LUCIE&PEEVES — SI j'avais une tapette ... je taperais le jour ... je taperais la nuit ... j'y mettrais tout mon coeur ...

SI j'avais une tapette ... je taperais le jour ... je taperais la nuit ... j'y mettrais tout mon coeur ...

Peeves. Mon prénom résonnait souvent dans les couloirs de Poudlard. Et les mangemorts, et les professeurs ne pouvaient rien faire contre moi et mon machiavlisme. Les seuls à qui je pourrais possiblement –et je dis bien possiblement- faire attention et respecter ce serait certainement Lucie et Heather. Mais elles étaient assez cool avec moi. Allez savoir pourquoi. Peut être parce que je ne m’étais jamais moqué d’elles Parce qu’elles étaient belles et respectables, elles !? Qui sait ! Alors je continuais mon petit cirque. Hé oui, vous savez moi il m’en faut peu pour m’amuser. Et aujoud’hui je venais d’inventer un nouveau sport. « Ridin’student » ça s’appelle. Le principe est assez simple vous savez ! Etape une trouver la cible. De préférence un élève un petit peu isolé et asse fort. Etape deux l’attirer un peu plus loin mais pas trop des autres élève. Etape trois, prendre une grande corde et comme un lasso la lancer autour du cou de votre cible. Et enfin étape quatre, lui donner un grand coup de pieds dans le derrière et vous laisser porter par le mouvement du pauvre petit élève qui détale comme un bêêêêh qui a peur de perdre ses dents ! On pourrait aussi appeler ça « Surfin’Peeves » aussi tout compte fait. Voilà donc ce qui m’amenait ce matin à tomber aux pieds de Miss Von Nervenheil. Ce stupide petit Pouffsouffle s’était emmélé les pinceaux et à présent était dans un coin emmêlé dans la corde que j’avais utilisée. « Oh pardon …. » dis-je en regardant Lucie avec un énorme sourire aux lèvres, absolument pas désolé du tout.

(c) kusumitagraph' | ex nihilo

SI j'avais une tapette ... je taperais le jour ... je taperais la nuit ... j'y mettrais tout mon coeur ...

PEEVES&LUCIE

Bon. Insufler le stress dans quelques elèves en passant dans les couloirs avec un air mauvais. CHECK. Envoyer chier le charmant - pas charmant du tout - professeur Rogue, en lui montrant que j'étais instable et qu'il vallait mieux qu'il me laisse tranquille. CHECK. C'était agréable d'être folle... Ça me donnait une dimension et une réputation dont la petite serdaigle n'aurait jamais pu rever avant. Enfin, les années avaient passées, et peut être que j'étais effectivement folle... Malheureusement je ne l'étais pas encore assez je crois. Il y'avait encore des choses que je trouvais bien plus folles que moi. Et ces choses la... Oh qu'importait. Je partais dans un grand éclat de rire et je remuais ma baguette sur deux amoureux dans un passage étroit. Collelangue. J'aimais bien ce sortilège, et j'imaginais la gueule des infirmiers quand ils les verraient debarqués comme ça. Si ils arrivaient à marcher jusqu'a l'infirmerie. Petit sourire en coin, je continuais à marcher pour rentrer dans mon bureau. J'avais des choses à faire. Des tableaux à peindre. Des fioles à ranger.

Bref. Tout allait presque bien dans le presque meilleur des mondes, quand soudain sortit de nulle part, deboula un Poufsouffle projetant à mes pieds un Peeves dont le jouait échouait dans un coin. Je souriais. Amusée par l'esprit frappeur qui... et bien justement... Frappait toujours par son humour et son ingeniosité. Ça me plaisait bien. J'adorais son caractere et tout ce qu'il faisait. Je le regardais de haut en bas. — Oh non, je ne te pardonne pas. Un clin d'oeil, je lancais un stupefix sur le Poufsouffle et je regardais mon petit esprit tout mignon — Ton nouveau jouet n'a pas l'air trés au point hein Peevy. Non pas au point du tout. Je lui sourias. — Tu veux un café ? Un jus de grenadine ? Aprés tout je crois que nous n'étions pas loin de mon bureau ? Enfin... Si nous en etions loin c'était pas grave non plus.