FLASHBACK - Calm Down (( PV Stephen C. Ryan ))

Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

J'attendais dans l'ombre, appuyé contre un mur, les bras croisés. Il commençait à se faire tard, très tard même. Mais heureusement pour moi, le tableau situé à ma droite possédait une grande conversation et cela faisait donc depuis trente bonnes minutes que je discutais avec lui des différentes utilités de la racine d'Aconite. Pas passionnant me direz-vous, sauf pour moi. Et oui, déjà un an que j'exerçais à Poudlard en tant que professeur de Potions et je devais dire que je ne m'en sortais pas trop mal. Enfin il me semblait. Les élèves avaient l'air de m'aimer et la plupart des professeurs aussi. Bien sûr il ne fallait pas compter dans le lot ceux qui avaient un sale penchant pour les cagoules noires - J'étais sûr qu'il y en avait, ou les cheveux gras. " Horrible, horrible cheveux gras. " Je frissonnais, au moins j'avais eu une place en tant qu'enseignant grâce à lui, même si je plaignais les cours de DCLFM. Je jetais un bref un coup d'oeil sur ma montre. Minuit passé, j'étais sûr qu'il n'allait plus tarder.

Qui j'attendais ? Les problèmes surement, des problèmes rouge et or. Comme à mon habitude j'avais laissé traîner une de mes grandes oreilles au milieu d'un flot de conversations d'élèves, dès qu'il m'en était permis. Et Merlin seul savait que j'avais un don pour me permettre cela. Je ne pouvais m'en empêcher, c'était plus fort que moi, il fallait que je mette mon nez dans ce qui ne me regardais pas. C'était de cette façon que j'avais créé des liens avec de nombreux élèves, que j'avais touché d'une façon ou d'une autre plusieurs vies. J’espérai en bien.

Aujourd'hui j'allais m'imposer dans celle de Stephen, un Gryffondor de troisième année. Je ne le connaissais pas spécialement, mais il était assez doué en cours de potions. Ce soir était donc un bon moyen de faire sa connaissance, et aussi de l'empêcher de faire une grosse erreur. J'avais entendu dire qu'il prévoyait de provoquer en duel un autre élève, cette nuit, dans la tour ouest. Je n'en connaissais pas les raisons, - Les Gryffons en avaient-ils ? Juste que certains élèves attendaient cela avec impatience. Avec tellement d’impatience d'ailleurs, qu'ils en avaient parlé un peu trop fort, cette après-midi, dans les cachots. Il fallait que je l'en empêche évidement, un combat était inutile, quel qu'il soit, pour quelques raisons qu'il soit. C'était juste dangereux et irresponsable et immature ! Et si jamais ils se faisaient prendre pour une telle stupidité, ils courraient une grande sanction. Ce qui était, je me répète, totalement idiot et inutile.

" La racine d'Aconite possède définitivement des facult..." Je m'éloignais du mur rapidement, faisant un " SHHHHHT " sonore pour faire taire le tableau. " Je crois qu'il arrive. " Effectivement je ne m'étais pas trompé, au bout du couloir, se dessinait la silhouette d'un jeune garçon, marchant avec détermination. Je réajustais mon noeud papillon soufflant un coup, comme pour me donner du courage. Tapis dans l'ombre j'attendais le bon moment pour interférer. Trois mètres, deux mètres, un mètre ... Ma voix s'éleva des ténèbres de la tour, calme, paisible, sans la moindre once de colère et légèrement rauque. " Puis-je savoir où vous vous rendez Monsieur Ryan ? " Je m'avançais vers lui, sortant du noir, les mains derrière le dos et d'une démarche lente et légère. " Seul, et de nuit qui plus est. " Je m'arrêtais devant lui, droit, baissant simplement le regard. " J'espère que vous n'avez pas d'idées stupides en tête, qui impliquerait entre autre une utilisation totalement interdite et irresponsable de votre baguette, n'est-ce pas ? "

Stephen C. Ryan

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" Je vais le tuer. " ce fut les premières paroles qui me vinrent à la tête. Cela faisait 1 an que je sortais avec une jeune fille de Serdaigle, suite à une rencontre à la soirée de fin d'année, un peu alcoolisé nous nous étions embrassé puis sommes sortit ensemble. Et voilà que 1 an après elle vient me retrouver dans le parc pour m'annoncer notre rupture . Et en plus j'apprends qu'elle me quitte pour un jeune Serpentard .! Le sang me montait à la tête puis je serrais les poings ... me faire ça à moi ? Mais quelle image j'aurai . Je passerai pour le cocu de service. Je m'approchai de la jeune fille et lui dit à l'oreille " Ce soir 0h00 dans le couloir de la tour de Serdaigle, dis-lui que je l'attends avec sa baguette. " puis je partis d'un pas décidé en direction de mon dortoir.

