††
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Et voila, l'aventure touche à sa fin ~ Forum Fermé. Bonne continuation à tous.
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez|

CASSIE - A chacun ses vices. FINIS

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyVen 28 Sep - 15:57

source - tumblr
Ledoux Cassandra Victoire

Avatar « Charlize Theron»
Date & lieu de Naissance « 15 juin, Lourmarin, Provence, France»
Age -- Reel & Physique « 36 ans »

Groupe « Staff. »
Profession dans le Groupe « Professeur de Sortilèges»
Ancienne Ecole « Beauxbâtons.»
Ancienne Maison -- Si Poudlard « Il n'y en avait pas. »

Famille -- Généalogie abrégée « Mère sorcière issue d'une famille entièrement moldue, et père moldu. Les quatre frères et soeurs de Cassandra sont moldus.. »
Statut du Sang « sang-mêlé, à la limite du né-moldu . »
Statut Marital « Mère célinataire, enfin c'est plus compliqué que ça »
Orientation sexuelle « Hétérosexuelle. »

Orientation « Neutre »
Patronus desirés « girafe (Cassandra est elle-même parsemée de tâches, voir histoire) et sinon je dirais louve ou bien panthère . »
Animal de Compagnie « Une fille *baf* aucun»
Composition de la baguette « cheveux de vélane »

Histoire

Je m’appelle Cassandra Victoire Ledoux, mais mon second prénom n’est qu’un leurre, à moins que la victoire ne soit celle que de la déception et de la désillusion. On me réclame mon histoire, le conte de fée n’est plus depuis bien longtemps, l’a-t-il déjà été ? Blaise Pascal a dit « Le cœur à ses raisons que la raison ne connait pas », les gens pensent qu’il parle de l’Amour, dont l’allégorie n’est autre que le cœur, mais à tort. En réalité, c’est une allusion à la foi. Je l’ai perdu il y a bien longtemps, j’ai cru pouvoir échapper au destin, à la fatalité, mais cette fuite en avant n’a mené qu’à la dégradation insolente de mon corps et de mon âme, et jamais mutilation ne fut plus douloureuse que celle de l’amour. J’ai cru longtemps que c’était possible, mais j’ai déchanté, vous savez ce que c’est, on brûle d’amour, puis on finit par se brûler les ailes, on tombe, on s’écroule, on s’abime. On voit une lueur, ce n’est que Lucifer qui vous tend une main, vous la prenez, et vous tomber plus bas encore. Je suis née dans la douleur, et le désenchantement, pourtant, je continue d’errer à la manière d’une âme en peine, et lorsque je regarde dans ses yeux, je regrette d’y voir mon avenir tout entier. Qu’il est loin le temps de la déchéance et du débordement, de la quiétude et du je-m’en-foutisme … Bien vite remplacés par l’Amour et la passion, car ma vie ne se résume qu’à cela.




Je suis née dans un village du Sud Est de la France, perdu quelque part entre un champ de lavandes et d’oliviers. C’était en juin, les cigales chantaient déjà, et quel temps merveilleux, pas un nuage ne venait noircir ce tableau féérique. Au cœur de cette atmosphère sereine, était placée une maisonnée. Loin des mas provençaux que chacun connait, il ne s’agissait en réalité que d’un taudis misérable, grisâtre et laid… Je me plais cependant à dire que cette laideur est dû aux propriétaires de l’humble demeure, des gens intrigants et infâmes, qui ne vivaient que pour l’argent et les addictions. Voyez plutôt. Je naquis au milieu de bouteille d’alcool et de cendre de cigarette, dont l’odeur allait me paraître, plus tard, tristement familière. Le cadre était de toute évidence idéale pour ce qu’il allait advenir de moi, Cassandra Ledoux.

Mes parents n’avaient pas la fibre parentale, en fait, ma mère n’avait que la fibre du sexe et de l’argent, et mon père celle de la drogue et de l’alcool, ainsi, Simon Ledoux et Hélène Ledoux, née Duplessy, s’étaient véritablement bien trouvés. Hélène était une catin, et ce n’est pas un euphémisme, puisqu’il se trouvait qu’elle vendait ses charmes sur le trottoir en échange d’une somme déraisonnable que les bourges des grandes villes payaient sans regret. Bien sûr, elle était belle, ma mère. Loin d’être laide, sa chevelure blonde, pareille à la mienne, si proche du blanc, tombait en cascade sur ses épaules, elle avait un regard électrisant, le bleu de l’océan en paraissant presque fade à côté, nombreux furent les hommes qui eurent le coup de foudre. Un ange venu des Dieux, elle étai divine, ses pommettes saillantes la rendaient plus élégante encore, et son corps n’était que courbes parfaites et silhouette merveilleuse. Plus d’un était tombé sous le charme, mais au lieu d’épouser l’un des bourgeois de ce monde, elle avait préféré ce paria de drogué, qui ne lui avait rien apporté d’autre que cinq enfants et des dettes. Mon père n’était que toxicomanie, alcoolisme et violence. En faisant des enfants – les avait-il seulement voulus ? – il avait pensé s’en servir de bonne à tout faire, et les battait sans vergogne, pour assouvir ses pulsions viriles. La jalousie de voir sa femme passer de bras en bras le rendrait acerbe, et toutes ses addictions n’arrangeaient les choses en rien.

