ASKJEATHER — I can't take my eyes off of you

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Heather' & Askja
I can't take my eyes off of you

C'était la valse de nos corps, c'était la valse de nos coeurs... Et le swing de nos vetements. C'était ça aimer en fait. Ce n'était pas seulement ça, mais c'était ça... Ses mains qui glissaient dans mon dos me procuraient plus de plaisir que tout le reste, et je deposais mon visage dans sa nuque, la reniflant legerement, m'impregnant de son odeur, dans une gestuelle trés lycanne , me retenant de la mordre avec les dernieres onces de self control que je pouvais avoir. Je ne voulais pas lui faire mal, et tout était doux, mais à chaque mouvement l'animal en moi menaçait de sortir. Je n'étais pas une peluche, et pourtant, pour elle, je faisais attention. Jamais je ne ferais un geste plus brutal que l'autre, et si nous devions... nous laisser aller a quelques sauvageries ça serait de maniere tout a fait consentante... J'avais d'ailleurs, toujours revé que l'on me souleve pour me plaquer contre un mur... Mais c'était un fantasme qui ne se realiserait pas, car Heather était plus petite que moi... Et de toute façon.. Cuut ! Je disais quoi moi ? Ah vous m'avez perturbés. J'étais perturbée... Comment ne pas être perturbée par la perfection en face de moi qui me disait que ce n'était peut être pas si difficile... Comment ne pas être perturbée, ou tout simplement perdue dans ses yeux et dans son sourire que je recouvrais de mes lèvres avant de passer à l'attaque de son stupide pantalon de cuir qui me donnait bien du fil à retordre.

Heureusement, elle m'aidait. Et aprés quelques secondes je regardais le morceau de cuir tomber à terre a coté de nous, et j'admirais sa peau, laissant mes mains doucement se glisser sur ses hanches et ses cuisses, comptant sur mon sang chaud de loup garou pour ne pas lui glacer le corps. Elle était la, presque nue sous moi, et je me sentais defaillir, je me sentais deborder d'amour et j'esperais vraiment qu'elle ne lise pas dans ma tête à ce moment précis car mes pensées n'avaient rien de chaste. Hel me pardonnera je n'étais pas vraiment une fille prude... Mais alors pas du tout. Surtout pas quand Heather était la avec moi, et que nos corps se touchaient avec pour simple barriere nos sous vetements fins, qui ne dureraient pas croyez moi. Oui, mais non, les pensées venaient toutes de marquer un temps d'arret avec les mots d'Heather.
« J’avais tord Askja. Je crois qu’il me serait aisé de t’aimer. » Et alors que ses lèvres bougeaient dans mon cou, je penchais la tête en arriere, glissant mes mains sur son ventre, sur ses flancs, murmurant un « Je t'aime » rempli de tout l'amour du monde. Mes bras eux ne tardaient pas a l'enserrer contre moi, alors que je deposais à mon tour un baiser sur sa tempe. « Je ne veux plus jamais bouger de tes bras. » C'était pathétique. Et romantique... Mais j'étais un peu des deux. Beaucoup en fait. Heureusement, je n'étais pas que ça, et taquine, je déscendais mes lèvres de sa nuque à ses hanches, dans une nuée de baisers, mordillant au passage la chair tendre. Chassez le loup, il revient au galop. ... Enfin, à la course quoi.

I can't take my eyes off of you

And so it is ... just like you said ...

Nous étions dans une espèce de petite bulle. Un endroit, un moment qui n’appartenait qu’à nous. Et y’avais bien intérêt d’ailleurs. Avec elle je me sentais tellement bien. Ses mouvements, ses baisers. Ses mains sur mon corps. Ses lèvres. Je fermais les yeux pour savourer chacun de ces moments. De ces secondes passées avec elle. Dans ses bras. Sous sa peau. Je m retenais de ne pas la plaquer au canapé. Mais je voulais quelque chose de différent. Je voulais … de la tendresse. Je voulais peut être en effet de l’amour. Découvrir ce que c’était. On aurait tout le temps par la suite d’être sauvages, non ? Je veux dire, ce n’est certainement pas la dernière fois de ma vie –et je l’espère- que je me retrouve dans ses bras. Et dans ses draps. Un large sourire me monte aux lèvres quand j’imagine une sorte de futur à deux. Peut être donc est ce que c’est ça. Voir un futur ? Je ne sais pas c’est assez déroutant je dois l’avouer. Surtout pour quelqu’un comme moi. Mais sa présence a cet effet … anesthésiant sur moi. Comme si toutes ces choses qui pourraient me sembler effrayantes ne l’étaient plus en sa présence. Comme si c’était une évidence. Et oui j’aimais ça. Je souriais doucement, je me sentais avec plusieurs dizaines d’années en moins. Bon pas trop non plus hein ! Faut pas exagérer. Mais … non je me sentais juste bien et heureuse avec elle.

