ASKJEATHER — All is full of love

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Askja. Ce prénom ne me sortait plus de la tête. Je ne pouvais pas l’éviter. Je ne pouvais pas l’effacer. Et puis il y a eu les mots de Luka quand je pensais à elle. Le bonheur. Quand je pensais à elle c’était le bonheur. Et puis … ça a fait clic. Vous savez. Dans les modes d’emploi quand on doit enclencher des trucs on doit entendre un « clic » caractéristique. Bah le mien il avait mis du temps. Mais il était bel et bien arrivé. Grace à une ado de dix-sept ans. Jolie Luka. Patiente Luka. Mais aussi … salvatrice Luka. Grâce à elle … Je dévalais les marches de Poudlard ne prenant pas garde à qui je poussais ou qui je croisais. Je m’en fichais. Aujourd’hui j’avais même oublié l’heure. Je venais de faire clic. Je … je venais de faire clic ! Je dévalais ces escaliers encore plus rapidement. Mais ils sont très long ou quoi ces escalier. Je courais dans les couloirs à présent et m’en fichais que mes cheveux soient en bataille que j’ai l’air débraillée d’avoir couru. Je m’en fichais !

« Askja ! ASKJAAAAAA ! » je lachais mon balai qui tombais je ne sais ou dans le bar. Il y avait du monde oui beaucoup de monde mais je m’en fichais. J’avais fait clic ! « J’ai cliqué Askja ! J’ai cliqué ! » d’une impulsion je pris son visage dans mes mains et l’embrassais avec fougue et surtout sans retenue. « JE T’AIME ASKJA ! » la prenant par la main je l’entraînais dans la cour derrière. Non mais quand même !

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— Askja ! 3 steak frites pour la table 3 ! Nya Nya Nya... Grand sourire aux lèvres comme à l'usuelle je faisais donc mon travail. Pré Au Lard était plutot calme à cette periode de l'année. Les cours venaient de reprendre depuis peu à Poudlard, et le stress de Noël était retombé... Bon, il y'avait aussi eu des retombées d'un autre genre à cause de la petite visite impromptue des mangemorts... Et moi, j'étais restée à l'ecart pendant une bonne semaine... Ma transformation subite m'avait laissée perplexe et perturbée... Je n'avais plus pensé au cycle de la lune et d'un coup crac. Je n'avais pas reussi à savoir si quelqu'un avait été blessé par un loup ce soir la et ça me rendait folle. Peut être que j'étais encore une fois un assassin... ? Aucun moyen de le savoir. J'en trepignais et j'en pouvais plus... Ça me faisait tellement peur. Et tellement mal aussi. Je soupirais tristement. Et je me concentrais sur les plats...

Et puis soudain « Askja ! ASKJAAAAAA ! » Les regards se porterent soudain sur la porte qui venait de s'ouvrir sur la plus belle femme du monde - a mes yeux et peut être seulement aux miens, mais c'était tout ce qui comptait. Cela dit imaginez quelqu'un arrivait et me disait « Heather c'est la plus belle des femmes » je le bouffais sur le champs. Magie ou pas Magie. - Bref ! Pourquoi criait elle mon nom ? J'en avais presque laché mon plateau que je posais bien vite sur la premiere table venue alors qu'elle me courrait dans les bras. « J’ai cliqué Askja ! J’ai cliqué ! » Cliqué... ? Bon je vous avoue que je captais pas tout mais c'était pas grave, parce que je me retrouvais avec une Heather dans les bras en train de m'embrasser avec fougue. Du public ? Des spectateurs... ? Je m'en fichais royalement, j'étais bien la, avec ses lèvres sur les miennes et son corps dans mes bras.

« JE T’AIME ASKJA !» Ohwow.... Wow.... wow.... ? — Wow... Wow... Et comme un pantin je la laissais me tirer par la main jusqu'a l'arriere cours sous les yeux médusés de quelques clients. Qu'ils pensent ce qu'ils veulent, je m'en fichais. J'étais... J'étais... La plus heureuse des femmes.... ? Et je me sentais... mal ? — Tu... ouah... Ouahs... ? Wow... C'était pas trés éloquent, mais c'était comme ça. Et puis je me sentais mal tout d'un coup comme si.. Comme si... Non.... ? C'était pas la pleine lune. Donc ça ne pouvait pas arriver non... ? Et je la fixais longuement avant de parler d'un tout a fait serieux... — Je... Je crois que tu devrais te mettre à l'abri... elle allait comprendre non ? J'aurais preferé reagir autrement à son je t'aime, mais à croire que j'étais trop sentimentale, et que trop d'emotions.... étaient trop... fortes ?

