Appartenir. Chaînes. Pays. Mère. Femme. Et si c'était quelque chose qui ne s'écrit pas. C'est pour ça que les gens qui chantent des chansons embarrassantes ne transcrivent pas bien leurs voix. Donnant à leurs paroles des sens qui en manquent horriblement. Tout ça pour dire, Je vais bien ne t'en fais pas. Ou pour dire que justement... Rien ne va... Mais ne t'en fais pas quand même. On devient plus grand. On devient plus fort. On s'endurcit avec le poids des années, les souffrances restent les mêmes. On ne pense pas avec le cerveau. Sachons-le. Le coeur fait le gros du boulot. C'est pour ça que beaucoup d'êtres se noient dans l'amour. Certains écrivent. Et d'autres sautent des falaises. Pensant faire des gestes inconsidérablement romantiques. Alors qu'au fond, ce ne sont rien que des abandons de plus. Des abandons de terre. De vie. De sourire. Et tout ça pour ressembler aux anges. Que dirait Dieu. Si toutefois... Il existait. Créer des anges en tuant des humains. Quelle imposture. Et si dans le désespoir, certains y trouvaient leur compte ? Il doit bien y'en avoir à qui ça plait d'être malheureux. Réflexion intérieure. Le retour de l'enfant prodigue. Après un an loin des scandales. Les petites filles grandissent souvent trop vite par ici. Et ce n'est pas Sloaàn qui vous dira le contraire. Sloaàn... Jolie barbie brune à la poitrine de verre et aux yeux qui saignent. Elle a peur des lendemains, du vent qui souffle trop fort, des mains qui s'approchent trop près d'elle. Pourtant elle n'était pas la même avant. Avant... Qu'elle ne s'éprenne de cette belle ombre sombre, aux cheveux virevoltants et au regard fou. Elle ne vous dira pas son nom. Et elle aimerait se débarrasser de ces images obsédantes. Elle attend le moment propice pour se taper un grand coup la tête contre un mur de l'école pour repeindre le dortoir en rouge. Le coeur battant, les ailes coupées, et le teint blême, c'est une poupée aux joues cassés qui se trimbale dans les couloirs de Poudlard.

J'ai eu cours de sortilèges ce matin. Non pas que j'aime pas ça. Non. Non non, j'adore. Mais en ce moment, j'accorde pas énormément d'intérêt à mes études. Pourquoi ? Est-ce que ça vous regarde ? Je pense pas, mais comme j'aime bien parler de moi, je vais vous le dire. Je suis amoureuse. Et depuis j'ai troqué mon sourire contre une paire de cisailles que je frotte contre ma peau quand j'ai trop mal de vivre. Si je vous dis qu'aimer quelqu'un c'est la plaie, vous me croyez ? Au sens propre aussi. Moi ma plaie, j'ai beau aseptiser, elle s'ouvre à chaque fois que mes yeux pleurent.

Un jour Cheryl m'a dit « Fais ce que tu veux, à partir de maintenant, tu n'es plus ma fille. _ Et je lui ai répondu que de toute façon, elle n'avait jamais été ma mère. Quant à mon père... La seule chose dont je me souvienne, c'est sa silhouette qui revenait à chaque Noël, les bras chargés de cadeaux pour nous. Un jour il est pas revenu, et j'ai souffert comme jamais. Je ne pouvais pas savoir que la souffrance ne se conjuguait jamais au passé.

Est-ce qu'encore quelqu'un se préoccupe de moi ?

Est-ce qu'encore quelqu'un m'aime ?

J'ai pas besoin de beaucoup. Et ce soir je déteste les oiseaux. Je déteste les oiseaux.