Je suis née après quatre enfants, deux frères et deux sœurs. Ils s’appelaient Thomas, Alice, Léo et Justine. Ils étaient mon unique famille, et je l’ai toujours aimé, jusqu’à la toute fin. Etant la cadette, j’avais cette unique chance de me faire protéger pas mes aînés, lorsque la violence envahissait mon père, pendant les absences de ma prostituée de mère. Quand il avait un verre de trop, mon père savait cogner là où ça faisait mal. Ses paroles, d’un venin sans nom, n’en pouvaient plus d’écorcher le cœur de ses enfants, et ses coups, d’une violence innée, n’en pouvaient plus de bleuir leur épiderme. Mes sœurs avaient l’habitude de se mettre entre mon père et moi lorsqu’il s’acharnait sur le bébé que j’étais, et mes frères faisaient leur possible pour me cacher quand l’orage grondait. Mon enfance ne fut pas épanouie, mais cela n’était pas fini. A l’âge de six ans, je développai des pouvoirs magiques. A la grande horreur de ma sorcière de mère qui s’était bien gardée de l’annoncer à son ivrogne de mari. Les quatre premiers enfants étaient tous dépourvus de magie, il faut dire que ma mère était elle-même issue d’une famille entièrement moldue, et espérait donc ne jamais faire d’enfant sorciers, afin d’éviter d’avoir à avouer la vérité à son cher et tendre. Malheureusement pour elle, je me montrai particulièrement douée pour briser les bouteilles d’alcool de mon père avant qu’elles ne viennent s’écraser sur mon visage de poupée.

Le pauvre Simon n’en cru pas ses yeux. Se croyant sujet à des hallucinations dues à l’alcool, il refusa d’abord d’y croire, jusqu’à ce que l’évènement ne se répète plusieurs fois en une même journée. Le soir venu, Hélène fut bien forcée d’annoncer la vérité sur sa nature de sorcière, et dès lors, le couple, déjà très désunis, se sépara définitivement, leur lien affectif tout au moins. Car, loin de rouler sur les gallions, Simon vivait de l’argent que gagnait Hélène, aussi aurait il bien peiné à quitter la seule personne qui ramenait de l’argent dans le foyer. Grâce à l’argent ramené par la prostitution, Simon pouvait se payer le luxe d’être un junky. Quant à moi, j’étais devenue aux yeux de mon paternel un véritable monstre, en dehors de toute nature et de la création de dieu. Mes frères et sœurs le prirent plutôt bien, savourant cette petite victoire sur notre père : enfin, ils avaient une sœur qui pourrait se défendre seule. Mais mes dons, encore nouveaux, ne se contrôlaient pas aussi facilement qu’ils ne le souhaitaient tous, et pouvaient se montrer défaillants. Ainsi mon père redoubla de violence à mon égard. En plus d’être sorcière, je n’étais pas sans lui rappeler sa catin d’épouse : j’étais celle qui lui ressemblait le plus. Mais quel homme était-il pour ainsi supporter que sa femme aille tapiner, et coucher avec d’autres hommes que lui, dans le seul but de pouvoir se payer sa dose quotidienne de cocaïne ? Même s’il ne le montrait pas, je savais qu’il était jaloux et c’était sans doute pour cela qu’il se défoulait sur les seuls êtres qui le reliaient à sa femme : ses enfants.

Les années passèrent dans cette débauche insoutenable. Mon frère aîné tomba dans la drogue, comme mon père, et un an après mon neuvième anniversaire, il décéda d’une overdose à l’âge de 18 ans. Ma plus grande sœur, Alice, quitta la maison pour faire ses études à Paris, où elle avait obtenu une bourse et ne revint plus jamais. Léo, quant à lui, fugua dès l’âge de 15 ans, et nul ne sut ce qu’il advint de lui. Il ne resta très bientôt que ma sœur, Justice, de trois ans mon aînée, et moi-même, âgée dès lors de 10 ans. J’étais entrée à l’académie de Beauxbatons où je débutais mes études. Je rentrais pour toutes les vacances scolaires, et mon père ne loupaient pas une occasion de me maltraiter. Justine travaillait dans la grande ville la plus proche et n’était pas là tous les soirs, aussi, me retrouvais-je très souvent seule avec mon monstre de père. Il s’acharna sur moi, plus d’une fois, me battant jusqu’à l’inconscience, s’amusant à écraser ses cigarettes sur ma peau blême. Les cicatrices restèrent et j’eu très vite honte de me montrer peu vêtue. Ma mère, victime aussi de mon père, finit par me rejeter la faute. Après tout, si je n’avais pas été sorcière, rien de tout cela ne ce serait passé et nous n’aurions pas à subir toute cette violence. Comme si j’avais fait le choix de devenir sorcière et d’encaisser les coups de mon père.