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C’était à la fois le fouillis. Et en même temps c’est totalement clair. Je ne sais pas du tout comment l’expliquer. Mais j’en étais sûre. C’est vraiment très difficile. Et en même temps. Vous me connaissez. Je suis assez compliquée. Mais elle était là. Et je ne voyais qu’elle. C’est étrange. C’est ... pourquoi est ce que je ne l’ai pas vu et compris plus vite ! Et plus tôt. Mais je suis totalement conne quand même ! Je soupirais intérieurement et pour une fois dans ma vie je mettais tout en silencieux –ça serait pas cool ça si on pouvais réellement passer certaines choses en silencieux !?- bref là n’est pas la question. Je ne pensais plus, la seule chose qui compte. C’est … QUE JE L’AIME ! Un large sourire aux lèvres je me donnais en spectacle devant les gens du bar. Oui je l’embrassais même je m’en foutais de ce qu’on pouvait penser de moi. De nous. Mais quand même je l’emmenais ailleurs. S’en ficher de ce que les gens peuvent penser ne veut pas dire que je suis non plus exhibitionniste –oui je peux être plein de choses, mais en tout cas je n’étais pas exhibitionniste. — Tu... ouah... Ouahs... ? Wow... elle se laissait faire. Elle était cool. Et puis surtout elle ne comprenait pas ce que je voulais lui dire. Je l’attirais de nouveau contre moi pour lui donner un énorme baiser. Je ne remarquais pas tout de suite son malaise. Parce que j’étais trop heureuse — Je... Je crois que tu devrais te mettre à l'abri... Hein !? Je ne comprenais pas trop du moins … pour le moment. Et puis tout devint clair. Oh oh … loup. Je soupirais doucement. Faisant attention. « Heu … » j’étais encore tout à fait sous le coup de mes pensées amoureuses. « D’accord » je me reculais un peu, la regardant fascinée. Je l’observais. Sans … jugement, non. Maintenant que je savais … je voulais la voir … sous tous ses états. Je n’avais pas peur d’elle. Même sous sa forme lupine. J’espère juste que … elle, n’aura pas peur.

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Finalement elle m'avait emmenée loin des regards des gens et elle... Je digerais encore ce qu'elle m'avait dit. Elle m'aimait. Mais si elle m'aimait... Ça voulait dire qu'elle m'aimait... Elle m'aimait ? Attend... ? Vous avez entendu... ? Je me sentais toute chose. Je savais pas quoi dire. J'avais envie de pleurer, de rire. de crier... De l'embrasser. Oui. Ses lèvres. J'avais... Je n'my attendais pas encore. Je pensais que ça ne serait jamais reciproque. Je ne voulais pas forcer je... Je m'extasiais dans le baiser. Et puis soudain je me sentais un peu bizarre, je me sentais... perdue.. Je me sentais rugissante. Euh... Ça c'était pas rassurant. La douleur dans toutes mes extrémités et la terreur en moi. Elle... Elle ne reculait pas. Elle ne partait pas... Non... ? Elle pouvait pas rester. J'étais un monstre. Un monstre.. J'allais lui faire du mal. J'aurais pleuré si la transformation n'avait pas été aussi fugace. Si en l'espace de quelques secondes - minutes je n'avais pas soudain pris l'apparence d'un grand loup... Un lycan ? Un loup garou. Appelez ça comme vous voulez. J'étais belle... comme ça aussi. Et pourtant j'étais monstrueuse. Et je ne pouvais rien.... Faire ? J'allais la blesser... ? j'allais... Je sais pas. Je me sentais tellement mal que je tombais à terre et je hurlais à la lune.

En loup ainsi je ne me controlais plus. C'était comme ça... Et pourtant, je me terrais dans un coin, incapable de m'approcher d'elle... Incapable de m'enfuir. J'étais figée. L'humaine en moi luttait pour garder le controle, pour que je ne blesse jamais la femme en face de moi dont l'odeur et les paroles me rassuraient... toujours ? Je tentais de garder le controle, esperant qu'elle.... esperant qu'elle n'ait pas peur de moi au fond... ? Mais elle aurait du avoir peur non ? J'étais un monstre. Je me haïssais. Je haïssais le loup. La créature. Et si je lui faisais mal je me haïrais aussi.

Du coup, c'était une plainte qui s'echappait de mes lèvres. La j'esperais vraiment que personne ne sorte dans l'arriere cours. Ou peut être qu'Heather reussirait à nous transplaner... ? Non ! Il ne fallait pas qu'elle me touche, je ne sais pas comment le loup reagirait... Oui mais... Une caresse, ça serait.... Non. Oui.... ? J'esperais en craignant... ? Je me retractais encore plus, coincée dans un angle, la regardant de mes yeux de louve appeurée... ? Elle... Je l'aimais tellement. Si elle avait une seule griffure je me detesterais tout le restant de mes jours.

