. » Peut être que c'était la fatigue, ou la tristesse, ou je ne sais quoi. Peut être l'alcool, mais ce soir j'étais d'une sincerité sans faille ,et tout semblait sortir sans que... je ne veuille laisser les mots s'echapper.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMar 4 Déc - 2:55


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Je me demandais combien de temps encore j’allais me voiler la face. M’empêcher de regarder la réalité. Je tenais bien plus à elle que je ne me l’avouais. Et que je ne lui avouais non plus. Je souris doucement. Et j’étais assez déstabilisée. Chose que je ne connaissais pas réellement. Je n’étais que très rarement confuse ou déstabiliser. Oh non je ne joue pas ma grosbill. Mais … je suis une personne qui a été élevée dans une maison close, qui a payé ses études en étant une maitresse dominatrix, et qui a été psychiatre spécialisée en déviances sexuelles. Voyez vous … je n’ai pas vraiment le cursus scolaire le plus … régulier et « normal » qui soit.

J’appréciais en tout cas sa compagnie. Ca je ne m’en étais jamais cachée. Et certainement pas d’elle. Je buvais un petit peu du verre qu’elle m’avait servi. Je regardais autour de moi et appréciais beaucoup cet univers. Peut être juste parce que c’était le sien ? Peut être parce qu’il était surtout accueillant. Un petit peu des deux certainement. Je la regardais de nouveau et lui avouais que la phase un était donc réussie. Je souris avec malice. J’allais répliquer quelque chose mais elle me devança. Posant sa main sur ma joue je fermais doucement les yeux. C’était plaisant, oui vraiment très plaisant. Puis ses lèvres frôlèrent les miennes. Elle descendit ensuite sa main de mon cou à ma cuisse. Je souris et la regardais dans les yeux. Mais non je ne détournais pas mon regard. Elle se sentait vide quand je ne la regardais pas. Mais … je ne faisais que ça, du moins j’avais l’impression. Quand elle était là je ne répondais plus de moi. C’était assez déstabilisant, mais … aussi excitant, l’attrait de l’inconnu comme on dit. Pas vrai. Je hochais négativement de la tête. « La seconde phase. Commencerait plutôt comme ça … » je me rapprochais d’elle et déposais un baiser bien plus franc sur ses lèvres alors qu’une main passait dans ses cheveux. Je fis durer le baiser une éternité. Pas assez long peut être mais il nous était nécessaire de retrouver la respiration. Non ? « Je suis bien quand je suis avec toi Askja » murmurais-je du bout des lèvres avant de prendre mon verre d’une main et d’en boire d’une gorgée. « Et je ne parle pas seulement de … ça » est ce que je m’ouvrais. Non je … ce n’est pas mon genre. Mais c’était vrai. Avec elle j’étais bien. Pas seulement physiquement. (senti)mentalement aussi …


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 5 Déc - 16:01

Heather' & Askja
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Ce soir, cette nuit, j'étais toute à elle, et j'esperais qu'elle le savait. Comment ne pas le savoir en même temps, j'étais la, à la fixer comme si elle était une divinité venue d'un autre temps, j'étais la à l'admirer dans sa gracieuse beauté, dans sa stature. Elle semblait, doucement perturbée deriere le masque de ses yeux, mais je ne savais pas grand chose de l'être humain, je savais juste que j'avais cette envie... non pardon, ce besoin d'être contre elle, de ressentir la chaleur de son corps. Qu'elle me rassure en étant la. J'avais besoin aussi, d'entendre certaines choses que je n'entendrai pas, mais ça... ça passait à la trappe, je ne devais pas agir comme une gamine amoureuse, les regles étaient les regles je savais à quoi je m'engageais. Et je souriais doucement en lui parlant avec tendresse, m’enquérant de cette seconde phase qu'elle ne tarda pas à illuminer. Ses lèvres contre les miennes, sa main dans mes cheveux pour ce qui semblait le baiser d'une éternité eternelle. J'aurais pu mourir sur le moment le sourire sur le visage, mais l'eternité n'est jamais assez longue, il nous fallait respirer. Et je la regardais, avec dans les yeux probablement un trop plein d'amour. « J'aime la seconde phase. » Un leger sourire et j'essayais de me reprendre moi aussi en portant doucement le verre à mes lèvres.

Mais comment me reprendre quand elle me murmurait qu'elle était bien avec moi. Qu'elle... était bien. Et non seulement physiquement... ? Je souriais, je crois que je rosissais doucement, et j'attrapais sa main la fixant de mes yeux ... tendre ? « Moi aussi je suis bien... Moi.. aussi. » Un sourire un peu timide, je me mordais la lèvre pour ne pas dire autre chose, et à nouveau je l'embrassais, attrapant de mes longs doigts son verre que je posais aux cotés du mien, passant mes jambes des deux cotés de son corps pour me retrouver sur elle. « Je ne m'en lasserai jamais. » Au fond, je n'étais qu'une gamine amoureuse. Et alors que je deposais un doux baiser sur le coin de ses lèvres, descendant sur sa machoire, sur sa nuque, dans son cou, je me surprenais à esperer qu'elle ne lise pas dans mes pensées. Voir à quel point je tenais à elle pourrait probablement lui ... faire bien trop peur pour mon bien.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyJeu 6 Déc - 2:00


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Cette nuit j’étais venue à elle. Pas forcément pour retrouver du contact humain. Ma chair contre la sienne. Même si cette perspective ne me dérangeait en rien. Mais je ne sais pas vraiment ce qui m’a poussée à venir ici. Peut être que c’est ma trop grande affection pour elle. Le fait que dès que je lis des choses touchant Pré-au-Lard je m’inquiète pour elle. Qu’a chaque pleine lune je me demande comment elle se porte. Comment elle vit les choses. Pour sûr je pensais beaucoup trop à elle. Peut être que ça voulait dire quelque chose. Et peut être que non. Après tout je n’en sais rien. Je n’ai jamais rien su aux sentiments, pourquoi j’y comprendrais quelque chose maintenant ?