Encore une fois, le jour fini, je m'en vais errer dans Pré Au Lard. Je passe mes soirées à déambuler entre les gens, ivres eux mêmes de s'être laissés aller. Je suis seule, parmi la foule. Je me retourne, personne n'est là. Pas celle que j'aimerais. Pas celle dont je rêverais. Pas... Et quand je marche, mon esprit tente de se vider. La fille qui m'accompagne c'est mon ombre... Ce soir... ? Je titube. Je ne sais plus où aller, ni comment mettre un pied devant l'autre. Alors je m'arrête. Je m'appuie contre un mur. Reprenant mon souffle. Les yeux sur les étoiles. J'ai beau regarder, je crois pas que le bonheur vienne du ciel.

Mes pas me mènent à la cabane hurlante.
Là au moins... Même si la cabane hurle, on est au calme.

© Sloaàn.

En fait, tout commence par l'histoire d'une lapinette. J'avais été cette lapinette un jour dans ma vie. C'était l'histoire logique d'une lapine qui rencontre des loups et qui devient eux. Désormais j'en étais une. Une louve. Pas au sens propre certes, la stupide malediction de lycanthropie ne m'avait pas touchée, mais j'étais une louve. Une de celles qui dominaient la meute. J'étais forte et sans faiblesse. J'étais soumise à nul autre que le Lord, et ses idées. Et j'étais libre. Libre. Comme l'air, comme l'eau. Comme la liberté. Comme le vent aussi mais je voulais eviter le cliché. Soit. J'étais libre et ce soir j'étais plus libre encore. Promener ... Promenons nous dans les bois pendant que le loup y' est pas. Si le loup y est, des tourtes j'ferais !

Soit. Je trainais dans les rues de Pré Au Lard, a la recherche de ma victime preferée. Une charmante petite chouquette qui fricotait de trop prêt avec les mangemorts. Oh, elle n'était pas méchante, justement, j'esperais la former pour qu'elle devienne comme nous. Mais soit. Ma litt... La Littéraire aux yeux clairs n'était pas la. Trop occupée probablement. Soit. Ce n'était pas grave, Pré au Lard ne manquait pas de jouets... Et je n'allais pas tarder à en trouver un. J'en étais sure. Il y'avait toujours des jouets dans les parages. Toujours.

D'ailleurs n'appercevais-je pas une lueur dans la cabane hurlante ? Pour sur, un lapin avait du s'y perdre. Et virevoltant de mes jupons sacrés, je trépignais d'impatience en marchant jusqu'a la vieille demeure branlante. Une brebis égarée. Quelqu'un de vivant quoi. Quoi qu'un vampire ferait l'affaire. Et... Chocapic. Je poussais la porte tanguante en éclatant d'un de mes usuels rires.

— Que vois-je ? Une lapine perdue...

Le calme fut troublé par une présence inhospitalière. Un rire prédateur et une voix frétillante d'envie et de perversité cassèrent le silence. Relevant les yeux en soupirant de lassitude, mon coeur stoppa. J'avais en face de moi... Non laissons durer le suspens. Je me redressai, époussetant ma veste qui venait de trainer dans les toiles d'araignées du mur de la cabane, et poussant un mini grognement timide, je me mis à trembler. Mon regard se balada sur son corps, à défaut de laisser mes pattes s'y promener oups j'ai pas dit ça. , et je me décidai à rétorquer, sur le même ton qu'elle. Avec un soupçon d'ironie cinglante par dessus. « Lapine, j'en sais rien, mais si vous entendez par là que la cabane est occupée. Oui. Elle l'est, j'ai réservé pour ce soir. Alors vous pouvez aller chasser ailleurs, je ne suis pas d'humeur à être mangée. _ Je me giflais mentalement. Je sais pas trop ce qui m'avait pris de dire ça. C'était peut être la tension, et le manque de sommeil et... Le fait que je sois sous le nez de celle qui peuplait mon esprit depuis trois mois. Ou Peut être que j'étais tout simplement folle et suicidaire. Peut être un peu tout ça à la fois vous croyez pas ?