A Beauxbâtons, je me fis petit à petit ma réputation. Mauvaise, la réputation. J’avais été élevée dans la plus grande débauche, suintant la drogue et le sexe, aussi ne pus-je que m’épanouir en tant que tel. Je compris très vite que les seuls moments où je me sentais vraiment heureuse étaient ceux où j’étais sous drogue, ou alcool, et souvent les deux. Je me haïssais d’être ainsi, aussi stupide que mon père en me laissant ainsi tomber dans cette débauche, mais je ne pouvais m’en empêcher, car cette adrénaline qui montait à chaque fois en moi était ce souffle de vie que je recherchais chaque jour. Je n’avais de bonnes notes que dans les matières que je voulais. En fait, j’avais quelques facilités en sortilèges et en potions, pour le reste, je me laissais aller et me débrouillai pour avoir mes examens de justesse. Le week end, je dansais jusqu’à l’ivresse, et me droguais jusqu’à l’atteinte de l’euphorie. Je m’étais lancée dans une quête du bonheur que je ne touchais du doigt qu’en ingérant des substances toutes plus illicites les unes que les autres. J’avais honte de ce que j’étais, mais dans le fond, je me sentis victime d’une fatalité : une mère catin, un père toxico, que voulez vous que je devienne, si ce ne fut le mixte des gènes de l’imperfection. Mon monde n’était qu’ombre et solitude, je couchais à droite à gauche, ignorant la fidélité ou la loyauté. Egoïstement, je ne vivais que pour moi, cachant au monde entier d’où je venais et ce que j’étais : la fille de deux monstres qui n’avaient rien trouvé de mieux à faire que de battre leurs progénitures. Alors bien sûr, ma mère n’avait jamais levé la main sur moi, mais c’était pour sa passivité que je la détestais encore plus. Elle aurait du me protéger, me prendre et s’enfuir loin de toute cette violence. Mais au lieu de cela, lorsque mon père faisait claquer sa ceinture comme un fouet sur mon dos courbé, elle restait dans un coin, laissant quelques larmes s’échapper de ses yeux qu’elle détournait sitôt que mon regard croisait le sien.

A l’Académie, donc, je n’avais pas ou bien très peu de véritables amis. En fait, je les fuyais tous comme la peste, car m’attacher, je le savais, me ferait plus de peine que de bien. J’avais développé un sens inné pour fuir tous liens un peu trop étroit, ainsi m’évitais-je de souffrir des affres de l’amour. Bien sûr, j’avais eu quelques petits amis officiels, mais les avais-je seulement aimés ? Je n’en savais rien, je ne voulais pas le savoir, car l’amour était une faiblesse, et je devais me protéger de tous ceux qui pouvaient me faire souffrir. Je noyais ma peine dans les bras de beaux garçons que j’oubliais une fois la nuit passée. Mes meilleurs amis étaient les cachetons multicolores et les boissons enivrantes. Je continuais de rentrer chaque vacance scolaire, et continuais à me faire battre à chaque fois. Je n’avais pas le droit d’user de la magie en dehors de l’école, et mon père ne se priva. C’était avec du maquillage moldu que je cachais mes bleus et les brûlures de cigarettes. Malgré tout ce que représentait pour moi la magie, une sorte d’échappatoire, j’éprouvais une attirance pour le monde moldu qui restait le mien, malgré tout. Ainsi, j’avais toujours sur moi des objets non magiques, tels un briquet, des allumettes, des lecteurs de musique – et Merlin savait combien la musique pouvait être une drogue pour moi – et autres broutilles dans le genre.

Inconsciemment, j’attendais la mort. Moi qui pensais vivre et respirer enfin, en m’injectant quelques drogues dans les veines, je savais que l’unique issue, l’unique fin à tout ce chaos qui m’entourait était la mort pure et simple. Mais je ne pouvais me résoudre au suicide, ainsi préférais-je penser que tout aller s’arranger, un jour ou l’autre. Bien sûr, j’étais consciente, pour que tout s’arrange, que je devais arrêter cette vie de débauche, et abandonner définitivement mon foyer familial – Quelle famille ? – mais je ne m’y résolus pas. Plus tard, peut être, aurais-je la force de le faire ? Et puis ce qui devait arriver arriva. Mon père décéda, j’avais alors 16 ans. Une overdose, il fallait s’y attendre. Ma mère hérita de la maison et des meubles, et devint désormais l’unique figure d’autorité de ses enfants, ou plutôt de moi-même puisqu’il ne restait que moi. Son égo déjà surdimensionné enfla comme jamais. Je me retrouvais alors seule avec ma mère, aigrie par le temps, alcoolique, dépressive, et cruelle. Si elle ne frappait pas, elle savait faire mal avec ses mots, et la pauvre se croyait encore assez belle pour tapiner, mais le temps et l’alcool avaient raison de sa beauté d’antan.