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Je l’aimais. Oui maintenant que j’en étais certaine je ne lâcherai plus cette idée. non pas pour le moins du monde. Je l’aimais et je le lui prouverai. D’ailleurs j’interrompais son service comme une furie. Je m’en fichais qu’on nous voie. Au contraire, moi je voulais qu’on le sache, de le claironner, que moi Lisbeth Heather Indriason. J’étais amoureuse d’elle. Askja. Mon Askja à moi. Rien qu’à moi. Attention, possessive la madame en cuir ! Je souriais et l’entraînais à l’écart quand même. Y’a des limites hein.

Mais dans la cour, quelque chose que je n’avais pas prévu –bien que j’aurais certainement pu et du- se passait. L’émotion. La nouvelle. MA nouvelle. La … transformait en loup. Je reculais un peu, à la fois surprise mais aussi fascinée. Non je ne partirai pas, je ne viendrais pas provoquer une « crise » pour partir ensuite et la laisser ainsi. De plus j’étais heureuse de la voir sous sa forme lupine. Elle hurlait et j’avais peur. Je ne savais pas ce que je pouvais faire pour l’aider, ni même si elle avait besoin d’aide. Certainement qu’elle n’en avait pas besoin, depuis le temps. Mais … je ne connais pas des masses de lycans moi vous savez ! Elle était magnifique. Les yeux brillants j’observais le loup qui se trouvait en face de moi. Je la fixait, soutenais son regard. Je ne reculerai pas. Elle n’avait pas à avoir peur. Si je l’aimais sous sa forme humaine. Je l’aimais aussi sous sa forme plus sauvage. Ça ne changeait rien à elle, au contraire même ça faisait aussi d’elle qui elle était. Un large sourire se dessina sur mes lèvres alors que je l’entendis gémir doucement. Je m’accroupis afin d’être à sa hauteur et plongeais mes yeux dans les siens. « Tu es magnifique Askja » j’essayais d’approcher ma main de son museau. En faisant attention. « Je t’aime. Telle que tu es. » je posais un doigt, puis deux sur son museau « Humaine ou Louve » je souriais doucement puis posais ma main en entier avant de sourire doucement. Terriblement heureuse. « N’aie pas peur. » pas peur de moi hein. D’elle, et de ce qu’elle pouvait me faire. Moi je n’avais pas peur d’elle. Non je lui faisais confiance. Une infinie confiance qui était là bien avant que je ne réalise qu’elle était celle dont j’étais amoureuse. « Je suis là » dis-je en caressant doucement son museau, les yeux toujours plongés dans les siens.

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Apprivoise le loup. Apprivoise le loup. Tu n'es pas une bête sauvage Askja. Tu es un animal. Les animaux savent être doux. Les animaux.... Les loups. Ne sont pas toujours dangereux. Tu peux le faire... Non. Je suis une créature. Je suis sauvage. Je.... Grogne et gemis à la fois, parce que l'humaine et la louve se battent en moi. L'une voulait s'enfuir. Courir trés loin, mais l'autre voulait revenir. L'autre voulait reprendre sa forme humaine et embrasser la femme qui lui faisait face. Ça faisait mal. Mal d'être au bord du risque. Je ne voulais pas lui faire de mal, mais la louve ne savait pas discerner le bien du mal. C'était l'inconstance de la créature sauvage que j'étais. Calme toi Askja. Calme ... ? Calme. Mais voila, elle s'approchait de moi, elle me disait des choses que je n'aurais jamais imaginé entendre dans cet état la. « Tu es magnifique Askja » A la limite magnifique je la comprenais, j'aimais les loups, c'était beau, c'était.... J'étais belle... ? J'étais belle à ses yeux ... ? Et je reculais jusqu'a ne plus pouvoir le faire, pendant qu'elle approchait sa main de mon museau. « Je t’aime. Telle que tu es. » Elle continuait de parler, en avancant sa main, et la louve était concentrée sur son odeur, tandis que la femme n'entendait que ses paroles. « Humaine ou Louve » Elle m'avait eu. Elle m'avait envoutée par ce qu'elle disait et je me retrouvais avec sa main posée sur mon nez - museau... Je reniflais, me léchant inconsciement les babines. C'était tout chaud, et tout doux, ça ... faisait du bien. Au fond... Peut être que j'étais un loup civilisé... ? Ou peut être que mon amour pour elle était plus fort que la bestialité de la créature que je pouvais être. « N’aie pas peur. Je suis la. » Elle parlait encore... Est ce qu'elle lisait dans ma tête quand j'étais comme ça... ? Je ne pensais pas que ce soit possible. C'était peut être juste qu'elle était brillante. Qu'elle comprennait. C'était peut être juste. Elle... Voila tout.