Prenant conscience du danger qui m'entourait, parce qu'au fond j'étais tout de même avec Bellatrix Black, je me reculai instinctivement de quelques petits pas, jusqu'à recotoyer les toiles d'araignées des creux du mur. Si j'avais pu je me serais étranglée avant que ces mots sortent de ma bouche. Ou je me serais transformée en arachnide pour justement rentrer dans ces petits creux pour ne plus jamais en sortir. Moi je suis comme ça, quand je suis nerveuse, je parle trop. Le fait est que même quand je ne suis pas nerveuse, je parle trop, mais là c'est un autre sujet.

« Qu'est-ce que vous voulez ? _ Mes doigts s'agrippaient à la paroi de la cabane. « A part... Me tuer, ou me torturer, ou me faire je sais pas quoi de sadique. _ Putain Sloaàn. Putain mais ta gueule ! TA GUEULE !

Je respirais par saccades. Mon pouls devait être en train de chuter. Ou de... S'accélérer plutôt je sais pas. En tout cas, mon corps ne restait pas indifférent à elle. D'ailleurs mon coeur non plus, mais je ne vous en parlerai pas tout de suite. Ce serait déplacé et totalement mal vu puisqu'elle a l'air de vouloir me bouffer toute crue. Remarquez, ce serait bien dans mon genre d'être attirée par une chtarbée qui veut ma peau. Au moins notez le côté mélo dramatique dans tout ça. Bref ça y'est je recommence à trop parler. Tuez moi tout de suite.

Et la, soudain en face de moi, surgit une lapine. Charmante petite lapine, aux longs cheveux bruns, qui ne demandait qu'a être mangée. La lapine ! Pas ses cheveux. Cela aurait été dérangeant. Les cheveux n'avaient jamais trés bon gout aprés tout. Je soupirais un peu à cette pensée degoutante, et je me concentrais sur la belette en face de moi. Ne me demandez pas pourquoi ou comment, mais j'avais décidé qu'elle avait une tête à s'appeler Belette. Elle serait donc ma belette. Bien que la belette face à la louve ne fasse pas un pli, celle ci semblait décidée à se defendre. Oh... Non. Non. Non, ça n'allait pas se passer comme ça. Elle était arrogante. Et je secouais la tête, et mes boucles folles.

— Je ne suis pas d'humeur à être mangée.... mimiquais-je en riant. — N'est ce pas ce que le chassé dit au chasseur quand il lui perfore la peau de son fusil ? Voyons lapinette. Je suis sure que tu peux mieux faire. Et je riais à perdre haleine - si si ça doit être possible - en me rapprochant d'elle.

Elle sentait la peur deriere son arrogance, et son joli visage serait magnifique si il criait souffrance. J'étais folle peut être. Mais je savais m'amuser. Ma conception du jeu était telle qu'il n'était vraiment drole que quand le second participant n'était pas volontaire. Machinalement je me lechais les babines en me rapprochant d'avantage, jusqu'a froler son cou de ma baguette tordue. Qu'est ce que je voulais d'elle ? C'était... Charmant comme question.

— Amuse moi ? Et la, la menacant du bout de ma baguette. Prête à lancer un sort, ou la griffer. Je restais suspendue à ses lèvres pour une réponse que j'esperais amusante. Sinon. La belette serait mangée.

Bellatrix Black. Un mythe dans l'histoire de la perversion. Et moi pauvre petite chose sans défense... Que dis-je. J'avais une langue, ça pouvait me servir. Enfin non, c'est pas ce que vous croyez, c'est... Je m'enfonce laissez tomber. Mais ce que je voulais dire c'est qu'après tout, je peux négocier, c'est ce qui différencie les proies animales de nous. Bref. En même temps... Négocier avec Bellatrix Black je sais pas si ça peut servir à quelque chose. Mais on peut toujours tenter. Remarquez, si elle me tue ce soir, l'avantage c'est que je pourrai sécher les exams de fin d'année. Et puis j'aurai plus à rêver d'elle la nuit. Ça aussi c'est un avantage. Parce que rêver de la folle par excellence, je sais pas si ça fait bon ménage avec sa propre raison. D'ailleurs, il serait temps que j'agisse. Parce que je parle, je parle, et dans tout ça, j'ai pas encore réalisé que sa baguette est pointée vers mon visage. Mon si joli visage. On touche pas à mon visage, c'est quoi ces manières là ?