A l’école, je continuai à vivre cette vie qui n’en était pas une. Et bien contre mon gré, les géniteurs eurent une répercussion sans nom sur mon adolescence de débauche et de perdition. Ma première année de scolarité fut sans doute la plus calme, mais aussi la plus symbolique. C’est à ce moment de ma vie que je mis à fréquenter les mauvaises personnes. Au début plutôt sage et craintive, je me contentais de regarder le monde qui m’entourait, ne parlant que très peu, fascinée par tout ce qui pouvait exister et que je n’avais jamais vu dans mon taudis provençal. Je n’étais pas très bonne élève, mais je savais travailler au dernier moment pour pouvoir valider mon année, je passais néanmoins beaucoup de temps à lire, lecture que je ne mettais néanmoins jamais à mon service lors des devoirs à rendre aux professeurs. Ceux-ci se contentaient de me traiter d’élève médiocre, passable, ni cancre, ni studieuse. La seconde année se déroula à quelques exceptions près dans la même optique. Enfin arriva la troisième année. Je m’étais fait un cercle d’amis plus ou moins fiables, et en étais devenue la petite cheftaine. Et Ciel, que j’aimais ce pouvoir d’attraction que j’avais sur les autres. Je sentais que je les fascinais. Je ne parlais que très peu, j’étais d’un calme olympien, je ne parlais jamais de moi. Je m’amusais de les voir se questionner, ils ne savaient pas qui j’étais… je ne le savais pas moi-même, mais j’aimais n’être personne. En quatrième année, je fis la rencontre de la mauvaise personne. A mes yeux, c’était la personne la plus sublime qui existait, mais il n’en était rien, j’aurais du me rendre compte qu’il s’agissait en réalité du Diable en personne, et je lui vendis mon âme, un sourire aux lèvres…

FLASH BACK

« Cassandra, douce Cassandra, tu es belle, ta beauté concurrence celle des astres… » Cette voix… Sa voix. Rauque, douce, mystérieuse, astrale, était-il réel, cet ange démoniaque qui me tenait dans ses bras protecteurs et destructeurs à la fois ? Ses lèvres qui parcouraient mon cou, étaient-elles aussi douces qu’elles semblaient être ? Son poison se répandait dans mes veines, tandis qu’une seringue d’écrasa sur le sol. « Laisse toi faire, sens comme tu es légère… » Il avait raison, je ne m’étais jamais sentie aussi bien. J’avais quatorze ans et je venais de subir ma première injection d’héroïne. Il s’appelait Alexandre, il était beau comme un Dieu, et son regard hypnotique en avait fait chavirer plus d’une, et c’était moi qu’il avait choisit. De trois ans mon aîné, il avait jeté son dévolu sur moi. Après l’avoir de longs mois repoussé, j’avais finit par succomber à ses charmes, et voilà qu’il m’avait fait naître. Il m’avait retiré ma virginité avec douceur et violence à la fois, quant à mon sang, il venait à l’instant de le violer à l’aide de la seringue froide qui venait de s’écraser sur le sol. « Alex… J’ai peur. » Soufflai-je, alors que le produit se répandait dans mon corps et que je sentais mon esprit s’envoler vers d’autres cieux. « Chuuut, ais confiance, mon Ange… » Et la plus grand erreur fut de lui faire confiance, justement.
FLASH BACK


Je continuai à le voir chaque jour, et chaque vendredi soir il me fournissait l’héroïne que je m’injectais seule dans les veines. A chaque fois, l’injection était la même, toujours aussi délicieuse, aussi envoutante, aussi libératrice. Je me sentais vivre, alors que paradoxalement je commençais une longue descente en enfer. Je me rapprochais de mon père sans le réaliser, pis encore, je devenais comme ma mère putain, en offrant mon corps à quiconque pour un peu de drogue. En 5ème année, Alexandre n’était plus là, et j’étais devenue une véritable toxico-nymphomane. Je ne parlais pas, je me contentai d’écarter les cuisses pour ma dose quotidienne. Et j’aimais ca, tout en me détestant. Mes notes chutaient à vue d’œil, mais qu’importait, rien n’égalait la jouissance inédite que me procuraient mescaline, cocaïne, héroïne, extasie et tout autre petit bonbon multicolore. Mes professeurs se désolaient. Sauf un. Il s’appelait Henri Berrard. En fin de carrière, le vieux professeur de sortilèges ne faisait pas l’unanimité parmi les élèves. Il était aigri, méchant et avait la réputation d’être très sévère, rares étaient ceux qui avaient de bonnes notes avec lui. Pour une raison qui m’a toujours échappé, le vieillard m’avait pris d’affection. Un beau jour où je me trouvais dans les toilettes des filles, un rail de coke sur le lavabo, penchée au dessus prête à le respirer à plein poumons, il entra sans même frapper…

« Professeur, ce sont les toilettes des filles », murmurai-je avec un petit sourire au coin des lèvres. Du haut de mes 16 ans, pour qui me prenais-je alors ? Je ne pris même pas la peine de cacher la drogue, je me contentais de le fixer d’un œil brillant. S’il disait quoi ce que soit, je criais au viol, et alors qu’arriverait-il au vieux professeur indiscret ? Je n’osais l’imaginer, mais m’en réjouissais déjà. A ma grande surprise cependant, Henri se contenta de m’observer, avant de murmurer de sa voix cassée et grave. « En effet, Cassandra, mais je m’octroie le droit d’y entrer. Ecoute moi bien. J’ai parlé avec les autres professeurs, et j’ai remarqué que la seule matière dans la quelle tu avais des notes excellentes était la mienne. » Je le regardais, muette. Pourquoi s’était-il intéressé aux notes que j’avais dans les autres matières que la sienne ? Pourquoi ce professeur plaçait-il autant d’espoirs en moi ?