Le pantalon ne faisait pas long feu sur mes longues jambes. Il faut dire qu’il devenait une barrière désagréable. Il volait un peu plus loin, sur le sol, sur la table basse. Aucune idée. Et puis je me laissais aller. Ses mains sur mon corps me tiraient de plus en plus de longs soupirs et ma peau commençait à s’électriser. Je la rapprochais de nouveau de moi je supportant pas de laisser trop d’espace entre nous. La chaleur de son corps était agréable. Non … indispensable. Et je lui disais. Je la laissais savoir ce que je pensais. Ce que j’étais venue à penser grâce à elle. Mes lèvres dans son cou ses mains descendaient sur mes flanc ce qui eut pour résultat de coller mon ventre contre elle. Son je t’aime au creux de ma nuque me fit défaillir. Je n’en étais pas encore à le dire moi même. Mais pour sûr nous étions en bonne voie. Je souriais aux anges. Elle m’enserrait de ses bras et je posais ma tête contre son épaule. « Moi non plus » murmurais-je doucement à son oreille. Mais elle continuait son chemin sur mon corps, ma nuque, épaules, bras, flanc … hanches. Chaque baiser me tirant un petit soupir que je ne pouvais pas réprimer.

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Heather' & Askja
I can't take my eyes off of you

Je ... L'aimais. Plus qu'il ne me semblait possible d'aimer. C'était... Mais c'était parfait. C'était beau. Et c'était bon. Nous étions dans un monde qui n'appartenait qu'a nous, et mon appartement pourrait devenir le notre si elle le desirait. Bien sur, je m'imaginais que peut être un jour, nous vieillirions ensemble. Rah zut. Ce n'était pas le moment de penser à tout ça... Non, le moment c'était à autre chose, à des etreintes charnelles, à son corps sous le mien, et les frissons de sa peau résonnaient sur la mienne. Et alors que je me retrouvais sur elle mordillant sa hanche comme si c'était la nouvelle saveur de l'année. Et c'était un peu ça en fait, bon... La je passais quand même pour un loup affamé ce que je n'étais pas, mais c'était sa faute. Tout était de sa faute. J'étais condamnée a une longue... courte nuit en fait, et finalement elle était arrivée et je ne pouvais pas me resoudre à rester loin de son corps, loin d'elle. Et son odeur était .. aphrodisiaque ? A croire que le loup en moi l'avait adoptée. Que le loup en moi l'aimait. Elle non plus, elle ne voulait plus bouger ... ? C'était un sourire, c'était quelques baisers sur son corps. Et des légers soupirs de sa part qui me faisaient defaillir. Et doucement, je remontais mes lèvres jusqu'a sa nuque, m'arretant un moment sur la naissance d'un sein, que je mordillais aussi. Jamais méchament... Toujours avec tendresse. Toujours avec amour.

Et je l'embrassais à nouveau, machouillant sa lèvre inferieure, avant de reprendre la parole. Toujours. « Tu n'as pas froid.. ? Tout va bien ? » Ces questions à la con qu'on pose dans des cas comme ça, alors que ma main descendait se poser un petit peu plus bas, jouant pour l'exciter legerement. Ce n'était pas la premiere fois, mais j'étais plus timide que d'habitude cette nuit, c'était peut être parce que c'était la premiere fois qu'elle savait que tous mes gestes étaient teintés d'amour. C'était peut être parce qu'au fond ,c'était une premiere fois sans l'être... Je tremblais legerement, en jouant d'une main avec son sous vetement tandis que de l'autre je cherchais la sienne, entrelaçant mes doigts aux siens. Je crois que j'attendais qu'elle fasse le premier pas, qu'elle reprenne un peu de la dominance, je n'avais pas l'habitude d'être... comme ça. Le fait de lui avouer mes sentiments, l'idée que ce puisse être reciproque avait tout dereglé dans ma tête ce soir...