Toujours les poings serrés, je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit j'attendais impatient de retrouver ce fils de **** et de le combattre jusqu'à ce qu'il décide d'abandonner. Malheureusement pour mon adversaire, j'étais excellent en duel, je connaissais pas mal de sortilège d'attaque et de désarmement. Je regardais ma montre toute les cinq minutes jusqu'à ce qu'elle indique 23h45. Un sourire s'afficha sur mes lèvres et je décidai de sortir du dortoir. Tous le long du chemin en direction des tours, je repassais dans ma tête tous les sortilèges que je connaissais. Je me demandais s'il y aurait du monde car l'information avait surement dû circuler et pour se faire respecter et ne pas perdre sa notoriété je me devais de le battre et de lui foutre la honte de sa vie. Qui sait avec un peu de chance peut-être qu'elle décide de revenir avec moi ? Mais le principal problème durant cette joute nocturne était qu'un professeur ou un préfet nous voit. Si jamais cela arrivait c'était minimum exclusion temporaire et maximum exclusion définitive, mais je n'en avais rien à foutre je voulais lui faire payer ça !

Mais au moment où j'étais un étage en dessous de là où se tenait le duel je fus surpris par le professeur de potions arrivé depuis une année. Dans le détour d'un couloir il me surprit d'un air calme et me demanda ce que je faisais ici. Mon coeur battait à 100 à l'heure ma baguette serrée dans ma main gauche je relevai mes yeux qui devaient sans doute montrer un état de profonde colère. Je décidai de m’arrêter devant lui et lui dire " je me suis ... perdu. Je retourne à ma salle commune là." toujours concentrait à m'occuper de ce jeune serpentard mais le professeur de ne potions vit que je portais ma baguette et que je la serrais violemment. Il me dit " J'espère que vous n'avez pas d'idées stupides en tête, qui impliquerait entre autres une utilisation totalement interdite et irresponsable de votre baguette, n'est-ce pas ? " Surpris, j'étais surpris, est-ce qu'l savait quelque chose sur ce duel nocturne ? Quelqu'un le lui avait dit . Ou étais-ce une simple coïncidence ? Je baissai mon regard perplexe puis releva la tête en le regardant dans les yeux " A vrai dire, il fait un peu sombre dans les couloirs je ne voudrais pas me reperdre dans les couloirs vous comprenez . " Avec un air de défi je levai ma baguette et dit distinctement mais avec une petite violence " Lumos. " une lumière blanche éclaira le couloir et quelques hommes dans le tableau lancèrent quelques paroles en demandant de baisser la lumière.

Je devais me dépêcher, car l'heure tournait et minuit allait bientôt arriver, et je ne pouvais pas abandonner le duel sinon tout le monde se foutrait de ma gueule et je deviendrais le mec le plus ridicule au monde....

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Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

Ah ces jeunes ! Toujours prêt à inventer n'importe quoi. Enfin pas que j'étais vieux ou quoique ce soit hein, non mais ... Bref. Ce garçon venait de mentir, je le savais pertinemment. Et suite à ce que j'avais dit sur une potentielle utilisation néfaste pour autrui de sa baguette, je jurerais qu'il savait que je savais qu'il mentait. Oh, ce n'était pas très clair ça. Mais bon vous me suivez. La surprise se lisait sur son visage, telle, qu'un aveugle aurait pu la voir. Je pinçais les lèvres, haussant les sourcils et attendant qu'il me dise la vérité. J'espérais qu'il me la dise du moins, très fort. Je n'avais pas envie de m’énerver ou de le punir, je n'étais pas là pour ça à la base, mais pour l'empêcher de faire une stupidité.

" A vrai dire, il fait un peu sombre dans les couloirs je ne voudrais pas me reperdre dans les couloirs vous comprenez. " Je soupirais, levant les yeux au ciel. Visiblement mes espoirs étaient vains, ce garçon préférait mentir plutôt que d'être raisonnable. Pas étonnant de la part d'un Gryffondor à peine âgé de 13 ans après tout. De quoi j'avais des préjugés ? Bien sûr que j'avais des préjugés ! Tout le monde a des préjugés ! A peine avais-je baissé mon regard qu'un Lumos vînt m'éclater la rétine avec violence, me faisant grimacer et cligner des yeux. Bien, il n'était donc vraiment pas décidé à être raisonnable. Je plantais mon regard dans le sien, un regard froid et trop sérieux, un regard dur, le genre de regard qui vous fait réfléchir à ce que vous faîtes parce qu'il vous montre clairement que ce n'est pas bien. Ce n'était pas le manque de respect qui me dérangeait, mais le fait qu'il mentait et faisait son petit malin devant moi. Et aussi le fait que j'étais persuadé qu'il n'allait pas lâcher son stupide petit combat aussi facilement.