Les choses allaient vite. Comme souvent entre nous. Il ne suffisait que quelques regards et déjà tout était prévisible. Comme une longue chaine de probabilité, des choses qu’on sait inéluctables. C’était tout Askja ça. Enfin je n’y suis pas non plus étrangère. Je n’étais pas obligée de l’embrasser en retour avec autant de fougue. Mais que voulez vous. Mon esprit était clairement ailleurs. Et je rêvais quelques secondes d’un endroit magique. Les berges de l’ Öskjuvatn . Elles et moi prenant un pique-nique. Et inconsciemment je transférais cette image à Askja qui se trouvait à présent sur mes genoux. Cette eau calme uniquement dérangée par le vent qui souffle. Oui j’étais bien avec elle. Autant qu’auprès de ce lac d’Islande que j’adorais par dessus tout. Elle … m’apaisait tout comme ces eaux profondes. Et je voulais qu’elle le sache. Qu’elle le sente. C’est pratique parfois la Légilimencie. Tant qu’on l’utilise à bon escient. « Je ne me lasserai jamais de toi Askja ! » doucement je laissais ma tête aller en arrière pour profiter de ses baisers.

« Askja ? » je venais de lire quelque chose. Elle … m’aimait bien. Peut être plus qu’il ne faudrait. Et ça me faisait un peu peur. Pas que ça soit dérangeant. Loin de là. Mais j’avais peur qu’elle … souffre. Je n’ai jamais fait de sentiments. Je … je ne voulais pas la faire souffrir. Comment former les mots … ils me manquaient pour la première fois dans ma vie. « Est ce que … est ce que … » je la regardais comment dire ? « tu m’aimes ? » je la regardais doucement et passais ma main sur sa joue. Je ne pouvais pas lui promettre de l’aimer. Je ne pouvais pas lui promettre de ne pas l’aimer non plus. Bon sang pour une fois j’aurais aimé qu’elle lise dans ma tête. Ca aurait été tellement simple. Et puis je réalisais qu’il n’y avait qu’une chose à faire. Plongeant mes yeux dans les siens, ne voulant pas la blesser. Je lâchais du bout des lèvres « Je ne sais pas comment faire … apprends moi … »
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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptySam 8 Déc - 10:18

Heather' & Askja
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C'était un jeu qu'on connaissait elle et moi, le jeu de la seduction. Elle n'était pas la premiere femme a poser son charmant posterieur sur mon canapé, et ce n'était pas la premiere fois qu'elle le faisait, et pourtant au fond de moi j'esperais qu'elle soit la derniere. Derniere femme j'entends, pas la derniere fois. Mais c'était aussi un jeu qui avait des conséquences, la premiere et la plus grave demeurait dans l'attachement que je ressentais maintenant pour elle. Et j'aurais beau faire comme si tout allait bien, comme si le simple fait que l'on se voit quelques nuits soit suffisant et nous empeche en rien d'aller voir ailleurs. Je n'allais pas voir ailleurs, et quelques nuits ne me suffisaient pas. Je ne disais rien cela dit. Et je continuerais comme ça. Enfin je pouvais essayer, avant de devenir completement folle et de sauter partout en criant « Je suis un ananas. » ou quelque chose comme ça. On sait jamais les crises de nerfs ça peut nous pousser à l'inatendu et la pour sur, ça serait inatendu. Mais il ne fallait pas y penser, carpe diem, profitons de l'instant, toutes ces choses la. Je m'aggripais contre elle, sur ses genoux, dans une posture à la fois douce et sensuelle. Partagée entre l'envie de lui faire un simple calin, le plus chaste qui soit, et autre chose. Ce desir qui brulait en moi à chaque fois que je pensais à elle ou que je la voyais. Non, son age avancée n'enlevait rien du tout à son charme. C'était peut être ses yeux, ou quelque chose d'autre, mais elle degageait une aura d'une intensité telle...

Et puis, dans mon esprit comme l'incursion d'images calmes et douces, la chasteté était de mise je suppose, je restais blottie contre elle, ma tête posée contre son epaule, une main glissant dans son dos. Est ce qu'elle était dans ma tête... ? Ce n'était pas grave elle avait tous les droits sur moi. Oui, tous les droits, elle ne se lasserait jamais... ? Je souriais comme une imbécile, et puis soudain la panique, si elle était dans ma tête, ce n'était pas seulement pour donner n'est ce pas, elle était en train de prendre des informations, et plus je me disais de ne pas y penser, plus j'y pensais du coup. Je l'aime. Je l'aimais. J'en savais rien ça passait dans tous les sens et quand elle prononçait son prénom, je me figeais, relevant ma tête pour fixer son regard, craignant d'y lire rejet et... deception. Il n'y'avait rien de tout ça, de l'incomprehension peut être. Et puis sa phrase, qui me glaca. Est ce que tu m'aime... ? Je profitais doucement de la chaleur de sa main sur sa joue et malgré moi mes yeux se teintaient de larmes. Je ne pleurerais pas, mais je n'en étais pas loin non plus. Je me mordais la lèvre, essayant de parler pour me sortir d'un mutisme qui m'enveloppait... « Je... J'ai tout gaché c'est ça? » Un sourire amer sur mes levres, j'allais me lever mais une simple phrase d'elle me scia a nouveau sur place. Apprends moi.

Je tremblais un peu cette fois quand je lui répondais, fixant ses yeux que je n'osais plus fixer... J'avais peur de ne plus être digne d'elle, de sa presence. C'était un jeu auquel nous étions libre de jouer et de nous arreter quand nous voulions, et moi, j'étais tombée amoureuse. « Je... Je ne sais pas si ça s'apprend. » Un simple sourire, honete et desabusé. « Je suis desolée, je.. je ne veux pas que tu te sente obligée de dire quoi que ce soit tu sais, ça.. ça ne change rien. » Et pourtant ça changeait tout, mais je ne voulais pas la changer elle. Je ne pouvais pas. « Je tiens à toi. » Et puis finalement les mots semblaient sortir, comme pour m'enfoncer d'avantage. « Je.. Je sais que ça ne peut pas être reciproque tu sais. Et je ne pense pas être capable de t'apprendre à aimer, c'est quelque chose qui vient tout seul. Avoir envie de serrer l'autre dans ses bras constament, sourire niaisement comme je le fais à chaque fois que je te vois, l'exclusivité, l'inquietude, la souffrance, c'est ça aimer... Je suis desolée de t'avoir infligée ça. » Et cette fois, je bougeais de sur ses genoux, reprenant ma place sur le canapé, vidant d'un trait le verre que je venais de me reremplir. J'avais tout gaché... J'avais peur de relever la tête vers elle pour voir sa reaction.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 12 Déc - 2:34