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And so it is ... just like you said ...

Je souriais. Avec elle j’étais aux anges. Elle était tellement belle. Elle était … juste parfaite. Je me demandais ce c’était ce que j’avais loupé si longtemps. Ce que j’avais manqué. L’amour. Est ce que c’est ça l’amour. Etre là. Avec une personne qu’on ai- qu’on apprécie. Qu’on … oh shit oui qu’on aime. Ne vouloir que du bien. Ressentir toutes ces choses que je ressentais à présent. Ce n’était pas que du sexe. Oui parce que du sexe j’en avais eu … et j’en avais eu pas mal … mais là c’était totalement différent. C’était du sexe oui. Mais avec un petit plus. je souriais doucement et fermais les yeux alors que ses mains parcouraient mon corps me laissant toute alanguie. Ses lèvres me faisaient frissonner de plaisir et j’avais faim. J’avais faim d’elle. Je me relevais un tout petit peu pour trouver sa peau sous mes lèvres. Juste un peu. Juste … je fermais les yeux et soupirais sentant ses lèvres sur ma poitrine. Quel délicieux supplice. Et elle remontait vers mes lèvres alors je l’enveloppais dans mes bras comme dans un cocon. « Tu n'as pas froid.. ? Tout va bien ? » je décollais mes lèvres des siennes quelques secondes pour répondre à l’affirmative. « Tout est juste parfait Askja » totalement parfait. Sa main descendait et je cambrais un peu mon dos sentant le désir m’étreindre. Doucement je décalais mes mains à moi de son dos à ses fesses passant sous le tissu de son sous vêtement pour l’aider à s’en défaire. Je pliais le genou pour la sentir encore un peu plus contre moi. Ma seconde main passais sous son sous vêtement que je faisais glisser sur sa cuisse puis, doucement je la retournais, pour lui retirer le tissu en entier. A califourchon sur elle, je pliais ses jambes en la saisissant par la cuisse et m’allongeais lascivement sur elle pour laisser ma langue parcourir chaque courbe de son corps.

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Heather' & Askja
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Tout est juste parfait Askja. Elle n'aurait pas pu dire autre chose pour me rendre la plus heureuse des femmes. Si eventuellement j'avais pu ronronner je l'aurais fais. Mais j'étais un loup, pas un chat, et il valait mieux éviter que je grogne. Enfin... En un sens le grognement pouvait être légerement sexy, mais ça faisait quand même un tant soit peu masculin. Bon, le loup tu reste calme compris et tu ne grogne pas, ça aurait pu casser le moment. Je me mordais la lèvre, me sentant rougir sous sa phrase, rougir sous ses caresses aussi. Et voila qu'elle reprenait la dominance, et moi je caressais sa joue, doucement. Avec amour. Tendresse. Passion. « Tu. Es parfaite. Toi. » J'étais une guimauve sentimentale dans le corps et les tenues d'une serveuse provocante. Enfin... La tenue n'était plus la, je n'avais plus que mon corps beau mais parcouru de marques. Le sien était contre le mien, et je me collais à sa chaleur alors qu'elle retournait la situation. Machinalement je me léchais les babines en griffant son dos, tandis que mon autre main partait se perdre dans sa chevelure. Demain Heather aurait une belle griffure due à la nuit que nous passions, mais je déposerais des doux baisers sur les griffures en questions et tout serait pardonné. Voyons, de toutes les manières nous n'étions pas des enfants de coeurs. Loin de la ! Nous avions en nous une part d'animalité - certes, moi d'avantage, - qui rendait nos ébats bien que tendre et amoureux, légerement animés. Preuve en était, la force dont je faisais preuve en la remontant vers moi pour l'embrasser avec toute la passion dont la louve et moi même étions capables, mordant sa lèvre brievement au passage, tandis que je glissais mes mains sur son corps tout entier, cherchant à la faire réagir. A la faire se cambrer sous les caresses que je pouvais lui administrer.