" Stephen. " Ma voix était toujours aussi calme qu'à son habitude, mais peut-être un peu plus sèche, brève. Je ne le lâchais pas des yeux, la lueur pâle émanant de la baguette éclairant nos deux visages avec la même froideur que celle qui nous entourait. " Range ta baguette s'il te plaît. " C'était un ordre déguisé en conseil, mais je savais qu'il ne m’obéirait pas. Je me demandais juste ce qui le poussait à faire ce combat, qu'elle était la raison derrière tout ça. Je voulais comprendre. " Oh allez Stephen, je sais que tu es à Gryffondor, pas à Serdaigle ! Hors, ce couloir mène aux dortoirs des Serdaigle. Alors arrête de me mentir, je sais que tu n'es pas perdu et je sais aussi que tu ne retournes pas à ta Salle Commune. "

Je me retournais, mes mains toujours dans mon dos et me dirigeant vers une statue d'un pas léger. Deux bons mètres nous distançait désormais et après avoir sorti ma baguette de ma poche, j'informulais à mon tour un Lumos, m'accoudant à la pierre sculptée. " En fait je sais beaucoup de choses ... " C'était vrai, j'étais presque au courant de tout dans ce château. Quand je disais que je laissais toujours traîner une oreille quelque part, c'était vrai. Enfin bien sûr, certaines choses m'échappaient de temps à autres, parfois pas grand chose, mais pouvant être essentiel. Comme aujourd'hui. Je savais tout sauf, pourquoi ?

" ... Sauf pourquoi ? Pourquoi ce duel Stephen ? J'aimerais savoir. J'aimerais comprendre. " Ma voix était proche du murmure, mais pourtant parfaitement audible. " Pour t'aider. "

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" Je ne vois pas de quoi vous parlez. " et oui je persistais à mentir car j'étais pris au dépourvu, comment était-il au courant de toute l'histoire ? Vraiment pas de chance c'était vraiment un moment flippant comme si c'était un élève parmi tant d'autres qui était au courant de moi me faisant tromper ?! La honte. Et maintenant qu'il était au courant je ne pouvais pas nier ou bien même m'échapper. Poutine de merde, voilà que j'étais pris au piège, pourquoi j'ai pris ce chemin ? Quel con ce prof, qu'est-ce que ça lui apporte de s'occuper de mes affaires ?! Je le regardai dans les yeux comme lui le faisait pour le défier et lui faire comprendre qu'il devait vraiment y aller pour ne pas abandonner comme une merde. Toujours ma baguette a la main avec une lumière aveuglante au-dessus, je décidai de la baisser lorsque Jake, le professeur de potions s'éloigna et partit de dos. Dans ma tête ce fut un large soulagement, il allait partir. Ma joie fut de courte durée puisqu'il se retourna baguette à la main toujours en me parlant. Je soupirai fortement pour qu'il entende que j'étais pressé et énervé.

À peine avoir laissé passer mon soufflement voilà que Jake me prouve A B que ma théorie du "je rentre dans mon dortoir" était complètement incohérente. Je baissai les yeux puis commença à envisager de partir sans rien dire, mais à peine ma décision prise dans ma tête voilà que la voix de Jake s'éleva encore dans le couloir sombre en m’appelant par mon prénom. Je relevai mon regard pour le poser sur ses lèvres qui commençait à déballer ce qu'il savait. Me mordant la lèvre, je sentais la colère revenir en deux fois pire lorsque ma montre sonna les minuits. Je regardai ma montre puis Jake m'expliquant qu'il ne comprenait pas pourquoi je devais me battre en duel. Je fus bref et sur un ton sec je lui répondis " cela ne vous regarde pas ! "

Les dents serrées, mes ongles rentrés dans ma peau, une veine à ma tempe apparaissant, le corps chaud au bord du feu. Je ne m'étais jamais senti aussi en colère peut-être parce que cela était la première fois que ça m'arrivait . Je réfléchissais pendant que le professeur se donnait en spectacle pour savoir mes problèmes et les utiliser contre moi, et une idée me vint. Je savais que j'allais surement regretter d'avoir fait ça mais j'étais obligé. Pendant qu'il regardait en l'air en train de réfléchir, je serrai ma baguette puis lança sèchement " Nox. " ma lumière éteinte, l'obscurité du long couloir avait repris encore plus de place, même si le professeur Jake avait sa baguette d'allumé je tentais le tout pour les tous puis partie en courant dans le sens opposé, le plus vite que je pouvais en espérant qu'il m'ait perdu de vue car je tournais à tous les couloirs pour le perdre.