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Qu’est ce que je pouvais bien dire, enfin. Je ne savais pas quoi faire. Oui je l’appréciais énormément, certainement plus que je ne devais. Mais je n’arrivais pas non plus à me l’avouer. Amour, ce mot n’a jamais fait parti de mon vocabulaire, ni de ma vie. Je parle d’un amour amoureux, pas d’un amour familial ou amical. J’ai reçu de l’amour. De ma famille adoptive. De mes amis. D’autres personnes. Mais peu d’entre eux ont eu réellement de l’amour, quel qu’il soit, en retour. Je ne suis pas une personne qui fonctionne ainsi. Amour égale faiblesse dans mon monde. Amour égale douleur. Et ne je veux pas souffrir, ni faire souffrir. Ce n’est pas juste. Et puis … l’amour … avec mon travail, mon expérience … je sais que ça n’existe pas. Du moins je le crois. Jusqu’à elle. Peut être. Nous partagions ce moment ensemble. Un moment terriblement sensuel. Tensino dans l’air. Et éventualité d’une soirée inoubliable. Comme toutes celles passées à ses côtés. Et puis … il y eut cet aveu. De ses pensées. Moi qui me jurais de ne pas entrer dans la tête des gens. Moi qui considérais ça comme du viol. Je l’avais fait. Je m’étais laissée aller à le faire. Et … je n’aurais peut être pas du. Parce que … cela changerait tout. Tout ce que l’on avait pu connaître auparavant.

J’étais bien oui, je … j’aurais aimé apprendre. A aimer. Je ne sais pas si je l’aurais dit. A personne. Pas même à haute voix. Mais c’était elle. ELLE ! Je ne sais pas pourquoi mais lui parler me semblait tellement évident. Moi qui ne me confie jamais. Elle eut un mouvement de recul et demandait si elle avait tout gâché. Je la regardais sans ne rien dire. Non ! Non ! Ouvre la bouche Leather ! Merde. « Non ! Pas du tout » je posais ma main sur la sienne. Elle ne savait pas si ça pouvait s’apprendre. Je baissais les yeux. « Je sais que ça ne change rien. Je ne sais pas quoi te dire Askja. Je ne veux pas te faire souffrir, je n’ai jamais voulu te faire souffrir. Tu sais ? » je la regardais, en fait la chose qui me surprenais le plus, était que … si elle m’aimait, c’est que je suis une personne … que l’on peut aimer ? « Je tiens à toi aussi Askja. Etrangement, je tiens à toi bien plus qu’aux autres. » un faible sourire se formait sur mon visage. Elle me décrivait ce que c’était d’aimer quelqu’un. Sentir son cœur battre vite. Quand on le serre dans les bras. Amour, attachement … souffrance. Je baissais les yeux. Une chose me dérangeais dans son discours. Et ça n’était pas ce qu’elle disait. Ou … peut être que si. « Je te fais souffrir ? » je posais ma main sur sa joue et elle s’excusais de m’avoir infligé ça. Je fermais les yeux. Ah Askja … Elle retournait sur le canapé mais cette fois c’est moi qui l’y rejoignais. « Non, c’est moi qui suis désolée de t’avoir infligé ça. » je baissais les yeux. « Je suis désolée. Je … je n e suis pas une personne qu’on peut aimer. Et … je n’ai jamais pensé que ça puisse être possible. »


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 12 Déc - 16:57

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J’avais tout gaché. J’avais tout gaché. C’était quelque chose que je ne pouvais pas m’enlever de la tête. Ce sentiment stupide d’avoir comme on dit… tout gaché. J’avais déjà gaché plein de choses dans ma vie, sans vraiment le vouloir ou sans vraiment faire exprès, j’avais… rien réussi. J’aurais pu faire des grands études et finir par avoir une belle vie, mais non, j’étais un loup garou, une paumée de la vie qui bossait dans un bar et qui… était tombée amoureuse de la seule personne a qui je faisais assez confiance pour raconter ma vie. J’avais tout gaché n’est ce pas, et… c’était un sentiment qui ne partirait pas. Si j’avais pu me transformer en loup la tout de suite et m’echapper par la fenetre pour ne plus jamais revenir, je l’aurais fais. J’étais douée pour la fuite après tout, c’était un art que je maitrisais à merveille. Quand ça devenait trop dur je partais. Et pourtant, la je n’étais pas parti, j’étais la, sciée sur place alors qu’elle me demandait de lui apprendre. Comment lui apprendre ? Comment apprend on a aimer à quelqu’un qui ne sait pas faire ? Est ce que je savais faire au fond ? Même l’eau-de-vie que j’avalais à toute allure ne me réchauffait pas. Il faisait froid tout en moi et ce n’était pas une pathétique façon de parler propre aux auteurs de romans de gare. Non, il faisait vraiment froid. Tout à l’interieur. Oh c’était stupide. J’étais stupide…. Et j’aurais du garder tout ça pour moi, fermer des petites portes dans mon cerveau. Qu’est ce que je pouvais être conne !

Et pourtant dans ma grande connerie, j’étais la, à lui dire ce que ça faisait d’aimer, à lui dire que ça faisait mal mais que c’était beau aussi. J’étais une stupide rêveuse amoureuse, et a 25 ans je me sentais comme une adolescente devant son premier amour. Attendez… En fait, elle était un peu mon premier amour. Ouais c’était ça. Non pas que je n’ai jamais tiré la chevillette de qui que ce soit – pour ne pas utiliser la triviale expression d’avoir vu le loup, vu ma condition je ne l’employais pas trop – ou autre chose, c’était juste que… Je ne m’étais jamais attachée avant. Jamais autant. Bon, pour tout vous dire, je n’étais jamais tombée amoureuse. D’ailleurs l’amour ça n’existait que dans les contes de fées non ? Et la magie aussi… Pff. Stupide. Stupide. Stupide. Stupide moi. Je me serais bien tapée la tête contre quelque chose de dur. Un coin de mur de préférence, ou une hache, ou… un truc en argent ! Ouais. De l’argent c’était bien ça comme ça… Tout, mais quelque chose qui m’aurait fait disparaître de la même surface qu’elle, parce que j’avais très honte de moi.