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« Tu. Es parfaite. Toi. » je la regardais et posais un doigt sur sa bouche pour lui intimer expressément l’ordre de se taire. Oui les paroles n’étaient plus vraiment nécessaires hein ? « Non, toi tu es parfaite Askja ! Sois en sûre ! » je souriais doucement et me pliais aux moindre des réactions que son corps faisait quand le mien rencontrait le sien. Je me plaçais au dessus d’elle. Dominatrice. Mais pas avec elle, du moins pas dans le sens passé du terme en ce qui me concerne. Aimante. Plutôt, oui moi … je semblais être capable d’aimer. Je criais doucement quand elle me griffait le dos. Plutôt agréable d’ailleurs ça me provoquait un petit sourire émoustillé. Je me collais à elle le plus que je pouvais comme si mon corps, ma peau avait besoin de la dévorer pour vivre. Comme si c’était une question de vie ou de mort. Je la voulais, je la voulais tellement se ça se lisait certainement dans chacuns de mes gestes envers elle. Par exemple ma langue qui vient jouer avec son nombril. Lentement et inlassablement. Elle me remontait à ses lèvres et je m’exécutais sans me faire prier. Ses mains me cambraient alors j’allais, laissant les miennes aller à la rencontre des siennes, la combler tout autant qu’elle me comblait, de caresses prodiguées toutes avec les meilleures faveurs dont j’étais capable. Je soupirais de plus en plus et entendre sa respiration se couper, se saccader à mes oreilles était une douce musique m’encourageant à me faire plus insistante dans mes caresses de ses cuisses et cette contrée tant de fois explorée.

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Heather' & Askja
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Il y avait elle et il y' avait moi. Et il y'avait l'extase provoquée par la rencntre de nos corps. De nos deux coeurs à l'unissons qui se serraient sous nos caresses. Peut être qu'il n'y'avait plus besoin de parler. Peut être qu'il n'y'avait pas besoin de mots. Il n'y'avait que le bruits de nos corps sur le draps déplié, bordéliique, que nos respirations effrénées, saccadées... Il n'y'avait plus que la chaleur de nous... Et les tendresses caresses de ses mains sur mes cuisses, des miennes sur sa peau. Je l'aimais. Et de caresses en caresses c'était bien vers l'extase que je voulais la mener. Avais-je besoin de vous decrire, le chemin qu'empruntaient mes mains tandis que de mes lèvres expertes je mordais son épaule ? Avais-je besoin de vous dire en detail tout ce que je faisais pour à ses lèvres apporter un sourire ? Avais-je besoin de vous raconter comment je lui faisais atteindre un eden qui ne s'offrait qu'a nous ?

Les mots étaient inutiles, et trop de descriptions auraient peut être souillées l'acte que... les actes que nous commetions ce soir, dans mes draps definitivement froissés. Trop de descriptions n'auraient de toute façon pas été a la hauteur tant les mots étaient inutiles. Et sous ses caresses je sentais mon corps tout entier se cambrer, à l'unisson avec le sien. Pas de mots. Ils n'auraient pas suffit à dire combien je l'aimais. Mais juste un océan d'étoiles deriere mes paupieres qui se fermaient malgré moi. Le bonheur. Le bonheur c'était juste d'être avec elle. Et avec elle je me sentais decoller. Je me sentais vivre. Je me sentais ivre de l'odeur de sa peau, ivre de nos desirs. Et je mordais encore, ma main vagabonde, se perdant dans les reliefs de son dos, causant de nouveaux sillions roses - rouges, sous mes ongles amoureux.

Plus tard peut être qu'épuisée je m'endormirais dans ses bras, que je me blottirais dans ses bras pour vivre une autre vie... ? Juste l'histoire d'une nuit. Peut être que je reverais de nos avenirs en esperant qu'ils se melangent... Mais c'était plus tard. Et pour l'heure je m'affairais juste à combler la femme de mes rèves et la femme de ma vie.... ?

SUJET FINI