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Citation :

Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

Je m'en étais douté dès la première seconde, le rouge et or ne se laisserait pas si facilement faire. Et pour preuve, voilà qu'il prenait fuite dans le noir le plus complet, après avoir joué la carpe agacée. Une chance pour moi, je me trouvais justement pile devant un passage secret menant à un des couloirs de la tour des Aigles. Enfin à quelques mètres près, mais c'était suffisant pour le rattraper. Oui ça c'était une sacrée chance, ohlala ! On pouvait le dire ! Incroyable presque ! Sérieusement, que les professeurs disent encore une fois que sortir la nuit pour découvrir de nouveaux raccourcis était mauvais, je les attendais.

Je m’élançais à travers le passage poussiéreux, mes cheveux se prenant au passage dans une toile d'araignée vieille d'au moins plusieurs années. " Et bien mon cher Jake, tu dois être le seul à connaitre ce raccourci, vu l'état ! " Je ne mis pas bien longtemps à atterrir de l'autre côté, enlevant avec dégoût la toile collante de mes cheveux. Argh quelle sensation désagréable c'était. J'en frissonnais. Les araignées en soi ne me dérangeait pas tant que cela mais leurs toiles ... C'était vraiment horrible. Enfin bref, Stephen. Je n'avais plus qu'à attendre qu'il arrive, et il arriverait certainement s'il tenait tant à son combat. Par contre où exactement, je n'en savais rien. je décidais donc d'attendre à un passage obligatoire, environ deux couloirs et quelques marches plus loin, espérant qu'il arrive.

Après plusieurs minutes je commençais à douter de moi, l'avais-je manqué ? Était-il finalement retourné au 7ème étage du château ? Je n'en savais rien et cela m'agaçait au plus haut point. Si seulement j'avais en ma possession une carte du château indiquant la positon de chaque personnes, cela m'aiderait grandement ... C'est que ça devait être faisable tiens. Des bruits de pas et de respiration attirèrent alors mon attention. Mes sens en alerte je me plaçais en plein milieu du passage, plus étroit que celui précédent. Baguette en main et éclairant l'endroit, je vis finalement arriver le rouge et or, une expression indéfinissable sur le visage.

" Surpriiiise ! " Oh il ne semblait pas très content de me retrouver. Après tout dans son esprit j'allais surement lui gâcher sa soirée et même sa vie alors, je comprenais son expression. " Et oui, pas si facile de se débarrasser de moi. " Je soufflais un coup, prenant un air désolé et restant immobile au milieu du couloir. Même malgré le fait qu'il avait essayé de m’échapper, je restais calme, prêt à lui donner une nouvelle chance, l'espoir qu'il change d'avis brûlant en moi comme toujours. " J’espérais mieux de ta part Stephen, vraiment. " J'étais déçu bien sûr, mais il n'était pas trop tard pour se rattraper, il n'était jamais trop tard pour se racheter, pour reprendre le dessus. " Et je te signale que je suis ton professeur, donc oui cela me regarde. J'aurais déjà dû t'exclure pour ce tu as fait et t'apprêtes à faire, mais je ne fonctionne pas comme cela. Alors, s'il te plaît, dis-moi pourquoi tu as provoqué en duel cet élève ? "

Stephen C. Ryan

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Je courrais le plus vite que je pouvais pour atteindre les différents couloirs en tournant un peu partout pour essayer de semer le professeur de potions. Après deux bonnes minutes de courses je décidai de m'arrêter reprendre mon souffle tout en montant l'escalier menant à l'étage au-dessus, là où devait se tenir le duel. Baguette toujours à la main je n'osais pas éclairer le couloir de peur que Jake me vois. J'avançais à tâtons tout en écoutant les bruits sourds des longs couloirs pour ne pas retomber nez à nez avec le prof de potion. Au bout de quelques minutes à marcher à deux à l'heure je décidai d'allumer ma baguette en chuchotant un Lumos entre mes dents. L'extrémité de ma baguette produit une faible lueur et quelques instants plus tard, c'est-à-dire une douzaine de secondes, le professeur de potions Jake me tombe dessus.