Enfin, il fallait que je me ressaisisse. Sa main sur la mienne m’apaisait un peu mais ce n’était pas suffisant, je me murais dans un pseudo mutisme, en me préparant au rejet qui allait venir. Il ne vint pas, ou peut être un peu, de maniere…. Douce et délicate en tout cas. Et je soupirais. Pourquoi fallait il qu’elle me connaisse aussi bien, qu’elle… sache me lire sans même utiliser son don… ? Je me mordais la lèvre avant de répondre doucement. « Je me fais souffrir toute seule. Tu n’y es pour rien. » Il ne fallait pas qu’elle culpabilise ou quoi que ce soit. J’étais la seule coupable de ce qui se passait et je ne voulais pas qu’elle souffre pour moi, par ma faute. J’étais la seule fautive, coupable d’avoir mis des sentiments où il ne fallait pas en mettre. J’étais vraiment très conne. Mais bon, le temps maussade viendrait plus tard, pour le moment je m’eloignais un peu d’elle, m’enfoncant plus au bord du canapé, pour ne pas… ne pas lui infliger ma présence sur les genoux ? Et pourtant qu’est ce que je crevais d’envie de l’embrasser et d’oublier. De faire comme si je n’avais rien dit, pour reccomencer comme avant, et pleurer plus tard quand je serais seule.

Oui, mais elle se rapprochait de moi, en me parlant d’une voix que j’entendais douce et un peu aimante, et je fondais complètement. Encore et encore. Toujours à cause d’elle. Grace a elle. Je découvrais des nouveaux aspects de la vie, et de ma personnalité. Grace à elle je découvrais que l’amour existait et même si c’était pour une chute immense, c’était quand même une très belle découverte.

« Arrete de t’excuser. » Je n’aimais pas ce qu’elle était, surtout que c’etait à cause de moi, et doucement je me blottissais contre elle, glissant une main sur son menton pour relever sa tête, la fixant de mes yeux clairs et si beau – oui ils étaient beaux autant l’avouer hein – mes paroles allaient être les paroles les plus déchirantes de sincérité que j’aurais pu dire, et pourtant… J’étais souvent – toujours – sincère avec elle.

« Et pourtant je t’aime. J’ai du tomber amoureuse de toi sans m’en rendre compte, et puis j’ai réalisé à quel point tu étais merveilleuse, à quel point j’aimais te voir sourire, surtout quand c’était des sourires pour moi, à quel point j’avais besoin d’être près de toi. Je n’ai pas quitté l’angleterre parce que c’est la où tu vis, et j’ai bien prévu d’y rester un moment. J’ai réalisé que mon cœur battait plus vite quand il te voyait, et tu m’as mis en confiance au point de tout te dire. Ma vie, mon passé, le loup. » Je déposais un baiser just’au coin de ses lèvres, finalement c’etait plus fort que moi. Tant pis, si le rejet ferait très mal, je profitais de toute la tendresse et la chaleur que je pouvais gagner. « Ne dit jamais que tu n’es pas apte à recevoir de l’amour. Tu es la personne la plus capable, la plus digne d’être aimée que je connaisse. Et je suis sure qu’il y’a de l’amour en toi, de l’amour prêt à jaillir. Il faut juste la bonne personne.. » Lourd silence, je me mordais la lèvre et glissant ma main contre la sienne, je rajoutais en un murmure. « Et tant pis si ce n’est pas moi.. »


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptySam 22 Déc - 2:03


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Je me sentais un peu mal. Je n’aurais pas du tout du dire ça, j’avais cassé un peu l’ambiance on dirait et pour ça je m’en voulais ! je n’aimais pas qu’elle ne se sente pas bien. Je la regardais doucement et avec une infinie tendresse. Je l’aimais beaucoup oui. Bien sûr, mais est ce qu’on peut mettre encore le mot avec un grand « A » ? Je ne sais pas, pas encore. Je ne sais pas du tout ce que ça peut impliquer, dire, signifier … je me sentais vraiment mal pour elle. J’avais peur de la faire souffrir, bien plus peur que je ne le pensais. Je savais que je tenais beaucoup à elle, mais je ne soupçonnais pas à un tel point ! Je sentais en elle la honte, et la confusion, et je me sentais déstabilisée à cette idée.

Instinctivement je me rapprochais d’elle de nouveau, combler cet espace entre nous me faisait du bien, je ne voulais pas la laisser seule, je ne voulais pas qu’elle souffre par ma faute. J’aurais pu l’influencer. La faire moins souffrir. Mais je me refusais à le faire, parce que je ne voulais pas violer son esprit, il n’en était pas question. Elle se faisait souffrir elle même. Je fermais les yeux et soupirais. « Oui, mais … c’est à cause de moi. Je suis sincèrement désolée. Et je ne dis pas que je ne t’aime pas. Je ne dis pas que je ne pourrais jamais t’aimer. Je ne dis pas que … » ma voix se brisait, oui on dirait comme ça mais je ne suis pas forcément aussi forte qu’il y paraît. « Je ne dis pas que c’est impossible. Je dis que je ne sais pas faire ça. Je ne sais pas aimer. » je me rapprochais de nouveau pour la sentir près de moi, je ne voulais pas la faire fuir et m’excusais de nouveau. Ce qu’elle me demandait de ne pas faire. « Pardon. Hm … heu .. d’accord » oui je venais de le faire de nouveau.

Elle m’expliquait, être tombée amoureuse de moi au hasard, sans s’en rendre compte, mais je ne suis pas une personne qu’on peut aimer, non ? Je ne suis pas une personne … qu’on peut aimer … c’est pas possible … Ce qu’elle me disait m’allait droit au cœur. Me faisaient plaisir, et … me troublaient quelque part, parce que … certaines choses je les ressentais moi aussi. Elle m’interdisait de ne penser ne pas pouvoir être aimée. Il y a de l’amour en moi. Peut être, je n’en suis pas sûre, il faudrait peut être chercher. Je baissais les yeux mais gardais mes mains posées sur mes genoux mais elle me les prit. Tant pis si ce n’est pas elle … alors là elle me tua. « Askja … » je plongeais mes yeux dans les siens. « Je suis venue te voir ce soir … te voir TOI ! Personne d’autre ! » est ce que c’était un début ? Possible. Doucement je posais mes lèvres sur sa main.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 2 Jan - 0:11