« Et alors ? N’allez pas croire que je bosse votre matière, vous êtes justes très tolérant.
Je ne crois pas que ce soit vraiment dans ma réputation que d’être très tolérant, Cassie
Ne m’appelez pas comme ça. »

Personne ne m’appelait comme ca, je ne le tolérais pas. Personne n’était assez proche de moi pour avoir ce droit. Je ne voulais être proche de personne, je ne voulais ni ami ni famille, je n’aimais personne, et on me le rendait bien. J’avais appris à me forger une forteresse pour ne plus souffrir. Mon père était mort mais il avait pris la peine de me brûler de son fer rouge avant de partir, ma peau s’en souvenait parfaitement. Je n’en pouvais plus d’hurler au milieu de la nuit, d’un cauchemar, de sueur froide, de pleur sans raison. Je ne voulais pas être bonne élève, je voulais juste crever, rejoindre la Faucheuse et oublier que ma misérable vie n’était qu’une divine erreur. Et pourtant, cette conversation avec mon professeur changea ma vie. Je compris qu’il fallait faire quelque chose de cette vie, aussi courte qu’elle serait. Ainsi, cette année, ma 8ème, je me mis à bosser, juste assez pour continuer mes études supérieures. Je continuais cependant à me droguer, à boire, à coucher dans tous les lits, hommes et femmes je n’avais aucun favori… Mais quand j’avais un peu de temps, je révisais, et alors que mes notes remontaient légèrement, celles en sortilèges explosaient les compteurs, j’étais ce que les professeurs appelaient : un miracle. Mais à la rentrée, je ne vis mon professeur nulle part. J’appris par la suite qu’il était décédé, un arrêt cardiaque, normal à son âge, m’avait-on dit. Je sentis mon univers s’écrouler, ce vieil homme que j’avais considéré comme mon unique famille venait de s’éteindre et je ne l’avais pas su. Les larmes se mirent à couler alors, et ne s’arrêtèrent plus. Aujourd’hui encore, à chaque pensée que j’ai pour lui, je ne peux empêcher mon cœur de ses serrer et mes larmes de couler. Si lui n’était plus là pour m’encourager, qui le ferait ? Mes parents ? L’un était mort, l’autre catin et égoïste. Mes frères et sœurs ? Tous envolés sans signe de vie. Mes amis ? Quels amis. Il ne me reste personne. J’étais fondamentalement, et fatalement seule.

Ma dernière année fut celle de la révélation. Je me levais un matin avec la ferme intention de cesser la drogue, l’alcool, les cigarettes et le sexe. Oui, j’étais maîtresse de mon destin, de ma vie, et aussi libre que je le souhaitais. Je n’étais pas l’un des lâches qui n’assument pas cette imminente liberté qui nous accable ou nous fait voler. Sartre a dit « L’existentialiste est un humaniste ». J’en étais une. Et je n’avais désormais plus peur d’être heureuse. Je me mis à travailler, à devenir studieuse, comme je ne l’avais jamais été. Etonnement, j’y prenais plaisir, et je découvrais une nouvelle addiction, celle du savoir et de la connaissance, et dieu, que je prenais mon pied de cette délivrance inespérée, et enfin assouvie. J’obtins mon ultime diplôme avec classe et authenticité, pas une seule tricherie comme j’en avais toujours eu l’habitude, le travail que je venais d’accomplir était le mien, et je n’en étais pas peu fière. J’avais réussit à tout arrêter toute seule, et même si le sevrage avait été long et difficile, j’étais clean depuis un an et deux mois quand j’obtins mes examens. Mais le chemin était encore long vers mon objectif. Je voulais devenir professeur de sortilèges, en l’hommage à Henri… Je le lui devais, je me le devais. Je quittai l’université sans un seul regret, et parti faire un tour du monde durant de longues années. Je découvrais des formes de magies plus profondes que je n’en avais jamais imaginé, les grands gourous indiens m’apprirent la médecine ancienne, les sorciers argentins me firent découvrir la magie des plantes, je rencontrais aussi de nombreux fabriquants de baguettes qui m’enseignèrent l’art de celle-ci. Sans doute les années les plus riches de toute ma vie. Enfin, je reviens en Angleterre pour poster une candidature que je n’aurai jamais pensé poser…