" Et merde. " Sans faire exprès ce furent les mots qui sortirent de ma bouche devant mon professeur de potions, surement agacé, j'en avais marre qu'il me suive, au pire que je me fasse virer il n'en a rien à foutre ? non ? " et je te signale que je suis ton professeur, donc oui cela me regarde. J'aurais déjà dû t'exclure pour ce tu as fait et t'apprêtes à faire, mais je ne fonctionne pas comme cela. Alors, s'il te plaît, dis-moi pourquoi tu as provoqué en duel cet élève ? " Roh, certes ce professeur était bien l'un des seuls à être sympa mais trop bon, trop con comme on dit. Il m'énervait à toujours faire son sauveur. Je le regardai avec un tel mépris que si le professeur en face de moi était l'ancien maître de potion je me serais pris de gifle dans la gueule. Je m'approchai de lui tout en le fixant dans le blanc de ses yeux, surement dopé par l'adrénaline je ne me rendais pas compte des problèmes que j'allais avoir. " Si vous ne voulez pas me laisser pas passer, je passerai quand même. " Baguette levé, c'était clairement un signe de défi, puis lorsque je croisai le regard de Jake qui changeait de forme je repris et ajouta " imaginez-vous à ma place, si je n'y vais pas ma popularité sera fini !" j’espérai qu'il allait comprendre et me laisser passé car je n'avais aucune envie de faire de grave erreur, mais si je le devais je le ferai !

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Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

J'avais du mal à y croire, était-il sérieusement en train de me défier, moi, son professeur ? Il était donc prêt à aller jusque là ? J'étais désemparé mais j’essayais de ne pas le montrer. Je n'en croyais pas mes yeux, ce jeune n'avait donc peur de rien. Ce qui était en soi une bonne chose comme une très mauvaise. Quoiqu'il en était nous nous retrouvions dans une impasse; de mon côté il était clair que je le laisserai pas passer tandis que lui refusait de m'écouter. Alors que faire ? Je n'aimais pas les combats, je les trouvais inutiles et simples démonstration de la faiblesse humaine. A mes yeux le courage et la force n'étaient pas de savoir se battre et de gagner un duel, mais bel et bien de savoir quand et comment l'éviter. C'était ça la vrai force, prouver que l'on vaut plus que ce l'être Humain paraît être.

Mais voilà qu'une baguette était pointée sur moi, me confrontant à ce que je détestais le plus en ce monde : la violence. Et de plus, je me retrouvais face à un de mes élèves qui pensait que sa popularité valait plus qu'un acte totalement irresponsable et méprisable. " Ta popularité, laisse-moi rire. " Je n'étais plus calme comme auparavant, mais je ne criais pas. L'amertume dans ma bouche était palpable et je crachais presque chacun de mes mots. " Elle sera où ta popularité quand tu seras expulsé du château hein ?! Ça t'auras servit à quoi d'être populaire à ce moment là ? " Je ne lâchais pas des yeux, ignorant sa baguette à quelques centimètres de moi. " Des moments sombres arrivent Stephen, gardes les combats pour plus tard, quand il n'y aura plus d'autres choix possibles. "

Je savais au plus profond de moi-même que la guerre arrivait, et bien trop tôt d'ailleurs. Personne n'y échapperait, surtout pas moi. Je devrais me battre, je devrais prendre les armes et ça me tuait rien que d'y penser. " Et par Merlin baisse ta fichue baguette ! Tu penses vraiment pouvoir me battre ?! " Il commençait vraiment à m'agacer, ainsi imperméable à toute tentative de raisonnement. Il croyait sérieusement être capable de me passer dessus avec quelques sortilèges de troisième années ? Je n'aimais pas me battre mais j'en maîtrisais l'art. Comme tous les professeurs ici.

" Je te le demande une dernière fois gentiment, laisse tomber ce combat et retournes à ton dortoir, tu vaux mieux que ça voyons ! Se battre n'amènera à rien, quelle qu'en soit la raison ! " J'avais les yeux brillants d'espoir, peut-être allait-il enfin lâcher l'affaire et éviter de faire une grosse erreur. Peut-être même deux d'ailleurs, sa baguette était toujours pointée vers moi. " Tu peux tout aussi bien combattre une personne avec la parole. " Les mots étaient parfois bien plus puissants qu'un dangereux sortilège et surtout, ils amenaient souvent à la paix. " Être fort ne signifie par forcement savoir combattre, mais plutôt quand savoir éviter le combat. Alors demande-toi bien, ce duel est-il vraiment nécessaire ? Des vies en dépendent-elles ? Qu'as-tu à y gagner à part une petite revanche infantile et dérisoire ? "

Stephen C. Ryan

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Voilà que je commençais à douter, et s'il avait raison . Vue sous cet angle c'est sur que ce duel fait plus pitié qu'autre chose mais si je décide de ne pas me battre, je perdrais toute crédibilité. J'étais en pleine réflexion, est-ce qu'l en valait vraiment la peine que je prenne tous ces risques pour si peu ? Le professeur de potions continuait de me parler et de me convaincre, il devait surement voir que j'étais en train d'hésiter ... " Tu peux tout aussi bien combattre une personne avec la parole. " J'abaissai ma baguette, il avait raison après tout, je m'étais résigné, je ne vais peut-être pas le battre en duel mais en tous les cas il allait me le payer !