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J'étais nulle... Et même si c'était destabilisant, même si ça faisait super mal je n'aurais pour rien au monde voulu echanger ce que je ressentais. Parce que c'était beau, même si ce n'était pas reciproque, et ça resterait eternellement beau... je crois. Alors je profitais de la tendresse qu'elle m'offrait, et même si elle ne m'aimerait jamais comme je l'aimais, j'étais prête à soufrir pour continuer à avoir ne serait -ce que quelques parcelles de nous. C'était ça alors d'aimer... ? Bah j'avais jamais connu jusqu'a maintenant. J'avais jamais eu de coup de coeur, pas le temps de m'interesser à ça a l'époque, ça avait été... different on va dire. En tout cas elle avait plus ou moins arreté de s'excuser. Il fallait qu'elle se le mette dans la tête ça... Ça me faisait me sentir... legerement mal. Bon, plus que legerement. M'enfin de toute façon j'allais pas commencer à me la jouer grosse depressive c'était pas vraiment de moi. Non allez, il fallait que je garde le masque de la fille qui va toujours bien, c'était des années de pratiques qui avaient voulu ça. J'irais au pire me noyer avec quelqu'un Valera, ... euh... je sais pas quelqu'un d'autre peut être. Ou j'irais m'entrainer avec Sato, ou faire je ne sais quoi... Quelque chose pour me changer les idées. hmm, qu'importait de toute façon. Je la serrais contre moi, Je restais contre elle, et je savourais ce moment où nos corps restaient l'un contre l'autre, et je ne repondais pas vraiment à ce qu'elle me disait. Jusqu'a ce qu'elle prononce mon prénom, et les quelques mots qui faisaient battre mon coeur plus vite. Et ... differement aussi. C'était vrai, elle était venue me voir moi. Pas quelqu'un d'autre.... Je...

J'étais prise au depourvu, parce que quoi que je dise ça allait mal sonner. Bien sur, nous n'étions rien, ou du moins rien d'officiel et je savais pertinement que lui demander l'exclusivité c'était la faire partir, d'autant plus que non... elle n'était pas je crois ce genre de femme. Comme je l'avais dis, nous nous contentions de partager une certaine osmose, et la chaleur de nos corps sous les draps. Soit ! Ça me ... flattait, mais ça me laissait amère aussi. « Ce soir oui, tu étais la. » Et puis je me forcais à sourire, la soirée était mal partie si je continuais comme ça. Alors j'essayais de... faire comme si rien n'était. Comme si... la discussion n'avait pas éclaté , et j'attrapais nos verres pour les remplir à nouveau. « Est ce que... je peux avoir un câlin ? » , demandais-je avant de boire. J'étais une femme assez chou non ?


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyLun 14 Jan - 17:53


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Je me sentais un peu débile. Et surtout déplacée. Je me maudissais, je l’avais mise mal à l’aise et je n’avais pourtant aucune envie de le faire. Ce n’était pourtant pas du tout la raison de ma venue ici, et j’avais réussi à la mettre mal à l’aise. Je soupirais intérieurement non je vous l’ai bien dit, je ne suis pas une personne qui est très douée en ce qui s’agit de relations humaines. L’amour m’est inconnu, je ne l’ai jamais connu, jamais expérimenté, et je pense que j’ai trop vu dans ma vie pour pouvoir en être digne. Une gamine élevée dans une maison close. Une ado qi paye ses études de psy en bossant comme maitresse dominatrice. Une psychiatre spécialisée en déviances sexuelles. Une prof de vol … peu commune. Leather. Oui je crois en l’amour, certes je sais qu’il existe, mais je ne pense pas qu’il est fait pour moi, que j’aie toutes les conditions requises pour l’éprouver. Ou le provoquer.

Je l’observais elle était tellement belle, et je ressentais énormément de choses pour elles. Une infinie tendresse, un sentiment de plénitude et de sérénité quand je suis à ses côtés. Un calme. Oui tout ça a la fois. Mais est ce que c’est de l’amour. Est ce que ça pourrait le devenir. Si seulement elle m’apprenait je pourrais le savoir. Peut on aimer sans savoir que l’on aime ? Peut on aimer quelqu’un sans s’en rendre compte. Puis-je sans le savoir être capable d’aimer ? Franchement je n’en sais rien, mais …

Je ne voulais pas lui faire de mal, lui causer de douleur, aussi infime soit-elle. Non il n’en était pas question. Et je lui disais que pourtant j’étais là. Ce soit j’avais eu besoin d’elle. Mais ses paroles me semblaient amères. Oui ce soir j’étais là ça impliquait un « mais » qui suivait, pas vrai !? mais il ne venait pas. il devait être coincé quelque part !? « Pas besoin de demander ! » répondis-je en souriant à sa demande de câlin. Je me rapprochais d’elle et passais mes bras autour d’elle. La serrant délicatement contre moi, je profitais de son parfum. Un large sourire aux lèvres je posais ma tête sur son épaule et fermais les yeux. « Je suis tellement bien avec toi. » je e savais pas quoi dire alors je me relevais et bus une gorgée du nouveau verre qu’elle venait de nous servir.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyLun 14 Jan - 18:23

Heather' & Askja
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J'aurais pas du parler de tout ça, mais c'était sa faute, elle me perturbait. Elle était la... Elle était parfaite... Elle etait.. Je l'aimais. Voila, c'était quelque chose que je ne pouvais nier, et je l'aimerais encore même quand elle se serait lassée de moi, je pense que c'est ce qui me faisait le plus de mal au fond. Mais elle n'y etait pour rien, j'étais la seule coupable de ce devorant amour. Alors je ne disais plus rien, j'essayais de parler d'autre chose, de penser à autre chose, et avec le plus doux de mes sourire je lui demandais un câlin. Une etreinte de sa part et je me sentais doucement revivre. Ses bras autour de mon frele corps, je me sentais libre et ivre d'elle. Dans cette robe rouge qui remontait legerement j'étais sexy peut être mais j'étais sans defense, fragile, et pourtant contre elle je me sentais plus forte que je ne l'avais jamais été. Sa tête sur mon epaule, son murmure me fit presque pleurer. Je suis bien avec toi. Et je souriais, un peu niaisement, comme ces gamines qui aiment pour la premiere fois et a qui leur crush dit « Je t'aime » même si il ne le pense pas. Au moins, je savais moi, que ça elle le pensais, et je rougissais, les yeux presque humide. Passant rapidement ma main sur mon visage pour reprendre ma contenance. « Je suis bien moi aussi. » Mieux que jamais.