« Que je vous amuse... ? Et si j'ai pas envie ? _ Pourquoi quand j'entends Amuse moi dans la bouche de cette cinglée aux cheveux hirsutes, je comprends Tords toi de douleur pour me faire plaisir ? Ma main glisse discrètement jusqu'à ma poche extérieure, là où je range ma baguette. C'est risqué. Mais j'ai pas envie de mourir aujourd'hui. Quoique... Mourir de la main de celle qui peuple mes pensées, ce serait cool et ça ferait un bon sujet de nécro. Sauf que personne est au courant en fait. Sauf peut être ma cousine... Et encore je suis pas sûre, j'étais allumée quand j'en ai parlé, peut être qu'en fait je parlais à mon placard à balais... Enfin bref là n'est pas la question.

Soupirant longuement, j'avance ma main vers elle. Me demandez pas pourquoi, mais j'ai envie de la toucher. Au moins avant de crever. Mes ongles effleurent sa peau. Comme ça je pourrai dire Ouais avant de mourir j'ai touché Bellatrix Black haha ! Mais ça servirait à rien puisque je serai morte. Mais voilà que je recommence à trop parler. Allez on passe aux choses sérieuses. Profitant de la distraction provoquée par mes doigts sur sa joue, je sors de l'autre main ma baguette et je m'apprête à lancer un stupéfix par surprise. Enfin je dis Je m'apprête parce que je suis tellement troublée que je lance à côté. Et j'ai même pas dit Stupéfix. J'ai dit Pufétix. Youpi Sloaàn, va voir ton psy.

La lapine n'était pas drôle. Du moins pour le moment. Et pourtant quand je la plaquais presque contre le mur de bois branlant de la cabane, j'esquissais un sourire. Elle n'avait pas envie de m'amuser hein. Je la regardais avec mes yeux perçants de folie.

— Ne t'en fais pas, je m'amuserais quand même. Que tu sois volontaire ou non, changera juste l'état dans le quel tu t'en sortira.

Et je riais d'un rire fou et …. sadique, qui ne disparaissait que quand elle portait la main sur ma joue. La, je me figeais. Un moment de perturbation qui lui laissa le temps de prendre sa baguette de lancer un sort qui échoua. J'éclatais de rire, remuant un peu ma tignasse de folle.

— Ça ne … Marche pas comme ça lapinette!  

Et d'un mouvement bref j'arrachais la baguette de ses mains et je la lancais de l'autre coté de la cabane - la baguette, pas la chouquette - non, la chouquette elle, je la replaquais contre le mur, et je lui léchais la joue. N'allez pas chercher à comprendre, je n'étais pas tout a fait tranquille.

— Je peux t'apprendre à danser si tu veux. Ou a lancer un meilleur sort que ça..  

Les amis, quand Bellatrix sourit, c'est jamais bon signe. A ce qu'on raconte en tout cas. Moi je trouvais ça plutôt... Je suis folle... Masochiste. Tout ce qu'on voudra. Mais le fait est que je trouvais son rire plutôt fascinant. Tout autant qu'elle en fait. Je faisais une fixation malsaine... J'y pouvais rien au fond.

Quand elle se mit à agiter la tête, la crinière au vent, je ravalais ma salive bruyamment. Si un jour on m'avait dit que j'allais mourir dans la cabane hurlante... Mais bon, la vie est pleine de surprise. « Pourquoi vous êtes comme ça ? _ Bon dieu Sloaàn, mais qu'est-ce que c'est que cette question idiote ? ... D'ailleurs ça ne veut rien dire. Pourquoi vous êtes comme ça ?... Pourquoi vous êtes folle ? Pourquoi vous êtes méchante ? Pourquoi vous êtes belle ? Allez savoir ce que ma phrase avait comme sens. Mais dans ma tête elle se tournait ainsi. Pourquoi vous êtes au centre de mon esprit jour et nuit, sans relâche ?