Je baissai le regard relâchant la force dans mon poing, je décidai d'abandonner de toute façon je n'allais pas pouvoir passer devant ce professeur après tout il avait raison je n'allais pas me faire virer pour ce duel de merde. Je me pinçai la lèvre releva mon regard dans un miroir à hauteur de mes yeux et en lançant un cri court mais sec " PUTIN FAIT CHIER ! " Je donnai un coup de poing dans le miroir qui se brisa faisant des ondes autour de mon poing en sang au centre de ce miroir. Je retirai mon poing délicatement en enlevant des boues de verre se trouvant à l'intérieur. Toute ma colère sortit dans ce coup de poing, je me sentais mieux mais l'élève de serpentard ne m'énervait plus trop à ce moment précis, mais plutôt ce professeur de potions qui m'agaçait au plus haut point. Pour qui se prend-t-il a jugé les autres alors qu'il n'y connaît rien ?! "C'est de votre faute tout ça, pourquoi vous ne m'avez pas laissé faire ?! Je l'aurais pas tué ! Je l'aurai fait souffrir autant que luit l'a fait ! Il se croit fort en pensant que je passe pour le cocu de service mais il fera moins le malin lorsqu'il aura MON point dans SA gueule. " Je venais de me rendre compte que je venais de dévoiler toute la raison pour laquelle je souhaitais ce duel. Je secouai ma tête pour m'éclaircir les idées, je m'en voulais de lui avoir révélé un bout de ma vie qui me faisait honte. Je décidai de faire demi-tour en baissant la tête " Je rentre ... "

Sans dire au revoir, ni bonne nuit, je décidai de rentrer dans la salle commune de gryffondor pour dormir quelque peu avant de devoir subir le regard et les moqueries des autres. J’espérais que le professeur de potions ne dirait rien et me laisserait partir, mais le connaissant il allait ouvrir encore sa gueule.

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Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

Au fur et à mesure que je parlais, je voyais que mes mots faisaient leur effet. Le doute avait pris la place de la haine dans le regard du rouge et or, même si la colère émanait toujours de son corps. Néanmoins je dus avouer mon soulagement lorsque je le vis baisser sa baguette de mon visage, soulagement de courte durée pour tout dire, puisque le jeune Gryffon passa aussitôt ses nerfs sur le pauvre miroir du mur. Je n'avais pas sursauté mais je ne pus cependant réprimer une grimace de douleur en voyant l'état de sa main. Enfin, si c'était nécessaire pour le soulager, soit. Je n'allais pas en plus le réprimander pour avoir cogné contre du verre et je préférais garder pour moi mon conseil concernant l'infirmerie. J'avais le sentiment que ce serait trop, la goutte d'eau faisant déborder le vase. Et le vase semblait déjà bien plein.

" C'est de votre faute tout ça, pourquoi vous ne m'avez pas laissé faire ?! Je l'aurais pas tué ! Je l'aurai fait souffrir autant que luit l'a fait ! Il se croit fort en pensant que je passe pour le cocu de service mais il fera moins le malin lorsqu'il aura MON point dans SA gueule. " J'ouvris légèrement la bouche, surpris. J'avais finalement réussi à lui faire dire ce qui l'avait amené à combattre, même si ça avait été en le faisant exploser de rage un bon coup. Je ne doutais plus qu'en cet instant précis, il me haïssait de tout son être. Mais j'étais trop heureux de l'entendre dire qu'il rentrait pour me soucier de cela. Mon image m'importait peu tant que j'avais réussi à le faire changer d'avis. Même si entre nous, j'avais encore en tête l'idée de l'empêcher de lui démolir le portrait. " Je t'accompagne. " Je l'avais dit dans un murmure, la voix légèrement cassé et l'air désolé. Je comprenais sa colère, avoir le coeur brisé était très dur.

Je savais qu'il me détestait en cet instant précis et ce fût la raison de mon silence lorsque nous partîmes du couloir. Je l'avais laissé avancer en premier, profitant de la légère distance pour lancer un Reparo sur la vitre. Autant effacer les traces, les bouts de verre sur le sol, ça faisaient désordre. Plusieurs minutes s'écoulèrent dans le silence le plus total, jusqu'à ce que je me décide à relancer la conversation, histoire de savoir où le rouge et or en était. Je comprenais parfaitement ce qu'il pouvait ressentir en cet instant précis, les peines de coeur, tout le monde connaissait et j'avais d'ailleurs moi-même décidé de laisser tomber. " C'était donc à cause d'un coeur brisé. " J'avançais les mains dans le dos, comme à mon habitude, regard vers le sol. " Mais mieux vaut un coeur brisé que pas de coeur du tout. "*