Et elle se relevait. Trop courte etreinte je crois. Mais tout était toujours trop court quand c'était avec elle... Sauf le sexe. Aherm... Je n'aurais pas du dire ça. Ouais... Bon... Bref. De toute façon je n'avais pas besoin de vous preciser qu'elle était parfaite en ce qui concernait ce genre de pratique quoi que... J'aurais bien besoin peut être d'une nouvelle demostration de ses talents. AH VOILA ! Si elle lisait dans ma tête maintenant, elle verrait tout autre chose que la deprime, c'était l'envie, le desir... C'était une soif inextinguible de m'abreuver de son corps et d'elle toute entiere. Je souriais doucement, je l'attirais a nouveau vers moi, posant ma main sur son cou, mes levres de l'autre coté proches de son oreille. « Vous voulez faire quelque chose Prof' Indriason ? » Et je me mordais un peu la levre laissant ma main glisser sur son corps. Nul doute que j'avais peut etre... Quelques idées !


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyVen 18 Jan - 2:39


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And so it is ... just like you said ...
J’me sentais un peu conne, un peu débile. Je me sentais investie d’un pouvoir d’une faculté que je n’avais pas cherché a avoir, si elle m’aimait alors j’avais une sorte de pouvoir sur elle, enfin un truc un peu du genre, et je n’aimais pas, ça je ne voulais pas faire la météo de son cœur, je ne voulais pas être celle qui la rend malheureuse. Qui la rend heureuse ça oui, parce qu’elle mérite d’être heureuse Askja, mais je ne veux pas qu’elle … j’étais perdue en fait, entre l’envie de la laisser voir des choses de moi que personne n’a encore jamais vu. Et on pervers je parle pas de ma plastique irréprochable ! ça elle l’a déjà vu et pas qu’une fois hein ! Mais je ne sais pas elle avait cette … sensibilité cette aura. Je ne saurais pas l’expliquer alors pour le moment autant essayer de ne pas y penser. Tout en se rapprochant quand même d’elle. Oui j’étais heureuse avec elle. Même plus que ça. J’étais bien et ce n’était pas quelque chose que j’avais dit souvent dans ma vie.

Je me relevais pour prendre une petite gorgée et perçue des pensées intéressantes. Un large sourire pervers se fit sur mon visage. Parfaite pour le sexe hein ? J’arquais un sourcil. Il semblerait que l’ambiance s’était donc réchauffée. Je reposais mon verre sur la table instinctivement. Oh j’aurais bien bu encore un peu. Mais pour le moment c’était ses lèvres que je voulais boire. Et elle aussi il semblerait elle m’attirais à elle, sa main glissa dans mon dos et ses mots à mon oreille me firent sourire, si j’avais été prude j’aurais certainement rougis. Seulement voilà, on pouvait me qualifier de ce que l’on voulait, prude n’était pas approprié. Pour toute réponse je me contentais de me pencher vers elle pour prendre ses lèvres avec fébrilité alors que ma main gauche s’occupait de faire glisser la bretelle de cette –si jolie- petite robe rouge. « Je crois chère Askja » je m’arrêtais pour me placer à califourchon sur elle « que nous avons les mêmes idées » et je venais poser mes lèvres là où autrefois gisait sa bretelle.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyDim 20 Jan - 9:30

Heather' & Askja
I can't take my eyes off of you

Qu'il me soit donné la possibilité de vivre la plus tranquille des vie, la plus agréable et la plus paisible... Si elle ne comprennait pas la femme en face de moi, je la refuserais. Je preferais cette vie où j'avais souffert d'une malediction, cette vie ou j'étais tombée d'amour comme il ne fallait pas. Parce que c'était une vie que plus ou moins je partageais avec elle. Ah pour être tombée j'étais bien tombée amoureuse. La chute était encore douloureuse, mais je m'en fichais. Il n'y'avait qu'elle qui comptait. Elle et ses yeux qui sondaient mon ame sans qu'elle n'utilise son pouvoir. Elle... et sa démarche qui m'avait séduit sans qu'elle ne le desire. Elle et... Elle toute entiere en fait. Et plus je la regardais, plus je me disais que j'avais de la chance qu'elle soit dans ma chambre ce soir, qu'elle soit à mes cotés, et qu'elle ne soit pas partie en courant tout a l'heure. Quoi qu'il puisse en être c'était moi la chanceuse collée contre elle maintenant, et l'humeur avait considérablement changé, l'atmosphere n'était plus le moins du monde froide en réalité.

En reponse à ma douce provocation je me retrouvais contre ses lèvres alors que ses mains jouaient contre mon corps. Adieu bretelle ! Tu ne me manquera pas. Je souriais goutant à l'alcool ainsi qu'a l'acidulé qui la caracterisait tant, tandis que mes mains courraient dans ses cheveux avec tendresse mais non sans passion. Nous avions visiblement les mêmes idées et ce changement de décor n'avait rien de deplaisant. « Il me semble en effet. » Un sourire lupin sur mon visage et je déposais mes lèvres dans son dou, fremissant doucement à la sensation des siennes sur mon épaules, essayant de maniere plutot maladroite de relever son debardeur pour caresser son ventre. C'était un jeu que je connaissais bien, du moins avec elle, et pour une nuit de plus je voulais bien m'y perdre et m'y reperdre encore. Rien d'autre n'existait quand nous étions ensembles.


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyJeu 14 Fév - 22:35


I can't take my eyes off of you

And so it is ... just like you said ...
Je la regardais, oui les évènements un peu plus tôt, les petits sous entendus, mal entendus … toutes ces choses … avaient été entendues. En effet oui. Moi je ne suis mais une personne qui peut s’attacher, mais hey …. Pourquoi ne pas changer ? Est ce que c’est réellement une chose immuable. Gravée dans la pierre. Est ce qu’une fée c’est penchée sur mon berceau –enfin une fée dans une maison close, ça fait un peu tâche- pour me dire « tu ne trouveras jamais l’amour ! » est ce que c’est le douzième commandement ? Non je ne crois pas. Mais cette carapace que je me suis forgée. Cette protection que je m’étais établie depuis des années et des années … elle était bel et bien là. Mais qui sait, elle n’est pas indestructible. Peut être. Mais pour le moment, les choses étaient bien différentes. Ou alors en fait un peu plus semblables à d’habitude. Ses lèvres étaient vraiment agréable à retrouver. Et je ne me lasserais jamais de les parcourir. Son corps aussi était merveilleux. Elle dit quoi cette chanson mielleuse, John Mayer ou un type du genre « Your body is a wonderland » … c’était bien le cas d’Askja. Je ferais bien mon nid au creux de son cou. Pour humer son parfum. Pour rester collée à elle. Mais pour le moment … J’étais à califourchon sur elle.