Le directeur n’était pas l’un de ces hommes qui se laisse avoir par un décolleté pigeonnant ou des cils qui battent un peu trop, un clin d’œil égaré ou encore une main effleurée. Il était charismatique, grave, beau, sérieux, et fascinant. Ses yeux dans les miens me donnaient la chaire de poule, moi qui avais pour habituer d’étonner, j’étais à présent absorbée par cet homme qui semblait être bien plus que cela.
« Bien, Miss Ledoux, nous savons tous deux pourquoi vous êtes ici et très sincèrement, votre passé inhabituel n’est pas en votre faveur. » Je restai muette. Il savait pour mon ancienne toxicomanie, je lui en avais parlé dans l’une de mes lettres, j’avais jugé bon d’être sincère dès le début, quitte à tout perdre, car de toute façon, tout cela aurait pu ressortir tôt ou tard. Songeuse, je réfléchis un instant à ma réponse, avant d’enfin me lancer.
« L’avantage avec le passé, c’est qu’on y découvre des erreurs à ne plus renouveler. Je suis consciente de ce que je vous demande. Un poste dans votre établissement ne s’offre pas à la légère, mais j’ai travaillé très dur pour y arriver, je crois que vous devriez me laisser une chance. J’en suis intimement convaincue en réalité… » Sans doute l’un de mes pires défauts, j’étais bien trop sûre de moi. Cependant, je n’avais pas menti. J’avais travaillé de longues années au perfectionnement de mon niveau magique, dans l’unique but d’intégrer cette école en tant que professeur. J’avais beaucoup à enseigner à mes élèves, je voulais ce poste, à tous prix.
«Pourquoi vous et pas une autre ? »
« Parce que je ne suis pas comme les autres, mon passé justement m’a initié à bien des choses que les autres petits premiers de classes n’ont jamais vécu. Je saurais être proche de mes élèves, car je sais ce qu’ils vivent. Ne nous leurrons pas, la drogue circule de partout, c’est un réseau entier qui s’est tissé, et je pense connaître le milieu assez bien pour pouvoir sortir quelques élèves de cette mauvaise fréquentation. Je ne prétends pas être Merlin, mais j’ai voyagé pendant six ans pour avoir le niveau de cette école, et je suis persuadée qu’il s’agit de ma vocation . »
« Comment vous qualifieriez vous ? Quelles qualités, quels défauts ? » Cette question me déstabilisa quelque peu. Comment je me qualifierai ? Je n’en avais pas la moindre idée, car si ces quelques années autour du monde m’avaient appris bien des choses, je ne savais toujours pas qui j’étais vraiment.
«Je dirais patiente et pédagogue, passionnée et calme. Quant aux défauts, j’imagine qu’ils sont bien nombreux. Je me sais froide et parfois un peu sauvage. Je peux parfois me montrer vulgaire dans mon langage, et grinçante. Mais je travaille à atteindre la perfection… » ajoutai-je avec un petit sourire discret. J’avais peur qu’il me demande des détails sur mon passé, je n’avais aucune envie d’évoquer mes parents, ni mes déboires dans les plus précis détails. Il sembla le comprendra d’ailleurs, il se leva, me serra la main et me raccompagna a la sortie.
«Nous nous reverrons Miss Ledoux. »
C’était là le début d’une aventure débordante d’intrigues, d’humour et de passion vengeresse.

C’est à l’âge de trente et un ans que j’entrais dans le corps professoral de Poudlard, en tant que professeur de Sorts. C’était intriguant que de se retrouver derrière le bureau et non pas à la place de mes élèves, mais tout aussi réjouissante et intéressant, je découvrais une autre facette de Poudlard, moi qui pensais les connaitre toutes, j’étais à nouveau enchantée par le château ensorcelé. Ma première année ne fut pas de tout repos cependant, et je n’ai aujourd’hui encore pas assez de recul pour le raconter dans les détails les plus objectifs… Au milieu de l’année, je décidai de prendre un élève sous mon aile, contre son gré. Il était mon alter ego, en fait, exactement la même personne que j’étais à son âge : un junkie. Il était beau, charismatique, divin, et je crois que j’en suis tombée amoureuse. C’est à partir ce moment là que tout à chaviré. Le vœu de chasteté que j’avais fait vola en éclat, je tombais de plus en plus dans les affres de l’amour, dans la passion destructrice et fusionnelle, je ne savais pas, comment pouvais-je savoir, que je vivais sans doute la plus belle erreur mais aussi la plus belle histoire de ma vie ? L’homme de ma vie était un élève, et notre idylle n’était pas conventionnelle, elle était même interdite, et pourtant nombreux étaient ceux qui auraient pu découvrir notre petit secret. A ses côtés, j’enchainais conneries sur conneries. Je recommençai à boire, le trompait avec un professeur, puis fis tout pour le reconquérir à nouveau. Cela marcha, difficilement, mais sûrement. J’en étais amoureuse, que dis-je, j’en étais folle. Je n’avais plus de raison, ni d’esprit à ses côtés, seul mon cœur avait le droit à la parole. Je me piquai à l’héroïne une fois, le faisais dormir dans mon lit, le couvrais de baisers, bordel que je l’aimais. M’aimait-il ? Il me l’avait murmuré quelques fois, et j’y ai crus, trop fort. Cette réciprocité fusionnelle causa notre perte. Mon infidélité et sa jalousie mordante ne tarda pas à avoir raison de nous. Il cru que je le trompais à nouveau, alors que lui-même trouvait refuge dans le lit d’une Russe au physique parfait. Une crise de jalousie, une tentative de viol, et voilà que je partais loin de tout, loin de lui, pour panser mes plaies et oublier l’amour de ma vie, le seul qui ne m’ait jamais vraiment compris, le seul qui connaissait ma vie, qui chérissait les brûlures de ma peau, sans jamais en être effrayé.