" Même si ça fait très mal. " Sauf que le temps effaçait les peines, il fallait juste prendre son courage à deux mains et continuer d'avancer, la tête haute. Et un jour, on aurait oublié la douleur. Elle aurait été remplacée par autre chose, une autre personne. Il faut parfois souffrir énormément avant d'avoir accès à un grand bonheur. C'était ça de vivre et c'était merveilleusement cruel. " C'est dur mais on finit toujours par oublier la peine. Enfin pas complètement, mais elle est de moins en moins forte avec le temps. Tu trouveras quelqu'un d'autre, une autre personne qui sera parfaite pour toi. " Je risquais un faible sourire, désormais à sa hauteur. Je n'étais pas sûr qu'il accepte ce fait si facilement, mais en grandissant il verrait que j'ai raison. " Et ne croit pas que je ne sais pas de quoi je parle. " Je serrais les dents, regardant autour de moi, mes mains tirant mes bretelles. " Clara Greenwood en 4ème année, je l'ai retrouvé dans la salle de bain des préfets en train de se taper cet espèce de Veracrasse boutonneux et précoce du nom de Tom McCornick. " J'affichais une mine dégoûtée et sombre, le regard planté droit devant-moi. Je l'avais encore un peu en travers de la gorge mais maintenant, je me fichais pas mal de la fille en question.

* Je m'auto félicite pour avoir pensé à ce gif collant parfaitement à la situation. FLASHBACK - Calm Down (( PV Stephen C. Ryan )) 2459047819

Stephen C. Ryan

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J'avais renoncé, baisser les bras, abandonner mes principes, lâcher mes valeurs. Tranquillement je baissai la tête me dirigeant vers le grand escalier, les pieds traînant au sol, le poing en sang et la tête remplie de fumée noire. Je sentis un coup de vent me suivre, je n'allais pas me retourner car je savais que le professeur de potions me suivait. Pourquoi ? aucune idée mais dans tous les cas, il ne fallait surtout pas venir me faire chier ! De longues minutes de silence s'installèrent entre lui et moi, nous marchions silencieux, puis arriver au grand escalier le professeur de potions décida de briser ce silence qui devenait lourd, mais je n'étais pas près de lui répondre.

" C'était donc à cause d'un coeur brisé. Mais mieux vaut un coeur brisé que pas de coeur du tout. Même si ça fait très mal. " Toujours la tête baissée, je n'allais pas lui répondre car ce que je pensais dépassait largement des propos pouvant être tenus entre un élève et un professeur. Le voilà a faire son romantique, comme un homme qui avait déjà toute la maturité pour comprendre des relations amoureuses d’adolescents. Je réfléchissais, Jake devait surement avoir maximum 30 ans, donc comment pouvait-il comprendre ma situation. Je décidai malgré moi de lâcher un soupire. Mais Jake décida de continuer à donner des conseils " C'est dur mais on finit toujours par oublier la peine. Enfin pas complètement, mais elle est de moins en moins forte avec le temps. Tu trouveras quelqu'un d'autre, une autre personne qui sera parfaite pour toi. " Le sang de mon poing goûtait sur le sol des 6e étages. Je me répétais dans ma tête " plus qu'un étage, plus qu'un étage. '

Je marchais machinalement car je connaissais le chemin par coeur, toujours en écoutant d'une oreille ce que le professeur au grand coeur racontait. De la merde toujours de la merde, il ne faisait que déblatérer de la merde. " Clara Greenwood en 4ème année, je l'ai retrouvé dans la salle de bain des préfets en train de se taper cette espèce de Veracrasse boutonneux et précoce du nom de Tom McCornick. " Je m’arrêtai net sur le chemin, levai la tête en direction de son professeur. Venait-il vraiment de dire ce qu'il avait dit ? Avait-il vraiment vécu cette situation où était-ce pour se moquer de moi et de profiter de la situation qu'il venait d'apprendre pour me faire souffrir ? Choqué mais en même surpris je décidai de m'arrêter à quelques marches de ma salle commune, puis entrouvris la bouche comme pour parler mais les mots ne sortaient pas. Je décidai finalement à oser lui dire " Vous vous foutez de moi là ? " Je ne savais pas si je devais le croire, en fait s'il avait raison depuis le début, s'il avait déjà vécu cela et qu'il essayait de m’empêcher de faire les mêmes erreurs que lui dans le passé . Si c'était le cas, il m'énerverait encore plus, il devenait presque parfait aux yeux des autres. Je ne pouvais concevoir que ce qu'il me racontait était vrai donc j'enchaînai sur mes propos avant qu'il n'ait pu y répondre. " ça vous fait marrer d'inventer des histoires aussi ... conne ! Rien que pour vous foutre de ma gueule et me mettre dans votre poche . Je ne suis pas un de ses nombreux débiles qui vous apprécient car vos cours ne sont pas les mêmes que l'ancien maître des potions ! Je ne suis pas un de ses nombreux toutous qui vous suivent car vous êtes sois disant cool jeune et branché ! Je ne suis pas ce genre de personne qui va croire vos propos rien pour que je me sente compris et accompagné ... Vous n'êtes qu'un ... " Je m’arrêtai net, je voyais les regards du professeur Jack se poser sur moi, ma voix résonnait encore dans les couloirs sombres et mon écho devenait de plus en plus faible. C'est à ce moment précis que je compris que tout ce que je venais de penser étaient sortis de ma bouche. Heureusement je m'étais arrêté avant de l'insulter. Je le regardai avec un regard noir puis commença à monter l'escalier sur lequel Jack se trouvait déjà pour surement fuir et ne pas à entendre ce qu'il avait à dire ...