Et nos idées étaient les mêmes. Elle le confirmait. « Il me semble en effet. » un large sourire naquit sur mes lèvres alors que je posais mon front contre le sien et que je baissais mes mains sur mes cuisses. Puis les siennes en dessous. Puis les remontait le long de son flanc. Sous le tissu bien sûr. Je prenais le soin bien entendu de le faire avec une lenteur extrême. Et mon regard ancré dans le sien. Arrivée au cap de sa poitrine un petit regard pervers se fit et je baissais enfin les yeux pour venir regarder cette « barrière ». Je soupirais l’air faussement embêtée puis posais mes mains entièrement sur sa peau puis jusque dans son dos alors que mes lèvres venaient se poser sur sa généreuse poitrine. « Sésame ouvre toi » murmurais-je en souriant alors que de mes mains je faisais remonter le tissu sur sa poitrine, non peu fière de moi.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyVen 15 Fév - 22:42

Heather' & Askja
I can't take my eyes off of you

Quand j'étais avec Heather, j'oubliais l'existence même d'un monde autour de nous. Oubliée la conversation precedente, ou du moins elle était coincée dans un coin de mon esprit, je ne voulais plus y revenir. Parce que... Dire encore une fois à Heather que j'étais amoureuse d'elle ça sous entendait une attente de reponse, et je ne voulais pas qu'elle se force à le faire... Tout comme, je ne voulais pas entendre un silence de sa part. Ça m'aurait fait super mal. Mais non. Pas de pensées, je me concentrais sur Leather, Heather, la femme la plus parfaite au monde. Oh, bien sur, elle n'était probablement pas la plus belle, pas la plus jeune non plus, et surement pas la plus frequentable. Mais elle était... d'un charisme indéniable. Elle etait... celle pour la quelle j'avais craquée. Celle qui faisait battre mon coeur, celle... Dont j'étais amoureuse et dont le corps faisait trembler le mien.

Elle était sur moi, à califourchon sur mes genoux, et de mes mains expertes je caressais son ventre, soulevant son debardeur, tandis que je deposais des baisers dans son cou. Ses mains courraient sur mon corps, descendant sur mes cuisses, et moi je descendais les miennes sur ses courbes egalement tandis qu'elle remontait sous ma robe, s'affairant du mieux qu'elle pouvait, succitant quelques frissons de ma part. Mes lèvres dans son cou, je suçotais les parties tendres que je trouvais, et glissais mes mains sur son ventre, jouant avec l'ouverture de son pantalon de cuir. Sésame ouvre toi, et ses levres parfaites, la délivrance. Je glissais une main sous sa nuque et je relevais sa tête, l'embrassant passionément, mordant doucement sa lèvre inferieure, tout en relevant à mon tour son debardeur, totalement, ne lachant ses levres que l'espace des quelques secondes ou je devais lui faire passer la tête. « Victoire ! » Un grand sourire, tout était tellement si simple quand c'était avec elle.

Et je bougeais legerement de maniere à retourner nos positions sur le canapé, me retrouvant sur elle, degraffant doucement ce qui etreignait sa douce et belle poitrine. Double victoire, je deposais des baisers sur chaque parcelles de son corps lui montrant avec douceur à quel point je l'aimais. Et je l'aimais... D'un amour incomensurable.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyLun 25 Fév - 23:57


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Tout était effacé. Jusqu’à même la raison de ma présence ici. Seule chose comptait. Elle. Et ma présence ici. Entre ses bras. Je souriais doucement et ce sourire ne cachait rien du tout de mes intentions. Ni mes gestes d’ailleurs. Ou mes baisers. Aucun d’eux ne laissaient incomprises ma volonté d’elle et de son corps. Un coup d’œil sur la jolie Askja et je soupirais doucement avant de la défaire comme je pouvais de sa –très jolie- robe. Mais elle est quand même bien mieux sans cette robe. Toute aussi jolie qu’elle soit. Je fermais les yeux et me laissais aller. Ses lèvres dans mon cou étaient un vrai délice et ma main se perdait sur sa nuque pour la garder près de moi plus longtemps. Ses baisers étaient passionnés et si agréables que déjà mes mains parcouraient de nouveau son corps. La robe avait cédé. Victoire. Un large sourire trônait sur mes lèvres. A peu près le même que sur mes lèvres en ce moment.

Elle changea de position et j’arquais un sourcil surprise mais agréablement. Ses mains défaisaient mes habits, plus précisément mon haut en cuir, laissant ma poitrine à l’air. Ouh j’aimais bien qu’elle prenne les choses en main. Doucement je frissonnais en sentant ses lèvres sur mon corps et passais ma main dans son dos puis glissait sur ses reins avant de la rapprocher un petit peu de moi. Pas trop. Je ne voulais pas dominer. J’étais … j’avais trop souvent dominé alors … et puis ça lui laissait tout le loisir de me permettre de tomber amoureuse d’elle. Le cœur, ah … Le cœur. Ou en l’occurrence … le sien. J’avais l’oreille posée sur sa poitrine, écoutant les pulsations de son cœur. Caressant sa peau laiteuse du bout des doigts. Puis je relevais le visage pour la regarder. Avec tendresse. « Fais moi changer d’avis sur l’amour. » pensais-je. La laissant l’entendre. Cela voulait dire. Permet à mon cœur d’aimer. Apprendr lui. Je lui laissais le soin de me montrer comment on aime. Comment je pourrais aimer … moi qui je pensais pas pouvoir être capable, voilà maintenant que je lui demandais de me montrer. Pour appuyer mes « pensées » je passais ma main dans sa nuque et léchais doucement la peau de son cou.