Et doucement la louve se laissait prendre, se rapprochant d'elle. Oui. Je me rapprochais un peu d'elle, comme pour avoir une caresse supplémentaire. Reniflant son odeur et relevant un peu la tête pour deposer un long coup de langue sur sa main. Je voulais.... Je voulais me retransformer. Il fallait que je force. Il fallait que.... je force pour me retransformer. Peut être... Peut être que... Mais il y'avait un sort je crois elle pourrait peut être essayer de me faire redevenir humaine elle. Ou alors... On pouvait attendre. Mais la scene était légerement singuliere. La louve... quasi docile et son humaine. Ou l'humaine et sa louve... ?

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Je la regardais, elle était magnifique, autant en loup qu’en humaine. Et je n’avais pas peur, non pour moi il n’y avait pas à avoir peur d’elle. Elle était juste magnifique ; elle n’avais pas non plus a avoir peur de moi, ou d’elle vis à vis de moi. D’une je savais me défendre. De deux j’étais persuadée qu’elle pouvait se contrôler. Au moins avec moi. Je souriais doucement et continuant à lui parler doucement je m’avançais en même temps vers elle. Essayant de ne pas la brusquer, de ne pas lui faire peur, on ne sait jamais. Je la rassurais. Je voulais être la pour elle. Quelle qu’elle soit, je l’aimais et ça transcendait toutes les barrières et toutes les formes corporelles. Je souriais et la regardais encore. Caressant doucement son museau. Il était chaud et je sentais pourtant qu’elle avait encore un petit peu peur, qu’elle hésitait. Avant de se laisser aller finalement. Je souriais doucement recommençant mes paroles apaisantes.

J’avais gagné, elle s’approchait de moi et allait même jusqu’à réclamer une nouvelle caresse que je ne me privais pas de lui donner. Emerveillée par son poil soyeux, par sa couleur agréable et par la beauté en soit de l’animal. Animal oui. Mais pas sauvage. Elle était MON animale à moi, sans aucune connotation négative. Elle léchait même ma main et je souris largement me mettant même à rire en sentant les chatouilles que ça provoquait. Doucement j’approchais mon visage de son museau et après y avoir déposé un baiser doux je murmurais « Hommomorphus » pour l’aider à redevenir humaine. L’enveloppant de mes bras une fois redevenue humaine je la gardais contre moi et murmurais à son oreille. « Je t’aime Askja »

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Wirf. Peut être qu'au fond elle avait reussi à dompter le loup, quelque chose que je pensais vraiment impossible. Comment aurait elle pu alors que moi même je n'y arrivais pas... ? Elle avait quelque chose. Une odeur. Une senteur. Il y'avait un feeling. Ce que je ressentais pour elle. Il y'avait l'amour, et la sensation que jamais rien de mal ne lui arriverait pendant que j'étais la. La louve l'aimait autant que l'humaine l'aimait. Bon peut être un peu moins, j'osais esperer, parce que les reproductions interespece c'était pas mon truc, mais alors pas du tout. BMmwhihgre. Je disais quoi ? Non, le serieux de la situation me tapait un peu sur les nerfs, mais j'étais sous forme de louve et j'avais besoin de tendresse... Ce que je n'aurais jamais cru possible. Je reclamais des caresses que j'obtenais, et j'obtenais même un baiser sur la truffe, langue sortie, j'allais lui offrir une lechouille quand je l'entendis murmurer le sort qui redonnait forme humaine aux animaux comme moi.

Nue. J'étais nue et glacée sur la neige. Mais ça n'avait aucun interet. Aucune importance, je me collais contre elle, en evitant de trembler. J'avais déja gaché une partie de notre entrevue en me transformant en louve alors... Doucement je relevais les yeux vers elle. Je t'aime, disait elle encore, et je plantais mes yeux dans les yeux, posant mes lèvres sur les siennes. — Je t'aime aussi. Je t'aime. Une main dans la sienne, et je claquais un peu des dents, tentant d'ignorer les élements pour me blottir, pour me... serrer contre son corps, contre ses vetements. — Et la louve t'aime aussi. C'était bien la, le plus surprenant.

Le plus dur maintenant allait d'être de ... sortir de cette petite arriere cours, pour aller ailleurs, en sachant que mes vetements étaient dechirés completement... Inutilisables. Hmm... Peut être qu'il suffirait de transplaner ? Oui, mais je n'avais pas non plus de baguette. Je la regardais. Je ne revenais toujours pas du fait qu'elle m'aime et des émotions que cela m'apportait. — Tu nous... transplane dans ma chambre... ? Parce que malheureusement elle ne pouvait pas nous amener dans la sienne, dommage, j'étais sure que son bureau était... Ravissant.