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Calm down, Stephen C. Ryan [ Flashback - 2 years ago ]

Me taire. J'aurais mieux fait de me taire. J'avais mis quelques secondes pour remarquer que Stephen s'était arrêté net à mes mots et je me retrouvais donc le pied sur une marche, désormais devant lui. Je ne savais pas vraiment quoi penser, vu sa tête, il ne devait pas s'attendre à ça. J’hésitais de quelle manière le prendre, j'avais donc un physique si improbable que même m'imaginer avec une fille paraissait impossible ? Hum, dur. Mais bon, relativisons, ce n'était peut-être pas ça. Je tenais mon noeud papillon d'une main, l'air mi-inquiet mi-intrigué. Je sentais une nouvelle explosion poindre et j'étais prêt à m'en prendre plein la figure. L'air de rien, j'en avais l'habitude.

" Vous vous foutez de moi là ? " Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas pourquoi il me demandait cela. Quel aurait été l’intérêt ici de lui mentir ? J'allais rétorquer mais fût brutalement coupé par le jeune homme, qui ne put retenir plus longtemps ce qu'il avait sur le coeur. Je gardais la bouche ouverte en l'écoutant, encaissant sans broncher ce qu'il me disait, mes mains serrant mon noeud. " Je ne suis pas un de ses nombreux toutous qui vous suivent car vous êtes soi-disant cool jeune et branché ! " Cette remarque m'arracha un sourire, c'était donc ce que l'on disait de moi ? Cool jeune et branché ! Et bien ça, ça faisait plaisir à entendre ! Même si le contexte n'était pas vraiment là pour me faire plaisir. Le rouge et or se calma à temps pour ne pas m'insulter, même si je devais avouer que cela ne m'aurait fait ni-chaud ni-froid. On m’appréciait peut-être d'un aspect global mais lorsque l'on creusait bien, beaucoup me n'aimaient pas tant que ça. Adultes comme élèves. J'avais donc un nombre assez élevé d'insultes à mon compteur.

" ... Con ? " Je finissais donc à sa place, la tête basse et bougeant légèrement la tête de haut en bas. " Je suppose que ça me perdra un jour. " Je relevai la tête, le regard sombre. Je laissais quelques instants s'écouler, les yeux dans le vague, perdu dans mes pensées. Un silence gênant s'était installé mais je m'en fichais, j'étais trop occupé à ressasser de vieux souvenirs du passé. Tout ce que j'avais déjà perdu et perdrait encore à cause de mes idéaux, tout ce que j'avais déjà perdu en pensant pouvoir faire changer certaines choses ... Et le pire c'est que je continuais d'y croire, même plus fort que jamais. Aider les autres était louable mais qu'est-ce que je recevais en retour en fin de compte ? Des insultes, des coups, des déceptions, des pertes ... Je devais réellement être stupide, ou masochiste. Ou même les deux.

Je descendais finalement l’unique marche que j'avais monté, prêt à partir. Il était temps de le laisser, j'avais fait ce que j'avais à faire et avoir réussi à le faire changer d'avis me contentait largement. Je m'arrêtais une dernière fois à côté de lui, hésitant une seconde. " Sache que ça m'est égal que tu me détestes ou non, tu ne seras pas le premier dans ce cas et certainement pas le dernier. " Je fis une courte pause avant de dire d'une voix neutre " ... Bonne nuit. " Je n'attendis pas sa réponse pour continuer mon chemin, m'engageant aussitôt dans l'escalier magique pour regagner les étages inférieurs. A lui de voir s'il voulait encore me dire quelque chose ou non, je lui en laissais le choix. Même si honnêtement, je doutais grandement qu'il est encore quelque chose à me dire. Peut-être que j'allais être surpris qui sait ?

[petit post admin juste pour dire que j'ai déplacé votre sujet dans la partie pensine ;)]

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