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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMer 27 Fév - 10:49

Heather' & Askja
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Le corps d'Heather était juste la perfection pour moi. Sa peau blanche, retenue il y'a quelques instants par des lanières de cuir, sa peau douce et tendre sur la quelle je laissais glisser mes mains, comme découvrant un trésor, comme m'occupant du plus précieux et du plus fragile des dons de la nature. J'en explorais les courbes, fremissant quand elle parcourait mon dos de ses mains expertes. J'étais presque nue devant elle, seule couverte d'un mini short noir, tatouages et cicatrices apparents pour elle. Je n'avais pas honte. Mon corps, malgré les cicatrices infligées par les loups, par les hommes qui avaient tentés de me traquer sous forme lupine, était beau, et bien entretenu, et les runes scandinave sur mon flanc gauche, ne gachaient rien au tableau. Non, je n'avais pas honte. Je pouvais m'offrir à elle dans la nudité la plus flagrante. De moi elle savait tout, elle avait tout. Ame. Coeur. Corps. Est ce qu'il était possible de ressentir quelque chose de si fort pour quelqu'un ? Je n'avais rien prévu, au debut c'était bien, nous n'avions pas d'attaches, je n'avais pas prevu que je tomberais amoureuse... Et que la chute serait aussi rude, douloureuse. Parce qu'aimer n'est qu'un long chemin pavé de souffrance, surtout quand ce n'est pas reciproque. Surtout quand c'est compliqué. Et ... M'aimer est difficile. Comment peut on aimer quelqu'un qui est habité par une chose bestiale. Par un animal sauvage et dangereux... J'étais démoniaque, sans le vouloir, sans pouvoir le controler. Non. Il ne fallait pas que je pense à tout ça, je me concentrais sur le corps contre le mien, ce corps que je dominais avec toute la tendresse du monde. Ce n'était pas bien dur de se concentrer sur elle, sur sa nuque parfaite que j'embrassais, en la mordant un peu. Pardon Heather, peut être que demain tu aurais besoin d'une écharpe.

Et puis soudain, une de ses pensées me heurta le coeur. Fais moi changer d'avis sur l'amour. J'étais touchée. Touchée qu'elle fasse l'effort pour moi, qu'elle ressente quelque chose, qu'elle ait... besoin de moi en un sens. J'étais touchée d'être celle qui captait les pensées qu'elle voulait bien m'offrir, et je déposais tendrement mes levres sur les siennes pensant trés fort, pour qu'elle l'entende . « Tout ça, c'est aimer. » Elle m'aimait déja peut être non ? Je m'étais leurée par le passé, on ne donnait pas son corps à quelqu'un que l'on aimait pas. Aprés elle, j'avais essayé, c'était libre, j'avais essayé de coucher avec d'autres personnes, il n'y'avait rien eu, tout avait été tellement fade. Je lui étais devenue exclusive sans jamais rien lui dire, sans qu'elle ne s'en rende compte. Pour moi, ces caresses que nous nous donnions, ces baisers. C'était amour. Je frissonais doucement, en penchant la tête en arriere, pour lui laisser pleine possession de mon cou, et je revenais l'embrasser, nous faisant doucement glisser dans une position allongée sur le canapé - lit sur le quel quelques heures auparavant je revais d'elle en somnolant. C'était ça l'amour... ? Qu'importait peut être qu'elle ne puisse pas m'aimer, qu'elle n'y arrive pas. J'étais prête à tout lui offrir, et lui offrir encore, sans attendre de retour. Car... Aimer pour être aimer, c'était égoïste non ? Et moi, je ne l'étais pas. Evitant de lui dire un Je t'aime qui la mettrait mal à l'aise, je me mordais la lèvre, avant de descendre - deposant une nuée de baisers, de sa nuque jusqu'a son ventre, sur ses hanche aussi, tirant doucement sur son dur pantalon de cuir que je n'arrivais pas à defaire.



Dernière édition par Askja Skàdi Ùlfurson le Mar 5 Mar - 15:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you EmptyMar 5 Mar - 15:14


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Elle me libérait de ces habits devenus –il faut bien l’avouer- superflu vu la direction que prenait la soirée. Et que prenaient nos corps. Je souriais largement quand elle ôtait mon haut. Ses mains sur mon corps me firent fermes les yeux un instant. C’était ça l’amour ? Est-ce que c’était ça d’être aimée ? Je soupirais d’aise doucement quand sa bouche rencontrait ma peau. Mes mains glissaient dans son dos et je souris en coin en la sentant frémir. Je l’observais. Elle était magnifique. Ses blessures sur son corps ne me gênaient nullement. Au contraire. Cela montrait qu’elle était forte. Qu’elle avait vu et vécu beaucoup de choses. Mais qu’elle était toujours là. Doucement je me relevais et posais mon doigt sur une des cicatrices. Puis j’y posais mes lèvres. Je les trouvais terriblement sexy ces cicatrices. Je l’observais ne loupant aucune des courbes de son corps. Aucune cicatrice. Aucun tatouage. Je la connaissais par cœur. J’avais parcouru son corps. Je l’avais découvert.

Mais je volais qu’elle me montre. Je voulais savoir. Si je pouvais aimer. Si j’étais capable de recevoir et de donner de l’amour ! Elle avait piqué ma curiosité. Elle m’avait surprise. Mais pas dans un mauvais sens. Peut être un petit peu paniquée. Mais ça n’a rien à voir avec elle. Mais avec moi. Moi qui ne suis pas capable d’amour, selon moi du moins. Mais elle pourrait peut être m’apprendre. Me montrer. Je soupirais intérieurement. Et puis j’avais envie qu’elle m’enseigne. Tout ça c’était aimer ? Je me pris à sourire comme une adolescente un peu débile en la regardant. En plongeant mes yeux dans les siens. Elle me faisait me sentir come une adolescente. Peut être une adolescente qui découvre l’amour justement. « Oh. Tout ça ? » je me mis doucement à rougir « C’est pas si compliqué alors ! » après un nouveau large –et très niais- sourire, je l’embrassais avec fougue passant mes mains dans son dos la pressant contre mon corps pour la garder près de moi. Mais elle descendait déjà sur mon corps qui frémissait sous ses baisers sulfureux. Je me cambrais quand elle arrivait au vendre et aux hanches. Mais mon pantalon de cuir étais difficile à défaire aussi je descendais mes mains pour l’aider à me défaire de ce vêtement. Je passais les fesses puis le relevais pour descendre le cuir sur ma cuisse mais, en me relevant je me trouvais aussi plus près d’elle et je ne pus résister à la saisir par les hanches et la rapprocher de moi pour l’envelopper ensuite de mes bras et perdre mes lèvres sur sa poitrine et sa nuque. « J’avais tord Askja. » je retirais d’une main ses cheveux tombant sur le côté de la nuque ou je l’embrassais « Je crois qu’il me serait aisé de t’aimer. »


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MessageSujet: Re: ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you Empty

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