A la fin de l’année, je quittai Poudlard pour regagner la France, perturbée par cette année qui venait de s’écouler. Comment avais-je pu tomber amoureuse d’un de mes élèves, le plus luxurieux qui plus est ? Mon passé me rattrapait et je me lançai dans une fuite en avant pour oublier cette année en ruine que je laissais derrière moi. A Paris, je fis la rencontre d’un homme, Alan. Trente cinq ans, architecte magique, on lui devait en l’occurrence la banque sorcière de Paris. Il était beau à s’en damner, romantique à n’en plus pouvoir, et très vite notre idylle débuta dans un amour que je pensais sincère… J’avais vite oublié Lust, sans avoir recourt à un seul sortilège d’amnésie. Notre été sembla se dérouler dans une atmosphère détendue et douce. Nous voyagions dans tout le pays, il me fit rencontrer ses parents, je lui fis croire que les miens étaient décédés. De mêmes pour les brûlures sur ma peau, je lui fis croire à une varicelle qui avait très mal cicatrisée, il sembla y croire et ne posa pas plus de question. Au mois de septembre, je demandais au directeur un congé de plusieurs mois, je devais faire le point, et je ne voulais pas revoir mon ange démoniaque trop tôt. Alan me demanda en mariage en octobre. J’acceptai la bague de fiançailles, mais demandai un délai pour le mariage, je n’étais pas encore prête. Tout semblait aller si bien pourtant.

En Novembre, je me rendis à Poudlard pour récupérer quelques affaires dans mon appartement. Je ne devais revenir qu’en janvier, et je voulais prendre quelques livres à installer dans la bibliothèque d’Alan en France. C’est là, que je le revis. Il n’avait pas changé, mon tendre amour, il était toujours aussi beau et diaboliquement attirant. Nous nous disputâmes, oui j’étais fiancée, et oui je voulais passer à autre chose. Il ne l’entendait pas ainsi, moi si. Nous bûmes beaucoup, et finîmes par passer la nuit ensemble… J’avais oublié combien faire l’amour avec lui était une libération sans nom. Au matin, la gueule de bois fut terrible, et je partis sans lui dire au revoir, le laissant dormir paisiblement dans mes draps. C’était une grosse erreur que je venais de faire, j’étais fiancée, et je devais conserver cette situation stable que m’offrait Alan. Je quittai à nouveau Poudlard pour le rejoindre en France. Enfin, le mois de janvier arriva, et je du retrouver mes fonctions d’enseignante. Je pensais avoir définitivement oublié Lust Whitaker. Et je pensais être prête à le revoir sans éprouver le moindre sentiment, ce ne fut pas le cas, évidemment mais je refoulais au plus profond de mois ces sentiments, me pensant heureuse avec Alan que je retrouvais chaque week end en France. C’est en ce même mois que je découvris être enceinte de deux mois. Et quelle horrible sensation d’effroi j’ai ressenti ce jour là… Car à la façon d’une putain sans nom, je ne savais pas de qui l’enfant que je portais été… D’Alan ? Ou de Lust ? Les deux correspondaient parfaitement… J’évitai le plus possible de croiser le chemin de mon élève préféré, et assurait à Alan qu’il était de lui. De toute façon, cet enfant ne devait pas avoir comme père qu’Alan, car il lui offrirait la plus douce vie, c’était certain. J’avais néanmoins l’esprit tourmenté, et savais pertinemment que je ne saurais l’identité du père avant le terme de ma grossesse.

Les mois passèrent et j’appris que l’enfant était de Lust, mais une énième querelle nous sépara définitivement. Emplie de haine et de violence, je passai tout l’été en France, préparant mon mariage avec Alan, qui ne savait pas encore que l’enfant n’était pas de lui. Ce fut finalement le jour du mariage que je quittai le beau français devant l’autel, m’enfuyant en Grande Bretagne, ma terre d’exile, avec ma petite fille. Je repris mon poste à Poudlard, et oubliai définitivement ma vie de femme pour me concentrer à ma vie d’enseignante. Les années passèrent, et à 36 ans, je suis toujours professeur de sorts à Poudlard, et vis avec ma fille, qui a maintenant 5 ans. Je suis heureuse. Oui, mais pour combien de temps ? Car j’ai retrouvé Lust voilà quelques mois, et Eydis, notre fille, semble se rejouir de former une famille unie. Ai-je le droit cependant de tomber à nouveau amoureuse de cet ange délectable ? Il semblerait que plus d’un obstacle va se mettre en travers de ma route, de notre route.

Descriptions


Je suis une femme de 36 ans qui fait peut-être légèrement plus jeune que son âge. Aujourd’hui, tout le monde ne fait pas son âge, les jeune gens font plus vieux et les vieillards plus jeunes. Le fait est que je suis une trentenaire qui a abandonné l’illusion d’être aussi parfaite que les jeunes filles de vingt ans. J’ai une chevelure d’un blond très clair et légèrement ondulée, des yeux océaniques froids et perçants. Du restes, je suis tout ce qu’il y a de plus banale. Des formes de-ci, de-là, après une grossesse, il est difficile de retrouver sa silhouette filiforme, mais j’avoue pouvoir me permettre quelques gourmandises sans trop le regretter après. J’ai bien sûr quelques secrets à cacher. Les tâches qu’ont laissé les brûlures de cigarette notamment, mais pour cela un peu de maquillage et un vêtement plus couvrant faire l’affaire.