J'avais eu à peine le temps de réfléchir à la question que déjà je n'avais plus de baguette dans la main. Je regardais Bellatrix froncer les sourcils en souriant bestialement. Je n'avais même pas porté attention à ma baguette disparue. Qu'en avais-je à faire, dans le fond ? « Je sais déjà danser. Quant au reste... Je n'ai pas besoin de vous pour apprendre. _

Si je vous réponds Oui Apprenez moi des trucs, ça vous ferait pas plaisir. Je sais que Bellatrix Black aime les gens qui la contrarie. C'est un paradoxe cette sorcière. Et moi, comme j'aime Bellatrix Black, je ne vais pas la... Quoi ? J'ai dis ça ? Non, vous avez rêvé. J'aime pas Bellatrix, je voulais dire, j'aime bien les sorcières, brunes, mal coiffées, euh... Folles aussi, et puis mais ça n'a rien à voir. Je m'enfonce je crois. Alors vous allez faire comme si vous n'aviez rien entendu de ce que je viens de dire, et on va continuer la pièce de théâtre.

Les lapines, les belettes, les bibiches que l'on mange à minuit, et les petits blaireaux abandonnés sur le bord de la route, qui finissent forcément par rentrer dans le four à tourte... C'était toujours la même chose. On ramassait un chaton perdu, et puis on l'écorchait vivant. C'était lassant. J'avais perdu mes jouets, et je n'avais même pas de camarade de chasse digne de ce nom. Oh, demoiselle aux grands jupons néanmoins magnifique pourquoi ne m'accompagne tu pas ? — Parce que c'était sur un autre forum Tata, dirons les voix qui me répondent - Certes. Je ne sais donc plus ce que je disais, mais les joies d'être folles me permettent cette incartade.

Et alors que je tentais de faire reagir la tourtelette, - nouveau mot que Mozzilla ne corrige pas, si ça se trouve ça existe, Tata, tu es divine ! - elle me posa soudain une question qui aurait pu me faire tomber sur mon fessier. Cela dit les années a Azkaban ayant enlevées du rembourrage... je preferais éviter.

Pourquoi est ce que j'étais comme ça ? Je la fixais avant de partir dans un franc fou rire, probablement trés inquietant pour la personne en face de moi.

— Je pense que tu serais mieux sans ta langue. Cela dit... Je te répondrais peut être plus tard. Le plus tard, comme tout plus tard, viendrait aprés. Ou ne viendrait jamais. Nous verrions. Pour l'heure, elle avait tenté une mesure inesperé et je l'avais mattée contre le mur.

Elle était arrogante, et je la fixais, de toute ma hauteur un peu tordue par la folie. Je sentais même mes touffes de cheveux mal coiffés lui caresser les joues. Puis je faisais un bond en arriere, en la fixant un peu.

— Puisque tu ne veux pas danser, j'ai une idée... Jouons ! Tu m'as posé une question tout a l'heure. Je te fais trois hypothèses si tu trouve la bonne parmi les trois tu gagne... Ce que tu veux. Si tu fais une seule erreur, tu demeure ici jusqu'a demain matin, et nous faisons ce que MOI je veux ?

Sans lui laisser le temps de reagir je lancais un sort pour lier ses poignets au mur.

— Hypothèse 1. Je suis folle parce que je suis née comme ça. Hypothèse 2. C'est Azskaban qui m'a pompé le ciboulot. Hypothèse 3. J'ai été bercée trop prêt du mur. Je lui souriais a pleine dent... Ouais. Dents... Brrr. — Je t'écoute.