En tant qu’enseignante, je me dois d’être qu’un d’autoritaire, néanmoins, il semblerait que cela est inné chez moi. Je suis très calme, mais il m’arrive parfois de m’emporter, tant je suis passionnée par ceux et ce que j’aime. On m’accorde un certain charisme, qui vient sous doute apaiser mon côté torturé si pénible. J’aime rire et faire la fête, même si je n’en ai plus trop l’occasion depuis que je suis mère. J’ai toujours eu un côté dévergondé que j’essaie de dissimuler. Je suis douce et mystérieuse, jalouse parfois, souvent. Je n’ai pas vraiment été gâtée par la vie, et sans doute me trouve-t-on intrigante, moi qui refuse sans cesse de parler de mon passé.

& Again.

Pseudo « Ana »
Age « 19 ans »
Niveau de RP « Vous êtes drôles vous xD On dira que je RPise depuis un moment (: et que j'aime écrire des pavés, je sais c'est mal ! »
Presence sur le Forum « Quotidiennement je pense, un peu moins le week end. »
Comment nous avez vous connu ? « J'ai reçu un MP sous Never Enough, et Lust et moi avons décidé de remettre ça ici (: »
Avez vous bien lu le reglement? « Euh oui je crois Bellatrix Black (? je suis pas sûre de moi) »
Votre Personnage d'HP Preferé? « MacGo' of course (a). »


Revenir en haut Aller en bas

Sorting Hat
Que fais tu à Poudlard ?
Sorting Hat


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyVen 28 Sep - 22:34

Coucou & bienvenue !

CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1345137814-blah Bienvenue dans les ombres


Felicitations... Desormais te voila libre de t'occuper de tes demandes de RP... ainsi que de tes Fiches de lien. C'est facultatif bien sur, mais c'est toujours chouette de savoir qui kiffe qui et qui fait quoi ... ? Non ? On le sait voyons ! On est tous des comères !

Pour ton patronus ça sera une girafe ! ( Ohwais c'est interessant ça ) tu gagne meme une petite icone trop chouette que Tsu viendra te poster plus tard !

Hum... Allez bon... Ahhh ! J'oubliais, les demandes de rang, tout ça, ça se passe par ici et puis rescencer toutes les choses importantes de ton perso par ici et hum... le plus important dans tout ça..

Viens nous rendre visite sur la Chat box. On mord pas !
CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 3382779450



Par contre, pensez à regarder vos ages avec Lust il y'a 5 ans quand tu rentrais dans le corps professoral à Poudlard, il avait 23 ans ( oui il a dit qu'il en avait 28) donc il pouvaaaaaait pas être eleve =p

CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1349624668-jfhrCASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1349624667-fjhkgj
CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1349624665-fhrk CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1349624665-fjrekfrk
Revenir en haut Aller en bas
BROKEN Je ne suis pas née, on m'a brisé pour que je sois
Jeremiah L. Wotan
Que fais tu à Poudlard ?
Jeremiah L. Wotan


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyVen 28 Sep - 22:38

Huhu =D On est content de vous revoir ici *_*

Bienvenue encore =D

J'en connais une qui va aimer les cours de Sortileges :o
Revenir en haut Aller en bas

Yaëzell Egillson
Que fais tu à Poudlard ?
Yaëzell Egillson

∆ Age : 35

CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyVen 28 Sep - 22:54

Bienvenue =)
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptySam 29 Sep - 7:33

Yeah les girafes c'est la vie CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1694777847

Merciiiii CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1378973249
On est content d'être là aussi ♥️
Les cours de sortilèges vont être du tonnerre vous verrez CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 1694777847
Merci à vous deux ♥️
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptySam 29 Sep - 7:52

C'est sûr qu'il y aura au moins quelque chose à mater à défaut d'écouter les cours... Charlize quoi *_*
Bienvenue alors !

Revenir en haut Aller en bas
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptySam 29 Sep - 8:18

Welcomeuh & contente de vous revoir ici avec Lust ! (j'étais Nala, Adora & Kim sur NE).
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptySam 29 Sep - 9:03

Merciiiiii
Revenir en haut Aller en bas
Follow me follow me , as I trip the Darkness ...
Juda Y. Snow
Que fais tu à Poudlard ?
Juda Y. Snow


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyDim 7 Oct - 15:52

Voila tu as tes patronus desolé du retard ^^
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Que fais tu à Poudlard ?
Invité


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS EmptyLun 14 Jan - 12:37

Membre supprimé à la fin du recensement.
Présa archivée CASSIE - A chacun ses vices. FINIS 2788221432
Revenir en haut Aller en bas


Que fais tu à Poudlard ?
Contenu sponsorisé


CASSIE - A chacun ses vices. FINIS _
MessageSujet: Re: CASSIE - A chacun ses vices. FINIS CASSIE - A chacun ses vices. FINIS Empty

Revenir en haut Aller en bas

CASSIE - A chacun ses vices. FINIS

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Upsidedown :: Administration :: Présentations :: Présentations abandonnées ou refusées-
Sauter vers: